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27 février 2024 2 27 /02 /février /2024 11:47

BALAY (4), BALLORIN (3), BARDEY (1), BASIN (1), BEFY (1), BERT (1), CRETIN (1), DE CORGEAT (1), DEGRANGE (1), DESPREY (1), DOUDET (1), ETIENNE (2), GAUTHIER (1), GUICHARD (1), GUYENOT (1), LACHAUX (1), MORIN (1),

HalteLouhansPlaceDesPonts.jpg

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27 février 2024 2 27 /02 /février /2024 11:30

L’abbaye du Miroir, abbaye cistercienne, fut fondée en 1131 par Humbert seigneur de Coligny et de Chevreaux.

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27 février 2024 2 27 /02 /février /2024 11:27

Au xive siècle, Le Fay possédait un château dont seules les douves et quelques maisons sont encore présentes. Il était composé de 11 tours et y abritait les seigneurs Bouton du Fay. Ceux-ci furent également seigneurs de Louhans. Le blason comportait une fasce de couleur or et un fond blanc muni de rayures verticales noires.

Sources : mairie de la commune du Fay (71). Ouvrage : Louhans, des origines à nos jours de Marcel Pacaut aux éditions Horvath.

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 18:06

La Racineuse, simple hameau, fut érigé en paroisse le , par lettres patentes du roi enregistrées au parlement de Dijon. La Racineuse disposa dès lors d'un curé, qui fut Claude François Catet14.

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 17:35

ANTOINET (1), AUGIER (1), BERGER (1), BURDIN (2), CUREAU (6), CUROT (1), GALLAND (3), GIRARD (1), GUICHARD (2), MAGNIN (1), MATEY (1), MESNAGE (1), MICHAUD (1), PARISET (1), PARIZET (20), PERNIN (4), PERNOT (1), ROZAND (2),DUBOIS (1), GALLAND (2), GIRARD (1), PARIZET (2), PERNIN (2),

 

 

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 17:13

GRAPIN (1), RENAUD (3),

 

 

 

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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 19:13

COULON (5), DEGRANGE (1), DOUDET (1), DUCROT (1), GOYARD (1), GROS (2), LECUELLE (2), PERE (4),

MOLAISE rattachée à HUILLY

La commune est le lieu de rassemblement des socialistes lors de la traditionnelle Fête de la rose de Frangy-en-Bresse en fin août, depuis 197326.

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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 19:13
La Bresse est un ancien fond de lac qui se vida à l ère quaternaire.
Ce canton appartint d'abord aux Séquanes, peuple gaulois de la région de Besançon, puis il fut réuni aux Ségusiens qui habitaient le Lyonnais et le Forez. Il fut encore séparé de ces derniers et forma un pays particulier sous le nom de BRIXIUS SALTUS, entièrement couvert de marais et de forêts.

Lorsque César décida la conquête de la gaule, des routes furent construites et les forêts furent défrichées. Après les invasions, la région louhannaise appartint aux Burgondes, puis aux Francs. Sous les Mérovingiens, elle dépendait tantôt du royaume de Bourgogne, tantôt du royaume de France, suivant qu'ils sont rattachés ou séparés.

Lorsque la France est divisée entre les fils de Charlemagne, la Bresse se trouve située entre les trois royaumes de Lothaire, Charles le Chauve et Louis le germanique. En 878, le fils de Charles le Chauve donne Louhans, qui était alors une ville, à l'abbaye de Tournus. Dans le Louhannais, la population s'accroît et plusieurs paroisses rurales se développent, dont celle de Ménetreuil.

La date exacte de la fondation de l'église de Ménetreuil n'est pas vraiment connue. Une charte du XIIe siècle mentionne Ménetreuil : Ecclesia de Monistrolio, 1155 (manuscrit Desroches). La paroisse était du diocèse de Lyon, sous le vocable de saint Pierre. Le patronage de la cure appartenait aux moines de Gigny (Jura). Ménetreuil dépendait de la Châtellenie de Cuisery, une des plus grandes maisons nobles de la Bresse, celle des sires de Bâgé, dont l'importante seigneurie avait pour première origine une concession faite au Ixe siècle par le roi Louis le Débonnaire, en récompense des services militaires à Hugues, gouverneur des frontières, qui fut le premier comte de Bâgé et marquis de Bresse.

