Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 17:23
CHALMOUX SALOMON (1), CHAMPMARTIN (1), CHAPPEY (1), CHARLES (1), COMMEAU (1), DAMBRUERE (2), DEPOIL (1), GOLLIARD (3), JANNOT (1), LABONDE (3), NECTOUX (4),

château de Montjeu est situé sur la commune de Broye en Saône-et-Loire, dans un parc occupé par une forêt, des étangs et les jardins, sur la montagne qui domine Autun.

[modifier]

acquisition par la veuve du président d'Aligre qui remplace les ponts-levis devant et derrière le château par des ponts dormants et supprime le mur percé d'un portail monumental qui fermait la cour

Industriel du bois, il pensait y trouver de très belles ressources. Lui-même et sa femme, née Anne-Marie Lyon, se prennent d’une vraie passion pour cette magnifique propriété alors en très piètre état.

Le château était alors flanqué de deux corps de bâtiment importants, les communs avec écuries, pigeonnier et logements et une ferme. Deux autre fermes étaient exploitées : à la porte des Vernes de Lyre et à la porte de Broye.

Un grand chantier de restauration s’ouvre alors : Reconstruction des chemins et revêtement de la route principale, qui permettait aux habitants de Broye de se rendre à Autun, en traversant la propriété. Remise en état des jardins à la française suivant les plans de Lenôtre, conservés au château. Forêt : Coupe des arbres malades et dégagements des taillis. Conservation de la futaie « Rageot », magnifique bois de hêtres plus que centenaires. Replantation en résineux suivant le désir des eaux et forêts. Reconstruction du mur faisant le tour du parc de 750 hectares ; ce mur, d’environ 7 kilomètres était écroulé en de nombreux endroits Le potager qui se trouve en contrebas des parterres est reconstruit et fournit au domaine les fruits et légumes nécessaires.

M. Demon obtient après la guerre l’inscription à L’ISMH. Dès 1948, la ferme principale est équipée d’un matériel de traite électrique des vaches importé des Etats-Unis. En 1950 réfection à l’ancienne des toitures du château et remise en état d’origine par suppression des gouttières, suivant les préconisations de l’administration des Monuments Historiques. A l’intérieur, le château bénéficie de travaux visant à lui donner le confort adapté à l’époque. La chasse était une des plus réputées de Bourgogne : sangliers, chevreuils et daims dans un enclos privé de 750 hectares. Les étangs de la Toison fournissaient l’eau de la ville d’Autun et une pêche de plusieurs tonnes.

Le magnifique travail de renaissance de Montjeu sera reconnu et Madame Demon recevra les Palmes Académiques et le Mérite Agricole.

Montjeu a permis à M. Demon, Commandeur de la Légion d’Honneur et « gueule cassée » de 1914-1918, de cacher une famille juive poursuivie par les nazis en 1944 ; l’institut Yad Vachem lui a décerné de ce fait le titre de « Juste parmi les Nations ».

  • à partir de 1963 : après l'incendie qui a détruit l'intérieur du corps de logis central et endommagé l'aile Nord, le propriétaire, le docteur Manchot, fait réparer le château
  • A la fin des années 1980, le château est racheté par le milliardaire franco-britannique, Sir Jimmy GOLDSMITH. La propriété est alors définitivement fermée au public, alors qu'auparavant le parc était accessible un jour dans l'année : le Lundi de Pentecôte

Le nouveau propriétaire entreprend immédiatement une oeuvre de restauration très importante : mobiliers et aménagements intérieurs, restauration des communs et pavillons et, surtout, reconstruction des jardins et bassins extérieurs qui étaient quasiment en ruine ainsi que l'aménagement de vergers et d'un potager en bordure des jardins. Le résultat final est assez spectaculaire comme en témoignent des vues par paramoteur disponibles sur internet. De plus, le milliardaire rachète de nombreuses parcelles de forêt jouxtant le parc clos de murs du château, portant la surface de la propriété à plus de 1000 hectares. Il se dit qu'il s'agit du plus grand parc clos privé d'Europe ( plus de 600 hectares )

  • Après la mort de Mr J. GOLDSMITH le 18 juillet 1997 la propriété aurait été léguée à Mme Laure BOULAY DE LA MEURTHE, la mère de deux de ses enfants.
BROYE
Partager cet article
Repost0
13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 17:23

