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25 septembre 2008 4 25 /09 /septembre /2008 17:56
FRICAUD (1),

VAREILLES

Chevet de l'église  ClocherSculpture du portail

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24 septembre 2008 3 24 /09 /septembre /2008 08:36

BRONCHET (1), DESPIERRES (1), FRICAUD (7), JOLY (3), LABROSSE (1), VAIZAN (2)



ST SYMPHORIEN DES BOIS

Il y aurait eu a saint symphorien des bois dans la commune de "La Pouge" Henry IV qui aurait été venu chercher son fameux cheval blanc dans une ecurie .

Michelette BARRAUD ca 1570
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Alexandrine FRICAUD ca 1595
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Claude JOLY ca 1622-1692
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Anthoine JOLY †1688
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Benoit JOLY 1654
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Claudine JOLY 1692-1747
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Marie COMTE 1732-1799
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Pierre FOURNIER 1752-1801
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Louise FOURNIER 1780-1835
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Anne CORNELOUP 1800-
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Jean Marie MEHU 1823-
|
Anne MEHU 1852-1896
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Antoinette DUCAROUGE 1879-1968
|
Claudine FEBVRE 1900-1997
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Jean BOITIER 1931-2016
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Jean-Pierre BOITIER 1958
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21 septembre 2008 7 21 /09 /septembre /2008 19:11
FRICAUD (1), LESPINASSE (1), TURRET (1),

ST LAURENT EN BRIONNAIS

  • Eglise

Clocher Chapiteau Base de pilier

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21 septembre 2008 7 21 /09 /septembre /2008 18:53
ST GERMAIN EN BRIONNAIS

  • Eglise

Façade ouest et clocher Choeur Chapiteau

Benoît Raclet
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Benoît Raclet est l'inventeur de l'échaudage de la vigne.

Né à Roanne en 1780, il épousa la fille du propriétaire d'un domaine viticole à Romanèche-Thorins.

Huissier et propriétaire viticole à Romanèche (Saône-et-Loire), il découvrit le remède pour se débarrasser du « ver coquin », la pyrale, insecte qui dévasta les vignes dans la première moitié du XIXe siècle, surtout dans le Mâconnais.

Dans son hameau de La Pierre, la treille verte et vigoureuse était arrosée quotidiennement d’eau de vaisselle chaude venue de la cuisinière des Raclet. Il fit donc des essais d’échaudage qui firent rire mais des experts conclurent que le « procédé Raclet » était le plus économique, le plus efficace et le seul susceptible d’être appliqué en grand dans les vignobles.

Il mourut dans l’oubli à Saint-Germain-en-Brionnais (Saône-et-Loire) en 1844. Une statue fut édifiée en son honneur le 2 octobre 1864.

Reconnaissants envers Benoît Raclet, les vignerons de Saône-et-Loire honorent tous les ans sa mémoire en organisant la fête Raclet, à la fin du mois d'octobre, à l'occasion de l'exposition-marché des vins du Mâconnais et du Beaujolais. C'est la première « grande sortie » de toutes les appellations beaujolaises. Elle permet de voir ce que donneront les vins du millésime.

À Romanèche se trouve la maison de Benoît Raclet, « docteur de la vigne ».

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21 septembre 2008 7 21 /09 /septembre /2008 18:30

DESORMIERE (1), DUTRONC (1), LAMOTTE (5), MEHU (18), PEGUET (1), REY (1), ROBIN (3), VAIZAN (2),RAJAUD (1), REY (1),RAJAUD (1)

Saint-Didier-en-Brionnais

 

 

 

Antoine GAUTHIER ca 1510
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Jeanne GAUTHIER 1548
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Marie PERCHE ca 1575
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Marie DUSSEUIL ca 1600
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Jeanne SARRAZIN †1696
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Pierrette DECOURT 1674-1735
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Jean LAMOTTE 1696-1752
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Benoit LAMOTTE †1781
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Claudine LAMOTTE 1748-1793
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Jeanne ROBIN 1774-1845
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Etienne MEHU 1800-1868
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Jean Marie MEHU 1823-
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Anne MEHU 1852-1896
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Antoinette DUCAROUGE 1879-1968
|
Claudine FEBVRE 1900-1997
|
Jean BOITIER 1931-2016
|
Jean-Pierre BOITIER 1958

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21 septembre 2008 7 21 /09 /septembre /2008 17:08


