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4 mars 2024 1 04 /03 /mars /2024 17:43

Mailly se situe au sud du Brionnais, à l'extrême sud de la Bourgogne. La commune se répartit sur trois collines - Corbey, le Bourg et les Chavannes - séparées respectivement par le ruisseau du pré de la Caille, et le ruisseau des Riollets qui est un affluent direct de la Loire. Le sous-sol est composé d'argiles, de marnes et de calcaires du jurassique1

François Cérésa, journaliste littéraire et écrivain. Il est l'auteur de Les vampires du Brionnais, une intrigue dans laquelle les protagonistes, deux adolescents, passent leurs vacances à Mailly29. La commune de Mailly est également l'un des lieux privilégiés de son roman Moune, où l'auteur rend hommage à sa mère disparue : « Mailly ne doit rien au hasard. Son art roman coïncidait avec celui de ma mère. L'air y est léger, la terre argileuse. Ce nom qui fait des bulles n'obéit pas à la Bourgogne de Vincenot ou de Romain Rolland. Le Brionnais se fout de la littérature, des descriptions anorexiques ou de l'amphigourie ambiante. Sous le regard de Cluny, au nez et à la barbe de l'Auvergne, ses jarretelles d'arabesques ceignent des cuisses de pierre. D'aucuns y verront l'eau à l'embouche, d'autres un coup du Charolais. Anzy-le Duc ou Semur-en-Brionnais ne diront pas le contraire : les voûtes de l'Arabie lointaine, les feuilles d'acanthe et les démons de Baal y sont les bienvenus. L'Olympe en pince pour la framboise et les cognassiers. Un endroit du tonnerre de Zeus. 

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27 février 2024 2 27 /02 /février /2024 11:47

Les limites de la commune sont artificielles dans l'ensemble si l'on met à part les hautes collines de ses confins nord-ouest qui la bornent du côté de Saint-Julien-de-Jonzy et un kilomètre du talweg du ruisseau des Équetteries au sud face à Saint-Edmond. D'ailleurs, le tracé de ces limites est souvent rectiligne sur d'assez grandes distances notamment à l'est, dépourvu d'accidents naturels.

Le territoire entier de la commune s'étend sur la partie orientale du bombement brionnais qui penche vers le Sornin (tandis que son versant occidental écoule ses eaux directement vers la Loire). Il s'ensuit que sa pente générale est orientée vers le sud-est.

Ce n'est pas le relief qui donne au territoire municipal son unité puisque les cours d'eau le divisent en trois compartiments différemment accidentés. Celui que la rivière le Bezo délimite au nord-ouest de la commune - qui couvre un peu plus de 6 km2 - est le seul à présenter un modelé quelque peu vigoureux. Aussi bien appartient-il au « Brionnais bossu » où les altitudes sont les plus élevées ; le point culminant de la commune - 508 m - y est situé, sur la limite avec Saint-Julien-de-Jonzy. On ne se trouve pourtant pas sur la partie la plus élevée du bombement qui appartient à Sainte-Foy où l'on frôle les 550 m. Sur le glacis que représente ce compartiment les altitudes décroissent conformément au schéma général du nord-ouest vers le sud-est et la dénivelée y est importante ; entre le point culminant et l'aval du Bezo sur la commune (330 m), la pente moyenne est supérieure à 4 %. Le bourg de Ligny, qui appartient à ce compartiment et domine le Bezo, est à 375 m d'altitude.

Bien différent est le second compartiment qui occupe la partie centrale du territoire de la commune et s'étend sur plus de 7 km² soit presque la moitié de sa superficie totale. Il est compris entre deux cours d'eau, le Bezo et le ruisseau des Équetteries et se présente pour l'essentiel sous la forme d'une surface subhorizontale où les altitudes se cantonnent entre 390 et 370 m. Seuls font exception le nord du compartiment où du côté du Bois des Mussands on dépasse les 400 m et le sud où dans le vallon du Ruisseau où l'on n'est plus qu'à 333 m.

Le troisième compartiment sensiblement moins étendu que les deux autres (2,7 km2) occupe la partie de la commune à l'est du ruisseau des Équetteries. Il est inclus dans l'interfluve qui sépare ce cours d'eau du Sornin et il en forme le versant occidental. Ce versant est d'ailleurs plus court  et moins incliné que celui qui penche vers le Sornin sur la commune voisine de Saint-Maurice-lès-Châteauneuf.

Les altitudes y sont modestes, ce qui fait de lui la continuité du plateau central, entre 400 et 380 m.