Ménetreuil comportait trois seigneuries :

· Rambeau
· Le Devu
· Montjay, qui eurent aussi leurs châteaux.
· Celle de RAMBEAU, la plus ancienne, avait appartenu à Jean de Charnez au XIVe siècle et tirait son nom de la femme de ce seigneur, Jeanne Ramboz, qui fonda en 1377 une chapelle en l'église de Ménetreuil.
· Celle du DEVU avait appartenu aux sires de Brancion et s'était fondue, depuis longtemps, ainsi que celle de Rambeau, dans la baronnie de Montpont


Les terres faisaient partie de la baronnie de Montpont, avec sa tête, les seigneurs de ce nom ; la famille de MONTPAON, famille noble alliée à la famille de Brancion. Il y eut ensuite la famille de Vienne ; à la fin du XVe siècle, la famille d'Hochberg, puis les d'Orléans, les Longueville. Au XVIe siècle, arrivèrent les Saulx-Tavannes ; en 1702, reprise de fief par les Fyot de La Marche.

La baronnie de Montpont et la seigneurie de Montpont passent d'abord à François, conseiller au Parlement de Paris, né à Dijon ; puis à Claude; comte de Bosjean, président à mortier au Parlement de Bourgogne, puis à leur fils Claude-Philibert, comte de Bosjean, Baron de Mervans et de Montpont, premier président au Parlement de Bourgogne ; puis au fils de Claude-Philibert, Jean-Philippe, mort en 1772.
Les seigneurs de ces terres rendaient foi et hommage au seigneur, Messire Fyot de la Marche, baron de Montpont.

La paroisse de Ménetreuil était alors comprise dans l'archiprêtré de Bâgé, du diocèse de Lyon.

La justice de Ménetreuil dépendait du bailliage de Chalon, et plus particulièrement de Claude Vitte, avocat à la cour et lieutenant au bailliage de Chalon.

Ménetreuil (cf. Les contes de Panurge de Jacques Roy) viendrait du séjour de ménestrels ou ménétriers, du bas latin MENESTEREUS, MINISTRELLUS, diminutif de MINISTER, provençal "menestral" = artisan, joueur d'instrument, sorte de trouvère ; mais il s'agit là d'une interprétation fantaisiste ; il est évident que Ménetreuil vient de MONASTERIOLUM, petit monastère.
Le suffixe -IOLUM, -IOLUS donne -euil ou -éol.

Les formes d'archives de Ménetreuil sont :
· 1155 Ecclesia de Monistrolio (Manuscrit Desroches)
· 1183 Monestrul
· XIIe siècle Ecclesia de Monisteriolo, Monestrel
· XIIIe siècle Monestruel (cartulaire de Savigny)
· XVe siècle Montestruel
· XVIe siècle Menestreul
· 1578 Menestreux (Inventaire des fiefs)
· 1648 Monestreuil
· 1697 Menestreuil
· 1734 Menetreux
· 1816-1938 Ménetreuil

 

Page histoire tirée en partie du livre de Maryse GIOVACCHINI.
Si une erreur est présente, veuillez m'en informer, je rectifierai dans les plus brefs délais.

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· Celle de MONTJAY, qui passa aux Fyot, eut son château "motte de Montjay et île sur la Sane qui l'environne, pont-levis et pont dormant" (1578, Inventaire des fiefs). Un château du XVIIIe siècle, rebâti en 1730, ne fut démoli que de nos jours.

Ménetreuil, comme toutes les paroisses de la Bresse du sud usait du droit écrit, c'est-à-dire qu'on y observait les lois romaines comme droit commun

Toute la zone centrale des Prés de Ménetreuil est occupée par une prairie humide et inondable (de grande valeur patrimoniale).
Traditionnellement exploité comme trois prairies de fauche, cet espace dispose d'une grande diversité floristique et en particulier deux espèces protégées (orchis à fleurs lâches, gratiole officinale et oenanthe de Silaus). Des pieds sont répartis sur la quasi-totalité du site.
A noter, d'un point de vue ornithologique, la prairie est un site de nidification pour le courlis cendré, une espèce menacée à l'échelle européenne :Le râle des genêts, dont les effectifs sont en forte baisse trouve également ici un terrain idéal de nidification...


Les limicoles (chevaliers culblancs, bécassines des marais, etc.) y font une escale lorsque le moment des migrations bat son plein. L'hiver n 'est plus très loin !
Diverses espèces de passereaux et de rapaces profitent du bocage et des boisements bordant le site. De plus, dans le domaine piscicole, cette prairie constitue une frayère à brochets durant les crues de printemps. Elles interviennent à partir de la confluence de l'ancien et du nouveau tracé de la Sâne. Ce type d'habitat est classé d'intérêt comunautaire.



