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14 septembre 2017 4 14 /09 /septembre /2017 23:25
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9 janvier 2009 5 09 /01 /janvier /2009 12:09





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27 septembre 2008 6 27 /09 /septembre /2008 14:05



San Gimignano est une des villes les plus pittoresques et suggestives de la Toscane.
Elle s'étend, toute embrassée dans sa double enceinte de murailles et parsemée de hautes tours, dans la mer d'oliviers qui recouvrent une colline dominant le Valdelsa.
Elle figure dans la liste du patrimoine mondial en Europe de l'UNESCO.

Histoire [modifier]

San Gimignano, d'origine très ancienne, a reçu son nom de l'évêque de Modène qui a vécu pendant le IVe siècle.

La ville conserve presque intactes ses caractéristiques architectoniques des XIIIe et XIVe siècles.

Ancien siège d’un petit village étrusque de la période hellénistique, Saint Gimignano commence son histoire aux alentours du Xe siècle où elle prend le nom du saint évêque de Modène, Saint Gimignano, qui aurait sauvé le bourg des hordes barbares. San Gimignano connaît un grand développement durant le Moyen Âge grâce à la voie Francigena qui la traverse. Y fleurissent nombre d'œuvres d’art qui décorent les églises et les couvents.

En 1199, San Gimignano devient une commune libre, avec son premier podestat après avoir rompu son asservissement aux évêques de Volterra. Elle prend alors le nom de San Gimignano delle belle Torri avec ses 75 maisons-tours mais elle souffre de luttes intestines qui la divisent en deux factions : celle des Ardinghelli (guelfes) et celle des Salvucci (gibelins). Le 8 mai 1300, elle héberge Dante Alighieri, ambassadeur de la ligue guelfe en Toscane.

La terrible peste de 1348 et le dépeuplement qui s'ensuit, jettent San Gimignano dans une crise grave et la petite ville doit se soumettre à Florence en 1353.

Elle subit ensuite autant les influences artistiques florentines, siennoises que pisanes

La ville est close de remparts et reste d'une architecture médiévale :

Les monuments les plus intéressants de la ville sont le Dôme, l'hôtel de ville (le palais du peuple) et l'église Sant'Agostino.

Les tours au nombre de 75, passent à 25 la fin de l'an 1500 et aujourd'hui, 13 demeurent intactes.

  • Sur la Piazza della Cisterna, place triangulaire avec son puits du XIIIe siècle qui lui donne son nom :
    • la Casa Salvestrini du XIIIe siècle,
    • le Palazzo Tortoli-Treccani, de 1300,
    • le Palazzo dei Cortesi avec une tour imposante,
    • les tours jumelles des Ardinghelli.
Icône de détail Article détaillé : Collégiale de San Gimignano.
  • L'église Sant'Agostino(1298) romano-gothique :
    • La chapelle San Bartolo et son autel en marbre de Benedetto da Maiano (1494)
    • Le chœur et son grand retable du Couronnement de la Vierge de Piero del Pollaiolo ; les fresques de Benozzo Gozzoli sur la vie de Sant'Agostino.
Icône de détail Article détaillé : église Sant'Agostino (San Gimignano).
  • Les maisons-tours :
    • Torre Rognosa, 52 m
    • Torre Grossa, 54 m
    • Torri dei Salvucci, jumelles de 51 m
    • Torri degli Ardinghelli
    • Torre dei Becci
    • Torre Chigi (1280)
    • Torre dei Cugnanesi
    • Torre del Diavolo
    • Torre di palazzo Pellari

La ville est inscrite au Patrimoine de l'humanité de l’UNESCO depuis 1990.

Complexe muséal [modifier]

.

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27 septembre 2008 6 27 /09 /septembre /2008 13:57
italien) est une ville italienne, chef-lieu de la province du même nom, dans la région de Toscane. Elle compte 54 500 habitants (2004).

La ville est célèbre pour son patrimoine artistique et pour la course du Palio delle Contrade, souvent abrégé en Palio, une spectaculaire course de chevaux qui voit s'affronter les contrade (paroisses et quartiers) de la ville deux fois par an, le 2 juillet et le 16 août. Elle figure dans la liste du patrimoine mondial en Europe de l'UNESCO.