Comme bon nombre de communes brionnaises, Ligny est médiocrement boisée. La modestie des altitudes, la modération du climat et les qualités pédologiques des sols ont conjugué leurs effets pour déterminer un défrichement précoce et généralisé des surfaces. Les 110 ha de forêt de son espace municipal lui confèrent un taux de boisement de 6,9 % qui s'apparente à celui de sa voisine Vareilles (6,23 %), un peu inférieur à celui de Vauban (8 %) mais bien supérieur à celui de Saint-Christophe-en-Brionnais (3,3 %), de Baudemont (1,81 %) ou de Saint-Laurent-en-Brionnais (1,39 %), des taux qui sont sans commune mesure avec ceux de la montagne beaujolaise somme toute peu éloignée (Ranchal 67 %) ou du Nord-Ouest brionnais fort proche Semur (45 %). Les espaces boisés se rencontrent essentiellement dans le nord montueux de la commune où le Bois des Moussands sur les deux rives du Bezo représente à lui seul 90 ha.

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 17:35

La Clayette est construite sur les bords d'un grand étang, ou petit lac, de trente hectares environ, alimenté par le ruisseau de la Genette, affluent du Sornin, qui lui-même se jette dans la Loire.

Le Sornin coule au sud de la commune et marque la frontière avec La Chapelle-sous-Dun et Varennes-sous-Dun.

L'étang de La Clayette s'étend d'ouest en est, avec une profondeur maximale de quatre mètres7.

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22 juillet 2022 5 22 /07 /juillet /2022 09:27

 

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12 juillet 2017 3 12 /07 /juillet /2017 09:37

Au XIe siècle l'église fut donnée à l'abbé de Cluny par le vicomte Archambaud Le Blanc lors de son départ pour Jérusalem[13]. La donation est confirmée en 1039 par un acte passé en présence de l'évêque de Mâcon. Elle est érigée en doyenné. Mais, en 1592, les habitants demandent et obtiennent que cette église soit sous la responsabilité d'un curé résident. Deux séries de travaux ont été réalisées au XIXe siècle : Les premiers sont effectués entre 1845 et 1850, la nef est alors reconstruite, sur le projet de Claude Berthier, architecte à Charolles, par l'architecte Antoine Paul Selmersheim. En 1879 sont réalisés des sculptures, des travaux de maçonnerie, la couverture de la flèche, des transepts et de la nef.

 

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9 juillet 2017 7 09 /07 /juillet /2017 06:05

Si il y a bien une commune ou j'aimerais finir mes jours ,je pense que Marcigny serait idéale. Au fin du Brionnais, près de la Loire, non loin de Roanne, mais encore suffisamment loin pour ne pas être polluée par la ville.

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4 juillet 2017 2 04 /07 /juillet /2017 10:48

Saint-Racho fait partie du Brionnais. La plus proche grande ville est Lyon, à environ 66 km au sud-est à vol d'oiseau.

Le mont Dun, ancien siège de la citadelle de Dun, culmine à 708 m d'altitude

L'ancienne communauté était appelée Dun. Elle était bâtie autour de la citadelle de Dun, sur le mont Dun, avant que l’armée de Philippe Auguste ne détruise citadelle et village en 1181. Les ruines en sont encore visibles dans le bois.

http://www.joannadedun.com/french/accueil.htm

http://pjpmartin.free.fr/site/brionnais.htm

 

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14 octobre 2008 2 14 /10 /octobre /2008 17:05

PACAUD (1)

 

 

  • ALAMARTINE Thomasse ~1562-
    fille de Claude ALAMARTINE et Sebastienne N., mariée avec Claude PEGON.
  • DUCRAY Marie ~1596-
    fille d'Etienne DUCRAY et ? ?, mariée en 1616 avec Antoine PEGON.
  • DUTRONC Magdelon ~1655-1706
    marié en 1686 avec Catherine ROUSSET.
  • GALLAY Martin
    fils de Georges GALLAY et Barbe FOURNIER, marié en 1600 avec Marie JAL, marié en 1606 avec Perrette PEGUEY.
  • MAGNIN Simone ~1537-
    mariée avec Andre RAJAUD.
  • MALETESTE Claudine 
    mariée vers 1544 avec Pierre RAJAUD.
  • MEHU Jacques ~1729-1794
    fils d'Adrien Honorable MEHU et Marie DUTRONC, marié en 1753 avec Benoite RAJAUD, marié en 1766 avec Pierrette VAIZAN.
  • PACAUD Marie †1729
    fille d'Edmond PACAUD et Barbe FURTIN, mariée en 1680 avec Claude CIRCAUD.
  • PEGON Antoine ~1591-
    fils de Claude PEGON et Thomasse ALAMARTINE, marié en 1616 avec Marie DUCRAY.
  • PEGUEY Perrette ~1588-1663
    fille de Benoit PEGUEY et Jehanne N., mariée en 1606 avec Martin GALLAY.
  • RAJAUD Benoite 1728-1766
    fille de Benoit RAJAUD et Antoinette BIGARD, mariée en 1753 avec Jacques MEHU.
  • RAJAUD Pierre 
    fils de N. RAJAUD et ? ?, marié vers 1544 avec Claudine MALETESTE.