MENETREUIM
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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 18:10

BASSIN (1), CAMUSET (1), RABUT (1), TAILLEFER (6),

 

 

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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 13:03

La commune de Cuiseaux est partagée entre la Bresse louhannaise et le massif du Jura. C'est une des rares communes de Bourgogne dont une partie du territoire est située dans le massif du Jura. Le point culminant de la commune est à une altitude de 645 m (près du sommet de 647 m situé sur la commune de Chevreaux).

 

La première mention de Cuiseaux (Cuisel)16 date de 1107 (Ponce de Cuisel, présent à une donation faite à Cluny par Guillaume, comte de Mâcon).

La ville obtient sa charte des libertés et franchises en 1265, octroyées par son seigneur, Jean Ier de Cuiseaux († v. 1274 ; suivi de sa veuve Marguerite de Montluel, remariée à Simon de Montfaucon-Montbéliard, sire de Montrond).

Le fief de Cuiseaux appartient à la famille de Cuiseaux jusque dans la 1re moitié du xive siècle (1316 ?) : Jean II de Cuiseaux († 1320) succède à son père Jean Ier, et a pour fils Jean III de Cuiseaux, sans postérité. La suzeraineté (seigneurie éminente) appartenait aux d'Antigny de Ste-Croix, mais Henri d'Antigny la vendit vers 1274/1284 à Robert II de Bourgogne.

Les Cuiseaux étant éteints, les ducs de Bourgogne récupèrent aussi la seigneurie directe, qu'on trouve ensuite aux mains de la Maison de Chalon-Arlay (peut-être parce qu'une demi-sœur du duc Robert II, Marguerite de Bourgogne, dame de Vitteaux, épouse vers 1272/1280 Jean Ier de Chalon, seigneur d'Arlay, d'où Hugues de Chalon d'Arlay. père de Jean II, grand-père de Louis et arrière-grand-père de Jean III, prince d'Orange). Vers 1531, l'héritier du dernier prince héréditaire d'Orange René de Nassau-Chalon († 1544) est son cousin Guillaume de Nassau le Taciturne (1533-1584) : les Orange-Nassau assumeront la seigneurie de Cuiseaux jusqu'en 1633/1634, date à laquelle elle échoit par acquisition aux Bourbon-Condé, car Emilie, fille du Taciturne, mariée à Frédéric-Casimir de Deux-Ponts, la vend alors à Henri II de Condé. Les Condé (dont Mlle de Charolais en 1730) la gardent jusqu'en 1765, pour la vendre au mathématicien Alexis Fontaine des Bertins (1704-1771). Cuisseaux passe ensuite au prêtre Constant Nayme, suivi de son neveu Etienne-Jean Nayme des Oriolles (1744-1816) : Mutatis mutandis, le dernier sire de Cuiseaux devient ensuite le premier maire révolutionnaire.

Lors du rattachement du duché de Bourgogne à la France par le roi Louis XI, à la suite de la mort de Charles le Téméraire, la ville de Cuiseaux resta fidèle à Marie de Bourgogne, la fille du duc. En représailles, le sire de Craon, lieutenant de Louis XI, réduisit la ville en cendres le 25 juin 1477.

À cette époque, Cuiseaux est connu pour disposer d'un lieu singulier : un sanctuaire à répit, la chapelle Notre-Dame-du-Noyer (aujourd'hui convertie en maison particulière)17.

En 1595, la cité fortifiée ouvrit ses portes aux troupes d'Henri IV qui ravageaient alors le comté de Bourgogne.

En 1552 l'humaniste comtois Gilbert Cousin en fait cette description: "A la suite est Cuiseaux au pied d'une montagne. Bien qu'enlaidi par une grande quantité de ruines, ce village porte les marques d'une haute antiquité. Il y a là un collège de chanoines (fondé en 1408). Tout le pays produit du vin."18

La ville est prise par l'armée comtoise le 22 janvier 1637. Elle subit encore d'autres attaques et pillages par le Comtois Lacuson, durant la guerre de Dix Ans.

La maison de Cuiseaux (ou Cuseau, Cuisel) tirait son nom de ce village de la Bresse. Elle possédait la baronnie de Clairvaux.

Jusqu'à la Révolution française, Cuiseaux, localité du département de Saône-et-Loire relevant depuis 1801 du diocèse d'Autun, dépendit du diocèse de Saint-Claude (érigé en 1742).

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