BERGER (2), BERT (1), BOUVERET (1), CADOT (13), CAVET (1), CHANTEREAU (2), CHARLES (1), CORDIER (2), DAUJOURDY (1), DE CORGEAT (2), DEGRANGE (2), DUBOIS (11), GAUTHERON (1), GUICHARD (1), JACOB (1), LALLY (1), LARIVIERE (1), LE NUD (1), LECUELLE (1), MERCIER (2), PERNOT (1), PLATERET (1), PLISSONNIER (1), PRUDENT (1), SEURRE (1),

1256 : Ponce III de Cuiseaux, sire de Branges, accorde une charte de franchise aux habitants du bourg.

Dans la première moitié du xvie siècle, c'est Jean de Lugny, chevalier, « dernier héritier mâle de la maison de Lugny », seigneur de Lugny – et par ailleurs comte de Brancion, baron de Saint-Trivier-en-Dombes, de Blaignac, de Lessard et de Sagy –, qui est seigneur baron de Branges17.

Entre 1973 et 1979, Branges est une commune associée de Louhans. En mars 1979, elle décide de se séparer et de redevenir une commune à part entière.

 

 

Héraldique [modifier]

 

 

Blasonnement : de gueules au pélican d'argent avec sa piété de gueules dans son aire d'or, au chef cousu d'azur chargé d'une fleur de lys aussi d'or

Waldeck Rochet

Partager cet article
Repost0
13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 17:22

BERNARD (11), DESAUGERES (20), DEVILLON (2), DUFOUR (10), FOURRIER (2), GRONFIER (9), LAUVERNIER (1), MONTREAU (1), PEGUET (3), RICHARD (9), ROUGEMONT (1), ROUGEOT (1), SEGAUD (2), TOUILLON (4),

En 1972, les communes de Bragny-en-Charollais et de Saint-Vincent-lès-Bragny pour former la commune actuelle.

 

  • Château de la Chassagne, inscrit aux Monuments historiques. Arrêté du  (Cad. BX, 7 à 28).
  • Prieuré de Bragny, inscrit aux monuments historiques. Arrêté du  (Cad AY49) dit « Prieuré Saint-Martin de Bragny », dont les revenus appartiennent à l'abbaye de Saint-Martin d'Autun. Vers 1500, le prieur de Bragny, adresse une lettre à l'abbé de Saint-Martin d'Autun : Tristan de Salazar, lui faisant savoir qu'il dépose une requête au roi pour obtenir justice en nos mex et maison de la Boutière et qu'on y dresse un signe patibulaire à un pilier24.
  • Anciennes carrières qui, pendant des siècles et jusqu'à l'apparition du ciment armé, fournirent, avec celles de Clessy, les encadrements de portes et de fenêtres, les marches d'escalier et les manteaux de cheminées de quantités de demeures de Digoin, Gueugnon et Paray-le-Monial25.
Partager cet article
Repost0
13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 17:22
BOYER
BOYER
BOYER
BOYER

RETHY (4),

Sur le territoire de la commune se trouve le Mouron (296 mètres), sommet dont le « franchissement » par la route de poste reliant Lyon à Paris fut longtemps problématique (en raison d'une pente atteignant les 7 à 9 %), ce qui nécessita, de 1845 à 1847, la réalisation de travaux de rectification du tracé de cette route qui permirent de le contourner par l'est (la route de poste étant devenue, à cette date, la route royale n° 6)[1].

 

 

 

 

 

 

 

  • À l'origine : fief du chapitre Saint-Vincent de Chalon.
  • fin du XVIe siècle : il est aliéné à la famille de Grenelle de Pymont.
  • 1666 : il passe par mariage à Jean-Baptiste Larme.
  • 1719 : il échoit à Antoine Chapuys, de Tournus.
  • 1810 : transformations.
  • 1842 : le baron Ducret de Lange fait bâtir un logis en retour d'équerre de l'habitation de l'époque.
  • 1869 : construction d'une chapelle dont une ancienne tour ronde devient le clocher.