 

 

Selon la légende, Sienne fut fondée par Senius et Aschius, fils de Rémus, lui-même frère de Romulus (fondateur de Rome). Ils fuirent la ville pour échapper à la fureur de leur oncle Romulus, sur deux chevaux donnés par Apollon et Diane, l'un blanc et l'autre noir. Ils s'arrêtèrent dans la vallée du Tressa et fondèrent une ville qu'ils baptisèrent du nom de l'aîné, Sienne (en latin Sena Julia). Le blanc et le noir devinrent alors les couleurs de la ville.

Sienne fut une ancienne colonie romaine fondée par Auguste. Au Ve siècle, elle devint siège épiscopal. La ville se développe dès le VIIe siècle à l'époque des rois lombards. Devenue cité libre et indépendante au XIIe siècle, elle fut la rivale de Florence, d'autant plus que gibeline, c'est-à-dire partisane de l'empereur, elle s'opposait à la politique guelfe – favorable au pape – de sa voisine qu'elle tint longtemps en respect avant de lui infliger une cinglante défaite en 1260, à la bataille de Montaperti.

Dès le XIIe siècle, les nobles propriétaires de castellari, palais urbains munis d'une tour carrée, contrôlaient un réseau de rues privées qui les reliaient à leurs alliés mais aussi aux marchés et à des portes de sortie sur la campagne qui leur permettaient de fuir vers leurs fiefs. Au lendemain des batailles du XIIIe siècle, les factions victorieuses s'appliquaient à piller les vaincus et à incendier leurs palais. Ces lieux, tel Carthage dans l'Antiquité, étaient réputés maudits et on interdisait, en guise de punition, de reconstruire par dessus. Ces lieux laissés à l'abandon devenaient ainsi des cloaques alors que la municipalité développait de grands soins à décorer et embellir la ville. Dans certains cas, les maisons n'étaient pas détruites mais confisquées par la municipalité, qui les rasait pour élargir les rues ou les places ; c'est ainsi que fut construite la Via Supra Posteria, aujourd'hui la Costa larga : tracée dès 1290, la municipalité attendit que Gabrielle Speranza, dont le palais se trouvait malencontreusement sur le chemin, soit déclarée traître et qu'un autre patricien meure, mais il a fallu attendre 1360 pour que cette voie soit ouverte.

La ville vit naître au XVIIe siècle l'Accademia dei Fisiocritici qui est l'Accademia delle Scienze di Siena.


 

Personnalités nées à Sienne [modifier]
Icône de détail Article détaillé : Personnalités nées à Sienne.
Icône de détail Article détaillé : École siennoise.

(pour les peintres de ce mouvement pictural de la Renaissance artistique)

Le Palio [modifier]
Le Campo en temps normal
Le Campo en temps normal

La célèbre course de chevaux remonte à la fin du XVIe siècle. Le concile de Trente interdisant les manifestations violentes (chasses aux taureaux, joutes collectives, etc.) qui se déroulaient, à Sienne, sur la place centrale, le Campo, la municipalité choisit alors d'instaurer une course de chevaux dans les rues de la ville.

En 1605, pour améliorer la sécurité des habitants, la course fut déplacée sur le Campo. En même temps, la course se courut désormais non plus entre individus (souvent de riches aristocrates) mais par contrada, à la fois quartier et paroisse de la ville.

Il existe 17 contrade différentes. Chaque course est disputée par 10 chevaux. Les sept contrade exclues participent à la course de l'année suivante. Elle est complétée par trois contrade tirées au sort parmi celles ayant couru l'année précédente. Les chevaux, des demi-sang, sont attribués aux contrade par tirage au sort. La course consiste en trois tours du Campo, ce qui ne prend guère que quelques minutes. Jusqu'en 1715, les jockeys utilisaient le sovatto, un fouet aux lanières munies de boules de plomb. Désormais, ils se contentent d'un nerf de bœuf, utilisé principalement pour frapper les chevaux et jockeys concurrents. Le cheval qui coupe en premier la ligne d'arrivée gagne la course, qu'il porte son jockey ou non. La contrada dont le cheval porte les couleurs remporte alors la bannière de soie attachée à une hallebarde, le palio à proprement parler.