BOTTERON (1), CHERPIN (1), CIRCAUD (11), COLLAUDIN (2), DEMUSSY (1), DUBOIS (2), DUBREUIL (5), DUFOUR (2), FAYOLLE (2), FOUILLET (5), FRICAUD (1), JANDET (2), LAMOTTE (1), LESPINASSE (1), LIEVRE (1), MAILLET (2), MEHU (1), MILLET (1), NEVERS (1), NIGAY (13), PEGON (1), PEGUET (13), POLETTE (21), RAGUENAT (3), RAQUIN (2), RESSORT (1),

SAINT CHRISTOPHE EN BRIONNAIS

Bref historique du marché : L'origine n'est pas connue. Il existait un marché pour le « débit des denrées et marchandises » le vendredi. En 1488, le roi Charles VIII, suite à la « supplication de messire Jean de Tenay, seigneur du lieu, institue par lettres patentes signées Dumont et scellées du grand sceau à perpétuité trois foires, à savoir la première le mardy devant Pasques fleury, la seconde la vigile de Saint Christophe au mois de juillet et la troisième le jour de la Saint François au mois d'octobre ». En 1627, Messire Laurent de Tenay, baron du lieu, sollicite le changement du marché du vendredi ; « ledit marché était fort peu fréquenté à cause d'autres marchés qui avaient été établis le même jour en lieux circonvoisins, qu'il serait à propos de le changer au mercredy » Faveur accordée, visa signé au camp devant La Rochelle au mois de novembre 1627 par Louis XIII, visa signé Le coq. Par la même lettre la date des foires est changée : celle du jour de la Saint François est reportée au lendemain du jour de Saint Mathieu et une autre foire est accordée en plus des anciennes le 20 janvier, et ce à perpétuité. Nouveau changement de jour en 1820 : Une ordonnance du roi Louis XVIII, du 19 janvier 1820, stipula en son article 5 « les 12 foires qui se tiennent actuellement à Saint-Christophe, arrondissement de Charolles, département de Saône-et-Loire, auront lieu à l'avenir le 3e jeudi de chaque mois ». Ainsi le marché s'est tenu successivement le vendredi pendant 139 ans, le mercredi pendant 193 ans, le jeudi 184 ans. Depuis le 5 janvier 2005, il a lieu le mercredi après-midi, chacun le sait et en connaît les raisons. Institution plus que cinq fois centenaire, le marché de Saint-Christophe affirme dynamiquement sa pérennité en évoluant. Au demeurant les privilèges octroyés en 1488 et confirmés en 1627 ne l'ont-ils pas été à perpétuité ? Au cours des temps, le nombre de foires n'a cessé d'augmenter et sont toutes tenues le jeudi. A partir de 1866, elles se tiennent sur l'emplacement actuel, après s'être tenues dans la rue principale, l'Allée de Tenay. Elles sont fixées au jeudi et à partir de 1961 deviennent hebdomadaires. En 1971 ouverture d'un hall de paiement remplacé début des années 1990 par un bâtiment administratif. En 1978 et 1979 la municipalité réalise la couverture des installations.

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21 septembre 2008 7 21 /09 /septembre /2008 16:22


SEMUR EN BRIONNAIS

Du Xe au XIVe siècle, les barons de Semur furent une famille puissante. Ainsi Dalmace Ier, dit Dalmace le Grand (1000? à 1048) maria sa fille Hélie au duc de Bourgogne Robert Ier. Le plus célèbre membre de la famille de Semur fut un autre fils de Dalmace le Grand, Saint Hugues (1024-1109), qui devint Grand Abbé de Cluny, et joua un rôle important dans l'ensemble de la chrétienté.

De nombreux monuments témoignent de l'importance de Semur, notamment les restes du Château Saint-Hugues du XIe siècle, et l'église romane du XIIe siècle (l'une des plus tardives du Brionnais), d'influence clunisienne.

L'église romane de Semur en Brionnais. Détail du portail de l'église. Clocher Archivolte du portail ouest

Nef vue de la croisée du transept

Personnalités liées à la commune [modifier]

  • Saint Hugues (1024-1109) : natif de Semur-en-Brionnais, cinquième grand abbé de l'ordre de Cluny.
  • Gilbert Génébrard (1536-1597), théologien français
  • Jean Baptiste Augustin Bouthier de Rochefort (1814-1891) : député républicain modéré (1876-1891), précurseur des GAEC (groupements d'agriculteurs). Il légua sa fortune à la commune et créa une maison de retraite pour les salariés et les métayers du monde agricole.