 

Famille de Vienne

  • XIIIe siècle : Hugues de Vienne, seigneur de Pymont, tient le château primitif
  • 1270 : Philippe de Vienne, fils du précédent, lui succède
  • 1303 : Hugues de Vienne, fils du précédent, lui succède
  • 1315 : Philippe de Vienne, fils du précédent, lui succède
  • 1370 : Gui de Vienne, fils du précédent, lui succède
  • 1404 : Jacques de Vienne, fils du précédent, lui succède
  • 1445 : Jean de Vienne, fils du précédent, lui succède
  • 1445 : Louis de Vienne, fils du précédent, lui succède
  • 1486 : Gérard de Vienne, fils du précédent, lui succède

Époque Renaissance

  • 1515 : Humbert Lapyrat en est le propriétaire
  • 1530 : Jeanne de Verjus porte le fief par mariage à Philibert Quarré, puis à l'avocat mâconnais Jean Pelez

Famille de Grenelle

Famille Aubel de la Genète

  • 1741 : Jeanne de Grenelle reçoit le domaine en dot lors de son union avec Antoine Aubel de la Genète
  • vers 1870 : le petit-fils des précédents, ami de Lamartine, ajoute une aile de style néo-gothique et aménage le parc dans lequel coule la Natouse

Famille de Rivérieulx

  • fin XIXe siècle : Marie-Suzanne Aubel épouse Marie-Jules de Rivérieulx de Varax
  • première moitié du XXe siècle : Henri de Rivérieulx de Varax, fils des précédents, leur succède

Époque contemporaine

Armoiries [modifier]
  • Vienne : De gueules à l'aigle d'or, membrée d'azur
  • Quarré : Échiqueté d'argent et d'azur; au chef d'or chargé d'un lion de sable, armé, lampassé et couronné de gueules
  • Rivérieulx de Varax : D'azur, à une rivière d'argent surmontée d'un croissant du même
  • 1408 : Étienne de Barrin de Champrond est propriétaire des lieux
  • 1568 : la terre échoit aux Galland
  • XVIIe siècle : la terre fait partie des biens du chapître de Chalon
  • période révolutionnaire : le domaine est cédé comme bien national à un nommé Passaut
  • XIXe siècle : les héritiers du précédent revendent l'ensemble à Claude-Jules-Émile de Franc
  • 1862 : le précédent démolit le château et fait édifier la demeure actuelle
  • 1895 : la propriété passe par mariage à la famille de Froissard de Broissia
  • 1956 : la propriété passe par mariage à la famille des Boscs

Armoiries [modifier]
  • de Froissard de Broissia : D'azur au cerf passant d'or
  • des Boscs : " ''D'or à trois chênes de sinople sur une terrasse de même "
Partager cet article
Repost0
13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 17:21

RETHY (16)

Montceau-les-Mines (en charolais Montciau-lez-Mines) est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire

 

 

 

 

Chronologie Montceau-les-Mines

 

1769 : Concession de l’exploitation du charbon à François de la Chaise.

1786 : François de la Chaise cède la concession à la Société des Fonderies Royales de Montcenis.

1791 : Achèvement du canal du Charollais (1783-1791) qui ouvrira à la navigation en 1793

1795 : Les concessionnaires du Creusot cèdent l’exploitation de leurs charbonnages de Blanzy à une société dont le siège est dans cette localité.

1818 : Jean-François Chagot acquiert les entreprises de Blanzy et du Creusot.

1821 : Arrêt de travail aux mines de Blanzy pour augmentation de salaire.

1825 : grève pour augmentation de salaire.

1826 : Ne pouvant lutter contre la concurrence anglaise, Jean-François Chagot vend à MM. Manby et Wilson les Mines et Forges du Creusot pour se consacrer uniquement à l’exploitation du site de Blanzy.

1832 : Ordonnance royale stipulant la séparation des concessions de Blanzy et du Creusot. Les frères Chagot vendent la cristallerie du creusot 0 Baccarat et Saint-Louis.

1833 : Constitution de la société Jules Chagot, Bassano, Perret et Cie.

1834 : Édification de la cité des Alouettes avec une chapelle, un hôpital, une école, un ouvroir. En 1834, la bourgade ne comptait encore que 315 habitants.

1838 : Nouvelle Société Jules Chagot, Perret-Morin et Cie.

1840 : Équipement du Puits Sainte-Barbe.

1841 : Acquisition des concessions de la Theurée-Maillot, des Badeaux et des Porrots.