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27 septembre 2008 6 27 /09 /septembre /2008 11:19

Florence (en italien Firenze) est une ville d'Italie, capitale de la région de Toscane et chef-lieu de province (417 386 habitants, les Florentins). Située au pied de l'Apennin septentrional, elle est traversée par le fleuve Arno.

Berceau de la Renaissance en Italie, capitale du Royaume d'Italie entre 1865 et 1870, inscrite au Patrimoine mondial de l'Unesco, Florence présente une très grande richesse artistique (églises, musées, palais) qui attire chaque année des millions de touristes venus du monde entier.

Capitale de la Toscane, la puissante cité des Médicis ne se laisse pas apprivoiser au premier coup d'œil. Les trésors artistiques de la Renaissance se cachent derrière la barrière austère de ses palais fortifiés ou de ses églises, où joue l'éclatante lumière d'Italie.

Florence a été fondée pendant l'époque romaine, en 59 av. J.-C., près du fleuve Arno. Elle n'a été qu'une simple bourgade jusqu'au XIIe siècle, début de son essor économique et artistique qui dura jusqu'au XVIe siècle.

Icône de détail Article détaillé : Histoire de Florence.

Du XIIe au XIVe siècle, Florence connaît de profonds bouleversements politiques et sociaux avec l'essor des riches familles de marchands groupées au sein du popolo, et le conflit entre les Guelfes et Gibelins qui partage l'Italie et Florence en deux. Ces deux processus accompagnent le développement de la commune qui, comme dans les autres villes de l'Italie septentrionale, désigne l'émergence de gouvernements autonomes qui ont acquis leur souveraineté après une lutte féroce débouchant sur la paix de Constance, octroyée par l'empereur Frédéric Ier en 1183. Les communes italiennes y ont acquis des droits souverains qui en faisaient de véritables cités-États.

La commune florentine naît environ un siècle après celle de Pise; elle est attestée dès 1081. Faut-il voir là l'absence d'une noblesse urbaine qui créait les premières communes partout en Italie ? En tout cas, le popolo des marchands cherche rapidement à faire partie des instances de la commune : le conseil exécutif du consulat, puis du podestat, une assemblée délibérative qui aura plusieurs noms. Florence connaît le combat des factions, avec les Gibelins qui triomphent dans les années 1240, avec le vicaire impérial Frédéric d'Antioche, bâtard de l'empereur Frédéric II. Les Guelfes sont au pouvoir en 1250 puis en 1266, quand ils prennent Florence avec l'appui de Charles d'Anjou, frère du roi de France appelé comme roi de Naples par le pape. Ces Guelfes sont soutenus par le popolo : ils créent la charge de capitaine du peuple en 1250, puis élaborent une nouvelle forme institutionnelle, la seigneurie, en 1282 : un conseil de prieurs, appartenant aux corporations des marchands, les fameux 7 arts majeurs des Arti (laine, draps, changeurs, juges et notaires, etc.), auxquels sont juxtaposés un gonfalonier de justice et des gonfalons (étendards) de quartiers, et ce alors que le podestat et le capitaine du peuple continuent d'exister. La faction guelfe se structure, reçoit même, pour les gérer, les biens des 4 000 Gibelins qui ont fui la ville. Dans les années 1290, les lois anti-magnatices entrent en vigueur : c'est la revanche des corporations de marchands qui interdisent aux nobles l'accès aux charges et limitent la taille des tours qu'ils avaient érigées.

Au début du XIVe siècle, Florence expérimente, tout comme les autres villes d'Italie (ex. les Della Scala à Vérone à partir de 1273), les seigneuries personnelles : Charles de Calabre la gouverne en 1323, suivi par le duc d'Athènes en 1343. Florence connaît une véritable crise au milieu du XIVe siècle : révolte du peuple, faillite des Peruzzi (grande banque) en 1343, peste noire qui fait disparaître la moitié de la population de la ville en 1348.

Eglise San Miniato al Monte
Eglise San Miniato al Monte

La ville est ensuite dominée par différents clans qui se disputent le pouvoir. En 1434, ce sont les Médicis qui deviennent maîtres de la ville. En 1569, Florence devient la capitale du grand-duché de Toscane. La ville garde de cette époque de nombreux monuments, dont l'église San Miniato al Monte (1018), l'église Santa Maria Novella, l'église Santa Croce, la cathédrale Santa Maria del Fiore (il Duomo, dont la coupole est réalisée par l'architecte Brunelleschi), abritant des œuvres de Giotto, Donatello ou encore Michel-Ange (voir les renvois sur tous ces monuments classés par genre).

