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12 mars 2024 2 12 /03 /mars /2024 11:28

voir GUEUGNON

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27 février 2024 2 27 /02 /février /2024 11:58

ALEVEQUE (1), CHAMOGE (3), CHAPUIS (3), FUZY (1), NUGUES (1), TOURNY (1), VAIZAN (2),
 



CHATEAU DE MARCILLY

* XIIe siècle : la maison forte est tenue par une famille qui porte le nom de Marcilly
* XVIe siècle : la motte de Marcilly passe, par mariage, à Florent de Martel, gentilhomme dauphinois, puis à Jean-Gaspard de Bionnay
* vers 1650 : aux Bionnay, succède Étienne Dagonneau
* 1764 : la fortune de la famille Dagonneau ayant été dilapidée, le domaine est vendu à Jean d'Aoustène, payeur de la cour des monnaies de Lyon
* fin XVIIIe siècle : la fille et héritière du précédent épouse Claude Voiret, qui appartient à une vieille famille lyonnaise; par les femmes, le bien est transmis à la famille Sarton du Jonchay qui le possède encore de nos jours
* 1825 : le donjon est abattu

CHATEAU DE TERZE

* 1340 : première mention d'une maison forte tenue par la famille Colomb
* à partir du milieu du XVe siècle, à la famille précédente, succèdent:
o Émilienne de Montmorillon, épouse d'Adrien de La Garde
o Claude Bourgeois de Moleron
o la famille Martel
* fin du XVIIe siècle : la terre passe aux Dagonneau de Marcilly
* entre 1765 et 1823, plusieurs familles se succèdent à nouveau, le domaine passant à:
o Jean d'Aoustène, payeur de la cour des monnaies de Lyon
o Jean-Baptiste Sampier d'Arena, négociant à Lyon
o Claude Voiret de Chanay, ancien avocat général de Parlement de Dombes, et gendre de Jean d'Aoustène
* XXe siècle : propriété de la famille Sablon du Corail




 

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27 février 2024 2 27 /02 /février /2024 11:35

BOITIER (1)

 

 

 

 

Il y avait autrefois trois moulins sur le territoire actuel de la commune :

 

 

1° le moulin de Morillon (disparu)

2° le moulin de Crecou (en ruine, dans les broussailles)

3° le moulin de l'Aiguille : maintenant transformé en ferme auberge, le seul commerce de la commune

 

Quand la commune des Guerreaux a été créée en 1869, celle-ci prenait en fait la succession d'une ancienne paroisse disparue, celle de Morillon. On peut d'ailleurs se demander pourquoi ce n'est pas ce nom qui fut choisi pour la nouvelle commune. Il y eut sans doute une raison qui nous échappe ...

Morillon est très ancien. A l'aide de documents écrits et de l'archéologie, on peut essayer de reconstituer son passé.

 

Morillon. La charte n° 109 de Paray concerne une donation faite par Richard de Villars (il s'agit du lieu appelé maintenant Jarsaillon, commune de Chalmoux) datant des environs de 1020; le témoin cité est Hugues Morillon. Peut-être est-ce un de ses descendants, appelé aussi Hugues de Morillon, qui servit de témoin (avec Jocerand de Villars), vers 1065-1090, dans la charte n° 81 de Marcigny concernant Berthe de Luzy.

Chilieu (1). La charte n° 32 de Marcigny, datant de 1094, concerne une donation faite au prieuré de Marcigny par Liétaud de Cheleux. Le même, quelques années auparavant, avec sa femme Ama, avait fait un autre don au même monastère.

Ces deux cartulaires font souvent référence à d'autres personnages de notre secteur : la famille d'Anglure à La Motte-Saint-Jean, la famille de Perrigny, celle de Bourbon-Lancy bien sûr, la plus puissante. Des lieux habités font aussi l'objet de donations : le castrum de La Motte, les villages de Montassin, Mont-Benoît, Champabeau, Saint-Denis, Saint-Agnan. D'autres chartes, plus anciennes, du monastère de St-Martin d'Autun, citent la terre et l'église de Neuvy en 877 et en 924.