1844 : Acquisition des concessions des Crépins et des Perrins, de Saint-Bérain et de Saint-Léger.

1846 Léonce Chagot, neveu de jules, est associé à la gestion de la Compagnie.

1847 : catastrophe du puits Ravez. Établissement d’une première fabrique d’agglomérés.

1849 : Établissement de fours à coke et d’un atelier de fabrication des agglomérés de Montceau.

1851 : catastrophe du puits cinq Sous (6 morts). Acquisition de la concession du Magny.

(JPG)

Trieuses de charbon

1852 : Construction de la cité du Bois du Verne. Grève pour augmentation de salaire.

1853 : Catastrophe du puits Ravez (10 morts) et du puits Cinq Sous (13 morts). Équipement des puits Saint-François I et Maugrand.

1854 : Équipement du puits Magny 1. Construction de la cantine à la neuvième écluse.

1855 :Catastrophe du puits Ravez (29 morts). Équipement du puits Saint-François II

1856 : Création de la commune de Montceau-les-Mines avec des fractions de territoire enlevées aux communes voisines de Blanzy (le Montceau, le Bois-du-Verne, les Etivaux, la Petite-Sorme, Bel-Air, le Plessis, le Moulin, les Grands-Bois, le Bois-de-Gueurce), de Saint-Vallier (les Oiseaux, Lucy, Barrat, la Saule), Saint-Berain-Sous-Sanvignes (le Bois-Garnier), Sanvignes (le Magny). 2302 habitants. Léonce Chagot, co-gérant de la compagnie des Mines, est nommé maire par décret impérial. Démission de MM. Perrin-Morin. Nouvelle société Jules Chagot et Cie. Équipement du Puits Sainte-Marie.

1857 : Construction de la cité du Magny. Construction de l’Église paroissiale, consacrée par l’évêque d’Autun en 1862.

1860 : La compagnie des Mines inaugure un système d’incitation à la construction avec des prêts remboursables par prélèvement sur le salaire des ouvriers et employés. Développement des villages de la Sorme, du Bois-Roulot, du Champ-du-Moulin et de Lucy.

1861 : Montceau-les-Mines compte 3337 habitants. Construction des cités de la Sorme, du Bois Roulot, du Champ du Moulin. Ouverture de la ligne Chagny-Montceau.

1862 : Établissement d’un nouvel atelier pour la fabrication des agglomérés. Construction de la cité Bel Air. Raccordement par voie normale des établissements centraux à la ligne P.L.M.

1863 : Instauration de la méthode d’exploitation par remblayage.

(JPG) Jules Chagot en 1864

1865 : Achat de la verrerie de Blanzy pa la Compagnie des Mines. Achèvement d’un réseau ferroviaire à voie de 0,80 m.

1866 : 5377 habitants.

1866-1876 : Édification des cités du Magny, du Bois-du-Verne et de Bel-Air.

1867 : catastrophe du puits Cinq Sous (89 morts). Équipement des puits Saint-Pierre, Magny II et Lucy IV.

1868 : La commune de Montceau-les-Mines s’agrandit par annexions de nouvelles fractions de territoire des communes de Blanzy et de Sanvignes (loi du 4 juillet). Émeutes contre les ouvriers piémontais.

1869 : Construction de bâtiments scolaires dans le cadre des écoles de la Mine. Ouverture d’un bureau de postes à Montceau.

1870 : Aménagement de l’étang du Plessis en réservoir pour l’alimentation en eau du canal du Centre. Ouverture du second tronçon de la voie ferrée Chagny Paray-le-Monial.

1871 : Achèvement et ouverture d’un nouvel hôpital près de la 9e écluse. catastrophe du puits Ravez.

1872 : catastrophe du puits St Eugénie (39 morts). 8 287 habitants.

1874 : Montceau-les-Mines devient chef-lieu de canton. Établissement de l’air comprimé et de la perforation mécanique.

1875 : 11 000 habitants. Fondation des usines J.B. Aillot (constructions mécaniques)

(JPG)

Moulin à vapeur et boulangerie de la mine

1876 : Construction et inauguration de l’Hôtel de Ville et d’une caserne de gendarmerie.

1877 : Mort de Jules Chagot. Lui succède son neveu Léonce Chagot, auparavant co-gérant de la Compagnie.