Florence a été le chef-lieu de l'Arno, département français créé le 25 mai 1808, suite à l'annexion du royaume d'Étrurie à l'Empire français par les troupes napoléonniennes. La ville connut ensuite une période de lent déclin jusqu'en 1865, date à laquelle elle devient capitale du Royaume d'Italie. Elle perd ce statut en 1870, au profit de Rome.

Le 4 novembre 1966, une crue catastrophique du fleuve Arno provoque des dommages considérables dans toute la ville.

Le 27 mai 1993, un attentat frappe la Galerie des Offices, faisant plusieurs victimes et de nombreux dégâts.

 

 

 

 

  • 1330 : Andrea Pisano sculpte la porte de bronze doré du Baptistère de Florence.
  • 1337 : Décès à Florence du peintre et architecte italien Giotto.
  • 1370 : Le jeu de cartes arrive d'Orient en Europe par Florence.
  • 1378 : Une révolte de travailleurs réussit à Florence et entraîne la création d'une corporation des ouvriers du textile.
  • 1386 : Naissance à Florence du sculpteur italien Donato di Niccolo di Betto Bardi dit Donatello, mort en 1466
  • 1395 : Naissance à Florence du peintre italien Guido dit Pietro dit Fra Angelico, mort en 1455

Savonarole
Savonarole
  • 1403 : Le sculpteur italien Lorenzo Ghiberti commence à travailler sur les portes de bronze du Baptistère de Florence.
  • 1406 : La cité-État de Pise est vaincue par Florence.
  • 1421 : Le premier brevet connu est délivré à Florence.
  • 1429 : À Florence, activité de l'atelier de Luca della Robbia (sculpteur et céramiste).
  • 1434 : Cosme de Médicis devient le maître de Florence.
  • 1436 : Brunelleschi termine la coupole du Dôme de Florence.
  • 1440 : À Florence, Donatello fond le bronze David.
  • 1445 : Naissance à Florence du peintre italien Sandro Filipepi dit Sandro Botticelli, mort en 1510
  • 1452 : Naissance à Vinci, non loin de Florence, du peintre, sculpteur, architecte, ingénieur et écrivain italien Léonard de Vinci, mort en 1519 à Amboise (France)
  • 1458 : La construction du Palais Pitti commence à Florence.
  • 1466 : Décès à Florence du sculpteur italien Donato di Niccolo di Betto Bardi, dit Donatello.
  • 1469 : Début du principat de Laurent le Magnifique (Lorenzo Medici) à Florence, qui dure jusqu'en 1492
  • 1472 : Naissance à Florence du peintre italien Bartolomeo della Porta dit Fra Bartolomeo, mort en 1517
  • 1475 : Décès à Florence du peintre italien Paolo di Dono, dit Paolo Uccello.
  • 1485 : Le peintre florentin Sandro Botticelli peint à Florence la Naissance de Vénus.
  • 1494 : Naissance du peintre italien Francesco d'Ubertino dit Le Bachiacca à Florence. Succès d'un soulèvement populaire contre les Médicis à Florence. Charles VIII, roi de France envahit l'Italie et entre à Florence, les guerres d'Italie commencent.
  • 1498 : mort de Savonarole ; avec lui, Florence a défié la papauté romaine.

Une galerie aux Offices
Une galerie aux Offices
  • 1503 : Naissance à Florence du peintre italien Agnolo di Cosimo dit Bronzino, mort en 1572
  • 1510 : Décès à Florence du peintre italien Sandro Filipepi dit Botticelli.
  • 1512 : Les Habsbourg réinstallent les Médicis à la tête de Florence.
  • 1517 : Décès à Florence du peintre italien Bartolomeo della Porta dit Fra Bartolomeo.
  • 1560 : La construction du Palais des Offices commence à Florence.
  • 1563 : Création par Vasari de l'Académie du dessin de Florence, première académie artistique en Europe.
  • 1572 : Décès à Florence du peintre italien Agnolo di Cosimo dit Bronzino.
  • 1574 : Décès de Giorgio Vasari le 27 juin. Écrivain, peintre et architecte italien, il initie la notion d'histoire de l'Art.
  • 1582 : L'Accademia della Crusca, première académie de langue italienne est fondée à Florence.
  • 1597 : Création à Florence de Dafne de Jacopo Peri, considéré comme le premier opéra de l'histoire dont la musique a été perdue.