Qui étaient ces familles citées ? les propriétaires de grands domaines fonciers (appelés villas) nommés par le pouvoir (le comte d'Autun ou de Chalon) à titre de récompenses, ou les descendants des propriétaires gallo-romains ou carolingiens. On n'en sait pas plus ... (2)

 LES FORTERESSES DE L'AN MIL

Les chartes, encore elles, nous apprennent qu'il existait alors deux puissants lieux fortifiés, dénommés des castrums (3), établis sur des hauteurs : l'un à Bourbon-Lancy, l'autre à La Motte-St-Jean. S'il y en avait d'autres, ils ne sont pas Over-Blog.com / Administration [Éditer un Article]cités; en particulier, aucune mention d'un castrum à Morillon, qui existait vraisemblablement déjà.

L'archéologie peut aussi nous aider. Aux 10ème et 11ème siècles, les propriétaires terriens avait fait édifier des forteresses de terre et de bois. Comme seuls vestiges, il n'en reste quelquefois qu'une motte circulaire entourée d'un fossé. Ces fortifications ne sont pas sur des hauteurs, mais plutôt à mi-pente ou dans des fonds marécageux. C'est le cas de la motte de Vesvre (commune de Neuvy), de celles de Perrigny-sur-Loire et de Montperroux-le-Verd, de celles de Gueugnon, etc. Aucune n'est connue dans notre commune ... (4).

(1). ancien nom des Grands-Marions.

(2). Les noms de famille n'existent pas à cette époque, chacun étant désigné par son prénom, sa terre ou par référence à ses parents.

(3). mot latin signifiant lieu fortifié.

(4). Ne pas confondre avec les maisons-fortes des 14è et 15è siècles, aussi entourées d'un fossé.

Pierre Lahaye

 

 

LA COMMANDERIE DES TEMPLIERS

 

   Aux confins des communes de La Motte-Saint-Jean et des Guerreaux (1), des noms de lieux-dits intriguent les passants : le Boulet et la Loire. Soulevons légèrement le voile de l'Histoire pour en savoir un peu plus.

 

DES NOMS DE LIEUX DÉFORMÉS

 

Il faut déjà commencer par rétablir l'orthographe véritable de ces lieux-dits qui a été déformée au 19ème siècle par les géomètres qui établissaient les plans cadastraux.

Le Boulet s'écrivait auparavant le Boulay. Selon les spécialistes, ce terme rappellerait un lieu primitivement planté de bouleaux.

La Loire est une déformation récente du mot ancien la Loère (prononcer: louère). A la fin du Moyen Age, ce terme s'écrivait Loër et signifiait louage : lieu loué à un paysan qui exploitait l'endroit. En terme plus moderne, c'est l'équivalent du mot « locaterie » qui fut très à la mode au siècle dernier.

 

Continuons cette remise en ordre en expliquant le toponyme voisin des Bernard, dont il sera question plus loin. Il provient d'un nom de famille, les Bernard, qui étaient métayers en ce lieu au milieu du 18ème siècle. Le lieu-dit portait autrefois le nom de la Rivière, et avant encore, la Rivière sous le Boulay. En français ancien, le mot rivière signifiait : terrain proche d'un cours d'eau. Provenant du latin Riparia, riparius : qui se tient sur le bord des rivières; riverain qui habite les bords d'un cours d'eau. De fait, le hameau des Bernard, même s'il se situe sur un coteau, est à proximité de deux cours d'eau, modestes certes, mais qui servaient de limites aux temps de la féodalité. Quant à l'expression Sous le Boulay, elle n'a aucun rapport avec l'altitude des lieux, mais rappelle la dépendance hiérarchique de ce lieu-dit à la commanderie du Boulay dont nous allons maintenant parler.

 

UNE COMMANDERIE DE TEMPLIERS

 

L'on sait que l'Ordre du Temple fut créé en 1118 à Jérusalem et qu'il fut aboli en 1311 par un concile réuni à Vienne sous la pression du roi de France, Philippe IV le Bel, qui avait préalablement fait empri-sonner tous les membres de l'ordre résidant dans le royaume de France à l'aube du vendredi 13 octobre 1307. C'est le 2 mai 1312 que le pape donna tous les biens de l'Ordre du Temple à celui des Hospita-liers de Jérusalem. La commanderie du Boulay en faisait partie.