Dès le début du Haut Moyen Âge, et jusqu'au commencement du XIVe siècle, le Brionnais fut le siège d'une puissante baronnie, celle des barons de Semur.

Les origines de la famille de Semur sont obscures. On manque de documents. Sans doute, séduit par le site, un seigneur de passage dans la région, Freelan de Chamilly, fit-il construire un château féodal au sommet du promontoire de Semur, dominant et contrôlant ainsi la vallée de la Loire.

La baronnie se développa alors sous l'impulsion des Seigneurs de Semur, dont certains connurent gloire et puissance, tel Dalmace Ier, dit Dalmace le Grand (1000 ? à 1048). L'un de ses fils, Hugues - le futur Saint Hugues - (1024-1109), deviendra grand abbé de Cluny et jouera un rôle important dans toute la chrétienté. Une fille de Dalmace, Hélie, épousa le duc de Bourgogne Robert Ier. Le fait même qu'une fille de la seigneurie de Semur ait été choisie pour femme par l'un des princes les plus puissants de France, et sans doute de la chrétienté, montre bien que la famille de Semur, au XIe siècle, était considérée.

Pendant plusieurs siècles, la baronnie de Semur va connaître prospérité et sécurité. Cette puissance, le calme relatif de la province brionnaise, l'encouragement, la protection et l'aide apportés par la famille des barons, tout cela peut expliquer partiellement la mise en chantier, dès le XIe siècle, de plusieurs églises dans le Brionnais. Le premier couvent de femmes dépendant de Cluny fut également fondé à Marcigny. L'influence spirituelle d'Autun, centre religieux important du monde de la chrétienté, et de Cluny, qui connut un rayonnement sans précédent aux XIe siècle et XIIe siècle, essentiellement sous l'autorité de saint Hugues, grand abbé de Cluny, constitue également une explication.

Ajoutons enfin qu'il existait la possibilité de se procurer, sur place, les matériaux nécessaires à la construction des édifices. Des carrières, d'où était extraite la belle pierre jaune du Brionnais, sont encore visibles aujourd'hui.


 

CHATEAU DE SEMUR EN BRIONNAIS


 

  • e l'ensemble fortifié qui occupait la totalité de l'éperon rocheux, il ne subsiste que les restes d'une poterne et, sur une terrasse, une haute tour de plan rectangulaire. La poterne, totalement modifiée par les travaux entrepris en 1760, consistait en une porte située à l'étage, défendue par une herse et par un mâchicoulis sur arcade, de même type que ceux de Chamilly et de Sercy. Celui-ci était lancé entre deux tours rondes, à bases légèrement talutées, percées de très rares archères à embrasures plongeantes. La porte a été bouchée et des escaliers ont été construits à son emplacement pour donner accès au premier étage des tours. La tour nord comporte une citerne, la tour ouest, un escalier aménagé dans l'épaisseur du mur. La tour rectangulaire, haute de 22 mètres et dont les murs ont à la base deux mètres d'épaisseur, présente les trous des poutres de quatre niveaux de plancher. Sa construction est le résultat de remaniements successifs du XIe siècle au XVe siècle. Les niveaux inférieurs sont bâtis en moyen appareil dans lequel apparaissent des assises en arête de poisson, les troisième et quatrième niveaux en petit appareil. On discerne, dans les murailles, des ouvertures en plein cintre qui ont été obturées, une petite porte, au premier étage dont l'encadrement rectangulaire paraît indiquer qu'une passerelle la fermait, enfin, au sud et à l'ouest, deux fenêtres à meneau et croisillon dont les embrasures sont munies de coussièges et qui sont sans doute contemporaines d'une vaste cheminée dont seuls subsistent les piédroits.
  • Les substructures d'une petite tour dominent la vallée.
  • Le château se visite.