Les apports de la Renaissance se diffusant dans toute l'Europe, ils cessent d'être l'apanage de l'Italie (et de Florence) et peu de choses sont à dire de cette époque.

L'apogée de la marqueterie de pierres dures, le second art florentin organisé par l'Opificio delle pietre dure.

  • En 1737, l'extinction de la dynastie des Médicis et l'ascension de François II de Toscane, duc de Habsbourg-Lorraine et mari de Marie-Thérèse d'Autriche, emmène la Toscane comme territoire satellite de la couronne autrichienne, en restant géographiquement séparée. La dynastie grand-ducale Lorraine-Habsbourg régne calmement sur la ville, en lui accordant des libéralités : pendant que Livourne devient un port-franc parmi des plus actifs de la Méditerranée, le grand-duc Pierre-Léopold entame la réforme agricole et est le premier régnant en Europe à abolir la torture et la peine de mort. La réputation de monarque éclairé lui fit gagner l'estime du siècle des Lumières.

  • 1808 : Annexion du Royaume d'Étrurie par les troupes napoléonniennes et constitution du département de l'Arno avec pour chef-lieu la ville de Florence.
  • 1826 : Naissance à Florence de Carlo Lorenzini dit Carlo Collodi, l'auteur de Pinocchio.
  • Dans la seconde moitié du XIXe siècle, la communauté étrangère arrive à représenter le quart de la population et de cette période remonte la vision romantique de la ville par les écrivains comme James Irving et des artistes préraphaélites et qui laisse en héritage à la ville de nombreuses villas de magnats (surtout anglais) avec leurs éclectiques collections d'art, qui aujourd'hui sont des musées : le Musée Horne, le Musée Stibbert, la Villa La Pietra, etc.
  • 1890 : Décès à Florence de Carlo Collodi, enterré au cimetière de San Miniato al Monte.

  • La population de Florence qui avait doublé au siècle précédent, triple au XXe siècle avec la croissance du tourisme, du commerce, des services financiers et de l'industrie.
  • Pendant la Seconde Guerre mondiale la ville est occupée des Allemands entre 1943 et 1944. Elle résiste à l'occupation nazi et fasciste, avec son point culminant à l'insurrection d'août 1944 et dans la bataille épaulée par les forces des partisans pour la libération de la ville le 11 août 1944.
  • Le Ponte Vecchio est un des symboles de la ville de Florence. Il traverse l’Arno dans son point le plus étroit. La première construction en bois remonte à l'époque romaine. Détruit en 1333 par le fleuve, il fut reconstruit en pierre en 1345. Sa particularité réside dans le fait qu’il possède des boutiques (principalement des bijouteries) sur tout son long. Le Corridor de Vasari surplombe une des 2 rangées de boutiques et permettait aux Médicis de rejoindre le Palais Pitti depuis le Palazzo Vecchio et les Offices sans les dangers de la rue.
  • Le Pont Santa Trinita.
  • Le Ponte Alle Grazie.
  • Le Ponte alla Carraia.
  • Le Ponte di San Niccolò.
  • Le Ponte Amerigo Vespucci
  • Le Ponte alla Vittoria
  • Le Ponte all'Indiano

Seul le Ponte Vecchio a échappé aux destructions de la Seconde Guerre mondiale (bombardements allemands). Les autres ont tous été reconstruits depuis, plus ou moins à l'identique.