 

Car il y avait bien une commanderie templière au Boulay. Elle est citée dans le pouillé (2) du Cartulaire Rouge d'Autun, daté de la fin du 13ème ou du début du 14ème siècle :

« Prioratus Templi de Boleto, sous le vocable de S. Blaise »

 

C'est grâce aussi au procès des Templiers que l'on connaît quelques renseignements sur le Boulay. On y lit que « frère Pierre de Mont-Chauvet avait fait profession [de voux de religion] dans la chapelle de la maison de Boulay, au diocèse d'Autun, in capella domus de Bolleyo, Eduenses diocesis. On y trouve également frater Clemens de Boulay, Eduensis diocesis » [Frère Clément du Boulay, diocèse d'Autun] .

 

A partir de 1312, le Boulay devint une dépendance de la puissante commanderie du Beugney (commune de Chassenard). En 1666, c'était le chevalier de Merieu qui en était bénéficiaire, mais il n'y habitait pas. Il semble qu'ensuite, plus aucun commandeur n'y résida.

 

UN FIEF BIEN SITUÉ

 

Pour connaître la situation précise et l'étendue du fief du Boulay, il faut aller consulter les Archives dé-partementales de l'Allier et celles de Saône-et-Loire. A Yzeure, dans la série H, on peut consulter un atlas de toutes les possessions dépendant des Beugnets au XVIIIème siècle. Deux plans détaillés concer-nent le Boulay et La Rivière (3). A Mâcon, un dossier complète celui de l'Allier (4). Les propriétés du Boulay étaient très importantes. En ce qui nous concerne, le fief comprenait le château et sa chapelle, les villages de la Rivière et des Grands-Marions et le moulin de l'Aiguille.

 

Le territoire du fief est limité à l'est par les grands bois de la Motte (qui s'appelaient autrefois les bois de Morillon), à l'ouest et au sud-ouest par le ruisseau du Blandenan et le grand chemin de Bourbon à La Motte, au nord par l'ancien chemin de St-Agnan à Rigny, au sud par le chemin du Boulet à Issangy.

 

A quelque distance à l'est, c'était le grand chemin de La Motte à Neuvy, portion du grand itinéraire de La Motte à Luzy  et aux pays de l'Yonne. A l'ouest, c'était l'autre grand chemin de La Motte à Bourbon-Lancy. Situation très intéressante pour la surveillance de ces deux grands axes routiers médiévaux. Car n'oublions pas que les commanderies templières répondaient à plusieurs besoins : la sécurité rou-tière, l'accueil des pèlerins et des voyageurs, tenir des hospices ouverts pour porter secours sur les grands chemins aux croisés, aux pèlerins et aux marchands. Le Boulay était donc bien placé à quelques foulées de galop au nord de l'intersection de ces deux chemins.

 

 

LE CHATEAU DU BOULAY

 

Le plan des archives départementales de l'Allier, dressé en 1758, est très parlant. Un enclos circulaire, limité par un mur ou un fossé, possède en son centre un bâtiment qui est la chapelle de l'ancienne commanderie (passée sous le vocable de St-Jean-Baptiste). C'est elle qui est signalée en 1666 dans l'enquête bourguignonne de l'intendant Bouchu : « Il y a encore une chapelle nommée du Boulay, dépendante de la commanderie de Beugnay, ordre de St-Jean de Hierusalem. Elle est en très mauvais estat. Il ne s'y faict point de service qu'une messe par semaine que le Curé de St-Aignan célèbre, ou son vicaire. Elle vault 500 livres de revenu. Le chevalier de Merieu en est possesseur ». Sur le plan cadastral des Guerreaux de 1840, cette construction n'est plus mentionnée.