1878 : Léonce Chagot est remplacé par un républicain, le docteur Jeannin, à la mairie.

1881 : Fondation du tissage à l’emplacement du lycée actuel.

1882 : Achèvement et ouverture des groupes scolaires de la rue Carnot et de la rue de l’Est (aujourd’hui rue Jean-Jaurès). Manifestations de la Bande Noire (mouvement anarchiste) de 1882 à1884.

1883 : Équipement du puits Jules Chagot.

1886 : 15235 habitants. Construction d’une passerelle métallique sur le canal

1888 : Premières manifestations de la bande à Patin (milice patronale). Équipement des puits Saint-Louis et Saint-Amédée.

1890 : Achat du tissage pour la compagnie des Mines.

1891 : 19 499 habitants. Inauguration de la statue de Jules Chagot.

1893 : Mort de Léonce Chagot. Lui succède son neveu M. de Gournay.

1895 : Création d’une usine de vannerie. Catastrophe du puits Sainte Eugénie (28 morts).

1896 : 22271 habitants.

1897 : Catastrophe du puits Sainte Eugénie (4 morts).

1899 : Grève pour la reconnaissance du syndicat. Création du syndicat des mineurs. Incendie de la vannerie. Fin de l’entreprise.

1900 : Election du premier conseil municipal socialiste, Jean Bouveri est élu maire. Fondation d’une cartonnerie à la place de la vannerie. Début d’exploitation du chemin de fer d’intérêt local Montceau-Beaubery. Transformation de la Société Jules Chagot et Cie en société anonyme des Mines de Blanzy.

(JPG)

1901 : Grève de 108 jours. 28 799 habitants. L’accroissement de la population profite aussi aux communes voisines sur le territoire desquelles s’édifient les nouvelles cités (les Gautherets, les Baudras, Rozelay).

1905 : Inauguration du monument aux victimes de la mine.

1906 : Début des établissements de bonneterie Gerbe : premiers ateliers aux Georgets, à Blanzy au Bois-du-Verne (machines à main). construction de la cité des Essarts. Grève pour les 8 heures.

1910 : Équipement du puits des Alouettes. Fermeture de la cartonnerie.

1911 : Vente de la verrerie de Blanzy. Cette verrerie, de fondation ancienne (début du siècle), était depuis 1865 la propriété de la Compagnie des Mines qui avait donné une certaine impulsion à l’entreprise.

1912 : grève contre la guerre.

1913 : Équipement du puits Laugerette. Construction de la cité des Baudras. Communication de Jacques Bertillon à l’Académie des Sciences sur la chute de la natalité à Montceau-les-Mines après les grèves du début du siècle chute attribuée par lui au progrès des idées démocratiques ( ?).

1914 : Construction des Ateliers Gerbe de la rue de la Fontaine. Grève sur la question des retraites.

1917 : Construction de la cité de La saule.

1918 : Équipement du puits de la centrale.

1919 : Début de la réalisation d’un vaste programme de travaux neufs qui s’achèvera dans les années 25-26 : Centrale électrique de Lucy I Port et nouveau lavoir des Chavannes Remplacement des puits anciens par des puits de grands diamètres munis de tous les perfectionnements (machine d’extraction électrique aux Alouettes, à Saint-Amédée, aux Laugerettes). Substitution de la voie électrique normale au vieux réseau à voie de 0,80 m.

1920 : Équipement du puits du Bois-du-Verne. construction des cités de la Sablière et des Georgets. Création des ateliers de la société d’appareillage électrique Cheveau et Cie, plus tard Établissement Jeumont Schneider.

1921 : Construction de la cité des Gautherets.

1922 : Construction de la cité de la Lande.

1923 : Construction des cités du Bois de Gueurce et le Petit Lucy.

1924 : Fondation des établissements Munzig (robinetterie générale). Fonçage puis mise en service des puits Darcy.

1926 : Construction de la cité du Bois Roulot.

1927 : Fondation de la fabrique de pantoufles Loison.

1929 : Construction à Bellevue des nouveaux ateliers Gerbe.

1930 : Inauguration du monument aux morts d’Émile-Antoine Bourdelle. construction de la cité du Bois Garnier. Début de l’aménagement du réseau d’adduction d’eau potable. Fermeture du tissage.