 

 

Les palais [modifier]
Palais Pitti
Palais Pitti
  • Le Bargello (Palazzo Bargello) est un palais construit en 1255 qui abrite depuis 1865 un musée national, le Museo Nazionale del Bargello. Ce bâtiment austère, qui est surplombé par une tour de 60 m, fut à son origine le palais du podestat, puis tribunal, prison et enfin musée depuis 1859.
  • Le Palazzo Vecchio qui se trouve sur la Piazza della Signoria, est l'Hôtel de ville de Florence. Construit à la fin du XIIIe siècle par Arnolfo di Cambio, il fut entre autres, le siège de la Chambre des députés du Royaume d'Italie durant sept ans lorsque la ville était la capitale du pays. Le palais abrite également un musée.
  • Le Palais Pitti (Palazzo Pitti) est aujourd'hui le plus grand palais de la ville. Sa construction débuta en 1458, pour le compte d'un banquier du nom de Lucca Pitti, et fut dessiné par Filippo Brunelleschi. Les Médicis acquirent le palais en 1560, et y emménagèrent. Actuellement, le palais abrite notamment la Galerie Palatine, la Galerie d'Art moderne et les appartements royaux.
  • Le Palais Bartolini (Palazzo Bartolini o Palazzo degli Sportici) est l'hôtel le plus vieux de la ville (première mention en 1386). L'actuel palais fut construit par Baccio d'Agnolo autour de 1520, au même emplacement qu'il occupait depuis le XIIe siècle probablement. Il abrite en ses murs une tour du XIIe siècle, la torre Monalda [1], des verrières [2] de Ulisse de Matteis du début du XXe siècle. Il est par ailleurs en plein centre de la ville, dans un quartier prestigieux, et entouré d'autres palais historiques (Palazzo Davanzati, Palazzo Strozzi, Palazzo Strozzino... )

Les jardins [modifier]
Jardin de Boboli
Jardin de Boboli
  • Le Jardin de Boboli (Giardino di Boboli) est adjacent au Palais Pitti et au Forte Belvedere. Le jardin, construit pour Éléonore de Tolède est remarquable pour sa collection de sculptures, qui vont de l'Antiquité romaine aux XVIe et XVIIe siècles.
  • Le Jardin des simples (Giardino dei Semplici) est un département du Musée d'histoire naturelle de l'Université de Florence.
  • Parco delle Cascine.
  • Giardino Bardini dans l'Oltrarno.

Les musées [modifier]
La Galerie des Offices avec, au fond, le Palazzo Vecchio
La Galerie des Offices avec, au fond, le Palazzo Vecchio
  • La Galerie de l'Académie (Galleria dell'Accademia) est l'un des musées incontournables de Florence. Il est abrité par l'Académie du dessin de Florence créée en 1562, transférée dans ses bâtiments en 1784 et comporte, depuis 1873, plusieurs œuvres de Michel-Ange, notamment le célèbre David, les quatre prisonniers et la Pietà da Palestrina.
  • La Loggia dei Lanzi (loge des Lansquenets) qui comprend nombre de statues (originaux ou copies) dont le Persée de Cellini, l'Enlèvement des Sabines et Hercule luttant avec le Centaure de Giambologna, le viol de Polyxène de Pio Fedi.
  • La Galerie Palatine (Galleria Palatina), est un musée situé au Palais Pitti. Construit sur ordre de Ferdinand II de Médicis, il fut décoré par Pierre de Cortone. Il regroupe les œuvres des collections Médicis et Lorraine. Les œuvres exposées couvrent principalement la période comprise entre le XVIe et le XVIIIe siècle.

 

 

 

  • La Galerie de l'Académie (Galleria dell'Accademia) est l'un des musées incontournables de Florence. Il est abrité par l'Académie du dessin de Florence créée en 1562, transférée dans ses bâtiments en 1784 et comporte, depuis 1873, plusieurs œuvres de Michel-Ange, notamment le célèbre David, les quatre prisonniers et la Pietà da Palestrina.
  • La Loggia dei Lanzi (loge des Lansquenets) qui comprend nombre de statues (originaux ou copies) dont le Persée de Cellini, l'Enlèvement des Sabines et Hercule luttant avec le Centaure de Giambologna, le viol de Polyxène de Pio Fedi.
  • La Galerie Palatine (Galleria Palatina), est un musée situé au Palais Pitti. Construit sur ordre de Ferdinand II de Médicis, il fut décoré par Pierre de Cortone. Il regroupe les œuvres des collections Médicis et Lorraine. Les œuvres exposées couvrent principalement la période comprise entre le XVIe et le XVIIIe siècle.
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