Thomasse ALAMARTINE ca 1562
|
Antoine PEGON ca 1591
|
Benoite PEGON ca 1617-1692
|
Marc DECOURT †1690
|
Pierrette DECOURT 1674-1735
|
Jean LAMOTTE 1696-1752
|
Benoit LAMOTTE †1781
|
Claudine LAMOTTE 1748-1793
|
Jeanne ROBIN 1774-1845
|
Etienne MEHU 1800-1868
|
Jean Marie MEHU 1823-
|
Anne MEHU 1852-1896
|
Antoinette DUCAROUGE 1879-1968
|
Claudine FEBVRE 1900-1997
|
Jean BOITIER 1931-2016
|
Jean-Pierre BOITIER 1958

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25 septembre 2008 4 25 /09 /septembre /2008 18:07

CIRCAUD (1), DUBOIS (1), NEVERS (2)



VAUBAN

 

 

  • Eglise

 

 

Chapiteau du choeur Chapiteau du choeur Chapiteau du choeur

A la fin du XIe siècle, au nord de Saint Rigaud, des paysans se groupent autour d'un château, des moines construisent une petite église dédiée à Saint Saturnin[2]. Elle est consacrée par l'évêque de Mâcon, Etienne de Bagé. Ce petit village était connu sous le nom de Saint-Sernin-en-Brionnais.

Nouveau nom de la paroisse[modifier | modifier le code]

C'est par une ordonnance royale d'août 1725 que le nom se Saint-Sernin en Brionnais a été remplace par celui de Vauban[3], en érigeant la seigneurie de Saint-Sernin en comté, en faveur du neveu du maréchal de Vauban.

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25 septembre 2008 4 25 /09 /septembre /2008 18:05

BENESTUILIERE (1), BERTHELOT (1), BLONDEAU (6), CANET (3), COMTE (7), CORNELOUP (4), DESCAILLOT (1), JACQUIERT (1), PAGE (1), TURRET (1)



VARENNES SOUS DUN

Claude CORNELOUP ca 1510-ca 1598
&ca 1535 Jeanne VALIN ca 1510-ca 1598
 
  |  
  Claude Honorable CORNELOUP ca 1535-  
  |  
  Claude Honorable dit Goyon. dit Le Forestier CORNELOUP ca 1560  
  |  
 



 
  |     |  
  Adrianne CORNELOUP 1598-1654     Adrienne CORNELOUP †1665  
  |     |  
 



   



 
  |     |     |     |  
  Louise de LA THUILLERE 1620-1694     Georgette de LA THUILLERE ca 1630-ca 1675     Benoite MONTMESSIN †1685     Jeanne MONTMESSIN ca 1620-1667  
  |     |     |     |  
  Antoinette CORNELOUP †1742     Jean COMTE 1648-1713     Benoit JOLY 1654     Magdeleine JOLY 1662  
  |     |     |     |  
  Antoine CORNELOUP 1687-1736     Antoine COMTE 1682-ca 1741     Claudine JOLY 1692-1747     Claude COMTE 1695  
  |     |     |     |  
  |     |    



 
  |     |     |  
  Philippe CORNELOUP 1715     Philiberte COMTE 1713-1780     Marie COMTE 1732-1799  
  |     |     |  
 



    |  
  |     |  
  Claude CORNELOUP 1747-1810     Pierre FOURNIER 1752-1801  
  |     |  
  Antoine CORNELOUP 1776-     Louise FOURNIER 1780-1835  
  |     |  
 



 
  |  
  Anne CORNELOUP 1800-  
  |  
  Jean Marie MEHU 1823-  
  |  
  Anne MEHU 1852-1896  
  |  
  Antoinette DUCAROUGE 1879-1968  
  |  
  Claudine FEBVRE 1900-1997  
  |  
  Jean BOITIER 1931-2016  
  |  
  Jean-Pierre BOITIER 1958
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