1931 : Construction de la cité Darcy.

1938 : Construction de la cité Rozelay. Fonçage et mise en service du puits Plichon.

1939 : Catastrophe du puits Darcy (16 morts).

1941 : Grève partielle. Distribution de tracts contre l’occupation.

1943 : Catastrophe du puits de la Centrale (10 morts).

1944 : Nombreux départs vers le maquis et grève insurrectionnelle jusqu’à la libération.

1946 : Nationalisation de la Compagnie des Mines qui devient : Houillères de Blanzy auxquelles sont annexés les bassins de Decize et Épinac.

1948 : Grève contre le plan Marshall.

1958 : Catastrophe du puits Plichon (20 morts).

1963 : Grèves.

1968 : Grèves.

1990 : 23000 habitants.

1992 : Arrêt de l’exploitation souterraine. L’ exploitation continue à ciel ouvert.

1999 : 20624 habitants.

2000 : Arrêt de l’exploitation du charbon.

Partager cet article
Repost0
13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 17:21

 

 

Musées à Blanzy     Musées autour de Blanzy  
 


Blanzy, Musée de l'Association La Mine et les Hommes
Partez sur les traces des Gueules noires ! Découvrez l’univers des mineurs, leurs conditions de vie et de travail ; installations du jour : lampisterie, puits, chevalement, machine d’extraction. Au fond, galeries de l’époque de Germinal aux années 1990, où méthodes d’exploitation, moyens de transport, de communication, d’aération et de sécurité sont retracés. Le plateau-rabot à soutènement marchant est une machine ultramoderne unique en France.

Partager cet article
Repost0
13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 17:21

CHAPUIS (8), FEBVRE (2), GRILLET (1), JANIN (1), LARDY (1), PONCEBLANC (3), PRUDHON (2), RENAUD (1)

Aujourd'hui, Bergesserin est réputé pour son parcours accrobranche nommé Acro'Bath[2], installé depuis 2002. Il a été l'un des précurseurs en matière d'accrobranche.

 

Partager cet article
Repost0
13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 17:20

ALEVEQUE (1),

 

 

  • En 1569, l'Église de Beaubery est pillée et le village incendié par l'amiral de Coligny. La nouvelle Église, de style néo-flamboyant, date du 19e siècle. À l'intérieur, se trouve une statue de sainte Anne datée du 16e siècle.
  • La région est boisée et vallonée (Mont Botey, Mont Violat, Mont des Carges), ce qui permit de glorieuses opérations de Résistance durant la Seconde Guerre Mondiale. De nombreux hommes du village furent fusillés, auxquels rend hommage le Mémorial de la Résistance, situé au sommet du mont Chatelard et composé d'une grande croix de Lorraine et de deux canons.
  • On dénombre de nombreux vestiges préhistoriques et antiques.
  • Au sommet de la colline dite de la "Corne d'Artus" se dresse un monument d'aspect druidique. Ce sont en fait les ruines du château fort d'Artus, qui était une des quatre Châtellenie primaires du Charolais, et dont un pan de tour resté debout a inspiré le nom des lieux.
  • La Motte du Camp de César.
  • Le Château de Quierre.
  • Le château de Corcheval, XIIe siècle et XVIIe siècle, flanqué de tours d'angle circulaires. Tour carrée du XVe siècle, construite à partir des ruines du château d'Artus. Jardin à la française de la fin du XIXe siècle . Jolis communs du XVIIIe siècle.
  • Moulin d'Artus.
CORCHEVAL

 

 

 

 

  • XIIe siècle : première mention du château, qui appartient, pendant cinq siècles à la famille de Fautrières, puis passera aux mains de leur parents, la famille de Sommièvres
  • XVIIe siècle : rebâti après avoir été en partie détruit par les Écorcheurs, puis par les troupes de l'amiral de Coligny; la Marquise de Fautrières recueille et héberge celle qui deviendra Sainte Marguerite Marie Alacocque, à l'origine du renouveau du sacré coeur de Jésus; cette dernière se donnera à Dieu dans la chapelle qui se situe dans le parc du château
  • XIXe siècle : transformations très importantes (douves comblées, ajout d'une tour, rehaut d'une autre), et ordonnancement des jardins, le résultat étant d'une grande unité architecturale, préservant l'aspect féodal d'origine sans renier les évolutions ultérieures au XVIIe siècle
  • Depuis le début du XXe siècle : la propriété appartient à la famille des barons de La Chapelle

