BRONCHET (1), DESPIERRES (1), FRICAUD (7), JOLY (3), LABROSSE (1), VAIZAN (2)
ST SYMPHORIEN DES BOIS
Il y aurait eu a saint symphorien des bois dans la commune de "La Pouge" Henry IV qui aurait été venu chercher son fameux cheval blanc dans une ecurie .
Benoît Raclet est l'inventeur de l'échaudage de la vigne.
Né à Roanne en 1780, il épousa la fille du propriétaire d'un domaine viticole à Romanèche-Thorins.
Huissier et propriétaire viticole à Romanèche (Saône-et-Loire), il découvrit le remède pour se débarrasser du « ver coquin », la pyrale, insecte qui dévasta les vignes dans la première moitié du XIXe siècle, surtout dans le Mâconnais.
Dans son hameau de La Pierre, la treille verte et vigoureuse était arrosée quotidiennement d’eau de vaisselle chaude venue de la cuisinière des Raclet. Il fit donc des essais d’échaudage qui firent rire mais des experts conclurent que le « procédé Raclet » était le plus économique, le plus efficace et le seul susceptible d’être appliqué en grand dans les vignobles.
Il mourut dans l’oubli à Saint-Germain-en-Brionnais (Saône-et-Loire) en 1844. Une statue fut édifiée en son honneur le 2 octobre 1864.
Reconnaissants envers Benoît Raclet, les vignerons de Saône-et-Loire honorent tous les ans sa mémoire en organisant la fête Raclet, à la fin du mois d'octobre, à l'occasion de l'exposition-marché des vins du Mâconnais et du Beaujolais. C'est la première « grande sortie » de toutes les appellations beaujolaises. Elle permet de voir ce que donneront les vins du millésime.
À Romanèche se trouve la maison de Benoît Raclet, « docteur de la vigne ».
DESORMIERE (1), DUTRONC (1), LAMOTTE (5), MEHU (18), PEGUET (1), REY (1), ROBIN (3), VAIZAN (2),RAJAUD (1), REY (1),RAJAUD (1)
Antoine GAUTHIER ca 1510
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Jeanne GAUTHIER 1548
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Marie PERCHE ca 1575
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Marie DUSSEUIL ca 1600
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Jeanne SARRAZIN †1696
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Pierrette DECOURT 1674-1735
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Jean LAMOTTE 1696-1752
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Benoit LAMOTTE †1781
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Claudine LAMOTTE 1748-1793
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Jeanne ROBIN 1774-1845
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Etienne MEHU 1800-1868
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Jean Marie MEHU 1823-
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Anne MEHU 1852-1896
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Antoinette DUCAROUGE 1879-1968
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Claudine FEBVRE 1900-1997
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Jean BOITIER 1931-2016
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Jean-Pierre BOITIER 1958
De nombreux monuments témoignent de l'importance de Semur, notamment les restes du Château Saint-Hugues du XIe siècle, et l'église romane du XIIe siècle (l'une des plus tardives du Brionnais), d'influence clunisienne.
Dès le début du Haut Moyen Âge, et jusqu'au commencement du XIVe siècle, le Brionnais fut le siège d'une puissante baronnie, celle des barons de Semur.
Les origines de la famille de Semur sont obscures. On manque de documents. Sans doute, séduit par le site, un seigneur de passage dans la région, Freelan de Chamilly, fit-il construire un château féodal au sommet du promontoire de Semur, dominant et contrôlant ainsi la vallée de la Loire.
La baronnie se développa alors sous l'impulsion des Seigneurs de Semur, dont certains connurent gloire et puissance, tel Dalmace Ier, dit Dalmace le Grand (1000 ? à 1048). L'un de ses fils, Hugues - le futur Saint Hugues - (1024-1109), deviendra grand abbé de Cluny et jouera un rôle important dans toute la chrétienté. Une fille de Dalmace, Hélie, épousa le duc de Bourgogne Robert Ier. Le fait même qu'une fille de la seigneurie de Semur ait été choisie pour femme par l'un des princes les plus puissants de France, et sans doute de la chrétienté, montre bien que la famille de Semur, au XIe siècle, était considérée.
Pendant plusieurs siècles, la baronnie de Semur va connaître prospérité et sécurité. Cette puissance, le calme relatif de la province brionnaise, l'encouragement, la protection et l'aide apportés par la famille des barons, tout cela peut expliquer partiellement la mise en chantier, dès le XIe siècle, de plusieurs églises dans le Brionnais. Le premier couvent de femmes dépendant de Cluny fut également fondé à Marcigny. L'influence spirituelle d'Autun, centre religieux important du monde de la chrétienté, et de Cluny, qui connut un rayonnement sans précédent aux XIe siècle et XIIe siècle, essentiellement sous l'autorité de saint Hugues, grand abbé de Cluny, constitue également une explication.
Ajoutons enfin qu'il existait la possibilité de se procurer, sur place, les matériaux nécessaires à la construction des édifices. Des carrières, d'où était extraite la belle pierre jaune du Brionnais, sont encore visibles aujourd'hui.
CHATEAU DE SEMUR EN BRIONNAIS
Origines
Maison de Châteauvillain
Maison d'Albon, rameau de Beaujeu
Maisons de Bourbon et de Bourbon-Montpensier
Maison de La Trémoille
Seigneurs engagistes
Époque plus récente
DESCRIPTION DE LA CLOCHE (depuis la partie supérieure jusqu’à la base de la cloche).
- Anses : 6 anses simples.
- Cerveau de la cloche : Aucune décoration à ce niveau-ci.
- Haut de robe : 2 lignes d’écritures encadrées par 2 filets.
- Inscription : La première ligne commence par une petite croix latine. Voici le texte : 1-U L’AN 1821 J AI EU POUR PARRAIN Mr LOUIS PERRIN DARON 2- ET POUR MARRAINE DMe LOUISE CATHERINE PERRIN DARON.
- Faussure de la cloche : 2 effigies, Le Christ en croix et la Vierge à l’enfant sur 3 filets
- Pince de la cloche : 2 filets
(Les résultats des recherches campanographiques en Saône et Loire par l'Abbé Tof )
Le château est une propriété privée. La grande salle, la chapelle et le parc sont ouverts au public au mois d'Août.
Un extrait du dénombrement de 1636 signale dans son inventaire le circuit ancien dudit château qui souloit être entouré de murailles dans lequel circuit est assise l'église paroissiale avec le cimetière dudit Oyé, ce qui signifie, entre autres, que le château avait déjà perdu son dispositif défensif. De cette vaste forteresse, il ne reste qu'un logis des XVe siècle et XVIe siècle, de plan rectangulaire sous un toit à croupes. Il est flanqué de deux tours rondes, coiffées de toits coniques et d'une tour d'escalier octogonale hors oeuvre. Les fenêtres du corps de logis sont surmontées de linteaux ornés d'accolades, très restaurés au XIXe siècle; celles de la tour d'escalier, rectangulaires, ont des encadrements et des meneaux et croisillons moulurés. La porte d'entrée de cette tour est couronnée d'un gâble en accolade entre deux pinacles, dans le tympan duquel sont sculptées des armoiries comportant trois bandes qui peuvent être soit celles des Luzy, soit celles des Breschard.
Le château est une propriété privée et ne se visite pas.
Écartelé : aux 1 et 4, d'azur, à trois étoiles d'argent ; aux 2 et 3, de gueules, à quatre fasces endentées d'argent, et une bande d'azur chargée de fleurs de lys d'or sans nombre brochant sur le tout.
RAJAUD (1),