Historique [modifier]

Origines

Maison de Semur

Saint-Hugues de Cluny
Saint-Hugues de Cluny
  • Freelan de Chamelet - ou Chamilly († 925) devient seigneur de Semur; sa famille sera l'une des plus puissantes de Bourgogne
  • Joceran de Chamelet, seigneur de Semur († 994), fils du précédent, fait bâtir un donjon; le château dépend sur le plan religieux de la paroisse de Saint-Martin-la-Vallée
  • Geoffroy Ier, seigneur de Semur (950 - 1015), fils du précédent
  • Dalmace Ier, baron de Semur († 1048), fils du précédent, pour qui le fief est érigé en baronnie
  • Geoffroy II, baron de Semur (1025 - 1090), fils du précédent; son frère, Saint-Hugues, sixième abbé de Cluny, naît dans le château
  • Geoffroy III, baron de Semur († 1123), fils du précédent
  • Geoffroy IV, baron de Semur († 1128), fils du précédent
  • Geoffroy V, baron de Semur († 1150), fils du précédent
  • Dalmace II, baron de Semur († 1162), frère du précédent
  • Simon Ier, baron de Semur († 1219), fils du précédent
  • Dalmace III, baron de Semur (1196 - 1226), fils du précédent
  • Simon II, baron de Semur († 1247), fils du précédent
  • Henri, baron de Semur († 1257), fils de Simon Ier

Maison de Châteauvillain

  • 1262 : Jean Ier de Châteauvillain, petit-fils de Simon Ier, et époux de Jeanne de Semur, fille de Simon II, reçoit la baronnie de Semur de sa cousine Héloïse de Semur, fille d'Henri, qui précède

Maison d'Albon, rameau de Beaujeu

  • 1320 : Jeanne de Châteauvillain († 1345), fille et héritière des précédents, épouse Guichard VI, sire de Beaujeu († 1331)
  • Édouard Ier, sire de Beaujeu (1316 - 1351), fils du précédent et de Marie de Châtillon
  • Antoine de Beaujeu, sire de Beaujeu (1343 - 1374), fils du précédent
  • Édouard II de Beaujeu, sire de Beaujeu (1351 - 1400), cousin germain du précédent, meurt sans enfant

Maisons de Bourbon et de Bourbon-Montpensier

Louis II de la Trémoille
Louis II de la Trémoille
Entre 1397 et 1477, les familles qui se succèdent ayant laissé le château à l'abandon, le duc de Bourgogne y installe des capitaines; le donjon est fortifié, le mobilier et l'artillerie soigneusement entretenus.

Maison de La Trémoille

Seigneurs engagistes

La terre est vendue à Charles VIII peu de temps après ce mariage et est confiée à des seigneurs engagistes qui ne la conservent jamais longtemps. Le donjon carré et les deux tours circulaires qui le précèdent restent seuls à la charge du seigneur, qui doit y entretenir les prisons du bailliage, créé en 1560, en même temps qu'il subvient à tous les frais de justice. Citons:
  • Jacques de Chabannes, seigneur de La Palice (1470 - 1525)
  • la famille Coligny, dont Gaspard-Alexandre de Coligny (1662 - 1694)
  • Jean du Puy, à qui le précédent aliène le château, se fait construire une nouvelle demeure
  • Jacques-Nicolas du Puy, fils du précédent, fait bâtir, vers 1760, la maison du geôlier et en 1775, l'auditoire du bailliage sur des plans de l'architecte Guillemot. En 1793, il est en partie dépossédé de ses biens, la baronnie étant restituée à l'état comme bien engagé.

Époque plus récente

  • début XIXe siècle : on tente d'abattre le onjon en pratiquant des brèches à sa base
  • à partir de 1968 : des travaux de mise en valeur sont menés par une équipe animée par M. J.-L. Dosso-Greggia

Armoiries des seigneurs successifs [modifier]
  • Châteauvillain : Gironné d'argent et de sable de huit pièces
  • Albon : De sable à la croix d'or
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21 septembre 2008 7 21 /09 /septembre /2008 13:56
CIRCAUD (1), de MAMESSIER (1),