 

Le dossier des Archives départementales de Saône-et-Loire nomme les habitants de ces lieux ( 8 décem-bre 1758) :  Aignant Michel laboureur 58 ans

Laurent Lécorné laboureur 45 ans

Jean Baptiste Delahaye laboureur 41 ans

Philippe Laroze laboureur 30 ans

Charles Gonneaud laboureur 58 ans

Pierre Robin vigneron 55 ans

Antoine Marion fils de Joseph Marion laboureur 35 ans

 

Pierre Lahaye.2006

 

(1). Canton de Digoin. Nous espérons que nos voisins saintagnenais ne nous en voudront pas de vouloir accaparer un morceau de leur passé car, si les lieux sont maintenant sur la commune des Guerreaux, ils appartenaient autrefois à la paroisse de Saint-Agnan.

 

(2). Le pouillé était un inventaire de toutes les possesssions d'un évêché, par exemple celui d'Autun en ce qui nous concerne.

 

(3). H 1050 microfilm 2 Mi 27 (R122)

 

(4). H 192 suppl. Il faut savoir qu'une autre partie des archives du Boulay se trouve aux Archives du Rhône.

 

 

 

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 17:13

Les habitants se nomment les Hospitois. La tradition prétend qu'à l'origine, il y avait dans ce village un hôpital pour les lépreux, desservi par des religieuses qui portaient le nom de sœurs bonnes. Il était situé au lieu-dit appelé encore aujourd'hui les Sorbonnes et qu'on nommait à la fin du xviiie siècle : Esserbonnes ou Es-serbonnes. Au moment où Courtepée (un abbé sous-professeur du collège de Dijon) visitait la paroisse en 1776, il ne restait déjà plus aucune trace de cet hôpital. Ce n'était plus qu'un souvenir conservé par le nom du lieu, mais qui pourrait remonter à plusieurs siècles, c'est-à-dire à l'époque où la paroisse a commencé d'exister, et d'où elle a pu tirer son nom.

Quant aux mots Le Mercier, ajoutés à L'Hôpital, d'aucuns prétendent qu'ils viendraient du mot latin merces, edis qui veut dire : gage, récompense, pour indiquer que cet hôpital aurait cela de particulier que les malades y étaient admis à titre de récompense et gratuitement. On trouve parfois dans de vieux actes, au lieu de L'Hôpital-le-Mercier, L'Hôpital de Murcy ou de Murcye.

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 14:48

C'est avec Artaix et Saint-Martin-du-Lac2 une des trois communes du département de Saône-et-Loire dont le territoire est à cheval sur la Loire. Si le bourg est situé sur la rive droite (à l'est du fleuve), le hameau d'Outre Loire, le bien nommé, est situé sur la rive gauche (à l'ouest du fleuve).

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 14:24

PERCEVAL (1),


HAUTEFOND

Hautefond
Hautefond, autrefois orthographié Autefond, nom primitif pour Altus Fons qui signifie Fontaines Hautes.La commune d'Hautefond est située à l'est du canton de Paray-Le-Monial en direction de Charolles, à moins d'heure d'une heure de Mâcon, Chalon, Moulin, Roanne et Vichy par la route. Elle est traversée par les voies ferrées Paray-Lyon et Paray-Dijon.

La commune d'Hautefond est composée de plusieurs quartiers tels : Boyer, Mazoncle, Fommerand, La Rue, Rogabodo, Les Pommerets, Le Champ Tout Seul, Guichard, Corneloup, Les Places et La Redoute, sur 1330 hectares dont 330 de bois dont 10 exploitations occupent presque la superfice agricole à vocation.
Commune rurale mais néanmoins dynamique, elle comporte une zone d'activité économique, un patrimoine historique et une vie associative active.
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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 19:03

En 1817, sur les 11 millions d'aide accordés par le roi aux communes « qui ont le plus souffert des calamités de la guerre », Fontenay obtient 27,50 francs (arrêté préfectoral du 24 février 1817).

En 1866, protestation officielle de la commune contre des tentatives de suppression et de rattachement aux communes voisines de Viry et Baron15.

Elle présente pour particularité remarquable d'être la 4e commune la moins peuplée du département de Saône-et-Loire, avec 41 habitants recensés au .

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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 12:12

Chauffailles est une ville de contact entre la montagne beaujolaise et le pays de basses collines de l'Est roannais (comme l'est le bourg de La Clayette un peu plus au nord entre cette même montagne et le Brionnais).