SANCENAY

La Chapelle de Sancenay à Oyé

Située à environ 2 km d'Oyé, non loin de la route menant à St-Christophe, elle apparaît près des ruines du château des anciens seigneurs de Circaud. On l'appelle la chapelle des « Blancs ». Cette chapelle, vouée au culte catholique et aux « Blancs », catholiques vivant leur foi telle qu'elle était pratiquée avant le concordat de 1801 et les différents conciles ayant succédé, est un lieu de pèlerinage encore très fréquenté. Les ex-voto, paires de béquilles et autres témoignages remerciant la Vierge pour ses interventions miraculeuses attestent de la dévotion des habitants. La chapelle semble avoir été celle du Château, au début du XIe siècle, lorsque la Baronnie de Sancenay passa à la maison de Semur, par le mariage d'Hermangarde, d'Oyé, avec Geoffroy IV. Au milieu du XVe siècle, le château ayant été pillé, Jean 1er de Semur-Sancenay le restaura ainsi que la chapelle. Il en profita pour faire percer la ravissante porte basse latérale. Au XVIIe siècle, Catherine Chauvigny de Blot, épouse de Laurent de Tenay, seigneur de St-Christophe, fit décorer le plafond lambrisé, à caissons allongés. Elle y fit placer un motif central représentant les armes des Tenay et, aux angles, les monogrammes de sa famille et de celle de son époux. Les cent vingt panneaux constituant le plafond de la chapelle forment un décor gracieux et original, exécuté par le peintre hollandais Abram Graffe dont l'inspiration majeure est la piété mariale. Ce plafond est classé, en 1970, au titre des monuments historiques. Il est unique en Brionnais. On pense qu'il a été conçu pour un autre bâtiment car il est scié en de nombreux endroits pour s'adapter à la voûte. Le bâtiment a été de nouveau restauré au XVIIIe siècle (les pavés du sol, le clocher). C'est un édifice à nef unique, avec une longue travée de chœur dont le fond est constitué par un mur plat. La Vierge Marie est, en ce lieu, omniprésente : au-dessus de l'autel majeur, une grande toile, du XVIIe ou du XVIIIe vient, sans doute, de l'église d'Oyé. Elle représente le couronnement de la Vierge par les anges. A droite du transept, une peinture moderne, réalisée par Michel Bouillot, reprend le même thème. A gauche du transept, deux autres tableaux représentent des scènes familières de la bible. Au-dessus de l'entrée du chœur, un christ en bois polychrome de seizième est le frère jumeau de celui de Bois Sainte Marie. Comme il a été dit, au fond de la chapelle, outre de simples ex-voto, sont exposés les témoignages des guérisons miraculeuses. Un tableau remémore la guérison d'une jeune fille d'Oyé, en 1856. Gravement malade, paralysée, celle-ci ne s'alimentait quasiment plus jusqu'à ce qu'elle demande qu'on la conduise à la chapelle. Contre l'avis de ses parents, fortement opposés à cette « originalité », le curé, décide, contre « vents et marée », de l'emmener jusqu'au lieu saint. Arrivée à la chapelle, quasiment morte, elle retrouve vie et santé et revient, à pied, huit jours plus tard pour la célébration de l'office. On voit aussi un témoignage datant du 20e siècle, celui de Marcel Ravaud qui s'est mis à marcher en arrivant à la chapelle et jeta aussitôt, ses béquilles « aux orties ». Plus exactement il les accrocha sur le mur de l'édifice avec un mot de remerciement. Tous ces témoignages relèvent du culte marial. Article rédigé par Fabienne Croze, le JSL 14.09.2006.

DESCRIPTION DE LA CLOCHE (depuis la partie supérieure jusqu’à la base de la cloche).

- Anses : 6 anses simples.

- Cerveau de la cloche : Aucune décoration à ce niveau-ci.

- Haut de robe : 2 lignes d’écritures encadrées par 2 filets.

- Inscription : La première ligne commence par une petite croix latine. Voici le texte : 1-U L’AN 1821 J AI EU POUR PARRAIN Mr LOUIS PERRIN DARON 2- ET POUR MARRAINE DMe LOUISE CATHERINE PERRIN DARON.

- Faussure de la cloche : 2 effigies, Le Christ en croix et la Vierge à l’enfant sur 3 filets

- Pince de la cloche : 2 filets

(Les résultats des recherches campanographiques en Saône et Loire par l'Abbé Tof )

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21 septembre 2008 7 21 /09 /septembre /2008 12:04

OYE

? (1), BOTTERON (1), CIRCAUD (10), COLLAUDIN (2), DENIS (8), DUCERF (1), DUFOUR (6), DUMONT (2), FAYOLLE (1), FERREZIER (3), GEOFFROY (1), LESPINASSE (4), MAGNIN (3), NEVERS (1), PEGON (1), POLETTE (2), PRIMALOT (1), REDDON (1), VAIZAN (1), de MAMESSIER (2),

OYE


  • Le château, de plan en U, comporte un corps central flanqué, sur les angles de sa façade extérieure, de deux tours carrées et, sur ceux de sa façade sur cour, de deux gros pavillons que prolongent deux ailes en retour d'équerre. Ces ailes sont elles-mêmes complétées chacune par un pavillon implanté sur leur angle extérieur. Le bâtiment du XVe siècle, provenant de Moulin-l'Arconce, a été rebâti dans l'alignement du corps principal.
  • Une allée s'allonge entre des plates-bandes ponctuées d'ifs taillés, de centaures chevauchés par des amours et de vases d'ornement. Une grille dissimule une charmille taillée en arc de triomphe. Des parterres gazonnés, dans un parc décoré de statues et d'arbustes taillés, entourent l'ensemble.