Les trois quarts de l'assez vaste territoire de la commune s'étendent cependant sur la partie haute de la région, montueuse et boisée, qui confine aux communes d'Anglure-sous-Dun, de Saint-Germain-la-Montagne et Belmont-de-la-Loire (ces deux dernières appartenant au département voisin de la Loire). Cet espace communal qui appartient aux marges du haut-Beaujolais se cantonne pourtant dans des altitudes relativement modestes, le point culminant n'atteignant que 653 mètres, et son taux de boisement, quoique non négligeable, est nettement inférieur à celui qu'on rencontre plus haut à l'est (695 ha en forêt, soit 30 % ; cf Belleroche : 63 %).

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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 12:03

La commune de Chassigny-sous-Dun appartient à une région dont le paysage rural est le demi-bocage caractérisé par une forte dispersion de l'habitat ; les écarts y sont nombreux et le bourg ne rassemble généralement qu'une fraction assez limitée de la population. Le territoire municipal est ainsi parsemé de simples lieudits constitués d'un petit nombre de maisons mais aussi de hameaux groupant un nombre d'habitations plus considérable. Parmi les hameaux de Chassigny on peut mentionner au nord-ouest, outre Sornin, les Verchères et les Noirards ; dans la partie centrale, les Modeux, Vervier, le Bey, les Bruyères, Champ Villerêt, les Chefs ; au sud de la rivière de Mussy, les Perrets, les Pins de l'Ormay, les Chizelles ; dans la partie montueuse du nord-est, le Vieux Bourg. Les lieudits sont nombreux : la Montignière, la Gare, Prégéron, les Plains, les Pins, Mont Chef, Armond, les Brandonnes, les Combes, les Grands Genêts, les Ormes, les Perchats, les Pierres Folles, les Pierres Plates, les Justices, Terre de la Croix,

Le bourg occupe une situation centrale dans le territoire communal. Il groupe environ cent personnes soit un peu moins de 20 % de la population totale, proportion plus forte que dans bien des communes des environs3.

Les Vichaires, le Bief, les Pessailles, Molleron, Montcarron, Paquier de la Pierre Longue, Pré de l'Étang, Pré des Vernes, les Charnays, les Nisères, les Verchères, Bois de la Garenne, l'Absaire, l'Écheneau, la Grande Terre, la Place, la Roche Coupée, le Coup de la Pierre, le Haut du Creux, le Montrond, Montceneau, les Grandes Terres et quelques maisons de la Croix de la Rive (hameau constitué principalement sur la commune de Tancon). Quant aux quartiers du Bon Coin, de Pré Gérons et du Villard ils représentent des faubourgs du chef-lieu de la commune.

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24 février 2024 6 24 /02 /février /2024 11:56

Bourbon-Lancy est une petite cité médiévale dans le sud-ouest de la Bourgogne. Elle est située à l’extrémité ouest du département de Saône-et-Loire, à la limite avec l’Allier et la Nièvre. Bourbon-Lancy est à 27 km de Digoin, à 35 km de Moulins et à 55 km de Montceau-les-Mines.

 

Les thermes[modifier | modifier le code]

Les bains de Bourbon-Lancy sont réputés pour soigner les rhumatismes. On compte plusieurs sources chaudes : la Limbe (58 °C) et Saint-Léger, Valois, La Reine et Descures (au-dessus de 45 °C)5.

Bourbon-Lancy constituait une baronnie. Au xiiie siècle, les seigneuries de Bourbon-Lancy et d'Uchon étaient aux Semur de Luzy puis aux Châteauvillain. Mais bien auparavant, depuis le xie siècle au moins, une famille de Bourbon dominait la région de l'Arroux en Autunois, comme l'a montré l'historien Jean Richard35,36, dont les membres se nommaient notamment Ancéis (Ansei, Anséide, Ansedeus), et Bourbon l'Ancéis s'est transformé en Bourbon-Lancy. Cette famille a donné de nombreux rameaux à la généalogie compliquée : les Montperroux, les Clessy (cf. la postérité naturelle du duc Louis) etc. Il est plausible que par des mariages Bourbon-Lancy soit passé aux Semur37,38 puis aux Châteauvillain.

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