Le château est une propriété privée. La grande salle, la chapelle et le parc sont ouverts au public au mois d'Août.

Historique [modifier]

Château de Chaumont
Château de Chaumont
  • 1638 : domaine de l'Abbaye de Cluny, si la seigneurie est vendue à Hector Andrault de Langeron, marquis de Maulévrier (grand-père du Maréchal de France Jean-Baptiste Louis Andrault de Maulévrier) qui avait acquis deux ans auparavant la seigneurie d'Oyé la maison ne le fut pas.
  • Aprés 1748, Jean Circaud, secrétaire du roi et promoteur avec son cousin Emilliand Mathieu de l'embouche dont sortira la race charolaise, fera édifier la demeure actuelle.
  • 1818 : Mariage de Jules du Marais avec Elisa Circaud de Chaumont. La propriété passe à la famille du Marais qui la possède toujours
  • XIXe siècle : le Baron Albert du Marais transforme la grange du XVIe siècle en salle de réception en transportant les cheminées, les fenêtres et la tour d'escalier du château de Moulin l'Arconce.





Un extrait du dénombrement de 1636 signale dans son inventaire le circuit ancien dudit château qui souloit être entouré de murailles dans lequel circuit est assise l'église paroissiale avec le cimetière dudit Oyé, ce qui signifie, entre autres, que le château avait déjà perdu son dispositif défensif. De cette vaste forteresse, il ne reste qu'un logis des XVe siècle et XVIe siècle, de plan rectangulaire sous un toit à croupes. Il est flanqué de deux tours rondes, coiffées de toits coniques et d'une tour d'escalier octogonale hors oeuvre. Les fenêtres du corps de logis sont surmontées de linteaux ornés d'accolades, très restaurés au XIXe siècle; celles de la tour d'escalier, rectangulaires, ont des encadrements et des meneaux et croisillons moulurés. La porte d'entrée de cette tour est couronnée d'un gâble en accolade entre deux pinacles, dans le tympan duquel sont sculptées des armoiries comportant trois bandes qui peuvent être soit celles des Luzy, soit celles des Breschard.

Le château est une propriété privée et ne se visite pas.

Historique [modifier]

  • XIe siècle : Dalmace de Semur, dit le Jeune, est seigneur du lieu; son fils, Renaud de Semur, lui succède
  • XIIIe siècle : la baronnie, enclave du Brionnais en Mâconnais, est détachée de celle de Semur pour constituer l'apanage d'un puîné de la famille de Luzy, issue de celle de Semur
  • 1566 : la terre passe par mariage à la maison de Breschard
  • 1636 : Gabrielle de Ryan, veuve de François de Cugnac, marquis de Dampierre, vend la baronnie aux Andrault de Langeron dont les représentants à Oyé sont:
  • 1850 : restauration du logis

Armes des Andrault de Langeron [modifier]

Écartelé : aux 1 et 4, d'azur, à trois étoiles d'argent ; aux 2 et 3, de gueules, à quatre fasces endentées d'argent, et une bande d'azur chargée de fleurs de lys d'or sans nombre brochant sur le tout.

  • Eglise

Vue générale de l'église Base du clocher Base du clocher



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21 septembre 2008 7 21 /09 /septembre /2008 11:13

RAJAUD (1),

 

 

 

 

 

  • Anciennement "Oratorium ad Sanctam Mariam de Bosco".
  • Acheté en 1360 par Guy de Dyo à Jean de Marzac.
  • Le fief de Chassagne appartint aux Rambuteau.

 

 

Vestiges préhistoriques et antiques
Architecture civile
  • Tour de Chassagne 14ème, reste d'un ancien château.
Architecture sacrée
  • Eglise 19ème.
Musées
Sites
  • Site du village, au pied d'une colline portant un calvaire.
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