 

Partager cet article
Repost0
13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 17:20

AUGIER (1), BOURGEON (1), BRUSSON (2), CARLOT (5), CHANUT (1), DUVERNEAU (1), GAUGY (4), GAY (2), GILLES (2), GUICHARD (4), GUYONNET (1), LACHAUX (1), LAURENT (1), MARCEAU (1), MARCHANT (1), MATHEY (3), MICHELIN (9), MONIN (4), MORAIN (1), PAVOUX (1), PIPONNIER (1), PONSARD (5), RAVAT (21), ROYER (1)),
B audrières, petit village de campagne, est situé au sud de la Bourgogne, au centre du triangle Chalon-sur-Saône / Louhans / Tournus. La population est en légère augmentation : de 778 habitants dans les années 1980, elle passe à 818 habitants au dernier recensement de 1999. Elle est répartie sur tout le territoire de la commune, à savoir au bourg et sur sept hameaux
 

   
   
  
 
   
 



La première fois que l'on parle du Diable de SAUGY, c'est dans un long article du Courrier de Saône et Loire publié le 5 Décembre 1878 et qui, sous le titre  « un lit ensorcelé » donne la première version des faits en ces termes : «  La scène se passe à BAUDRIERES, canton de SENNECEY LE GRAND » .
 
Vous ne voudrez jamais croire ce que je vais vous raconter et cependant je n'invente rien. De SIMANDRE à ST GERMAIN DU PLAIN, D'ORMES à La FRETTE, il n'est bruit que de cela.
C'est une chose de formidable, de fantastique, de diabolique qui terrifie depuis plus de quinze jours le hameau de SAUGY et la commune de BAUDRIERES.
 
En deux mots, voici la chose : le Diable fait des apparitions nocturnes dans la ferme de Monsieur NIVET de TOURNUS, qui est exploitée par le sieur MAZUE. Vous me direz qu'au XIX ème, le Diable n'a pas besoin de se donner tant de mal pour peupler son royaume et cependant, quel autre que le Diable pourrait jouer aux habitants de SAUGY les tours pendables que vous aller apprendre ?
 
Dans l'écurie de la ferme est un lit où couchent les deux domestiques . Or dans la nuit, tantôt vers onze heures, tantôt plus tard, on commence à entendre un léger grattement au pied du mur sous le lit ; puis le bruit s'amplifie, s'accentue et devient semblable au roulement de tambour ; on dirait une marche guerrière jouée par quelques tambours de l'ex garde nationale. C'est le moment de l'action : les draps se mettent en mouvement  par saccades violentes et les habitants  du lit reçoivent des coups appliqués par une main invisible, mais qui, paraît-il, frappe consciencieusement . Des lueurs phosphorescentes même, des étincelles bleuâtres annoncent la fin de cette scène qui dure environ une heure.
 
Ainsi s'exprimait le chroniqueur du Courrier , il a tout juste cent ans. Il rapportait aussi que des commères persuadèrent une femme de la ferme qu'un sort avait été jeté et que pour en connaître l'auteur il fallait faire bouillir une marmite de clous pendant une journée : la première personne qui soulèverait le couvercle pendant ce temps serait le sorcier.
 
Ce fut un jeune homme habitué de la ferme qui eut, vers les neufs heures du soir l'idée de regarder ce qui cuisait . On se jeta sur lui, à coups de balais, on le força à réciter des « Avé Maria »  et on le chassa de la ferme. Mais il est bien évident que ce malheureux jeune homme n'était pour rien dans l'histoire et le Diable continua à faire des siennes.
 
Les domestiques qui étaient malmenés toutes les nuits désertèrent leur lit commun installé dans l'écurie . Ils cherchèrent à savoir par des garçons du village ce qui se passait dans leur « chambre ». Mais tous ceux qui pénétrait la nuit recevait des gifles. Quatre jeunes  gens s 'étaient installés sur le lit : à onze heures précises, ils furent violemment secoués et l'Esprit lança des gerbes d'étincelles qui provoquèrent le sauve qui peut général. C'est alors que l'imagination dépassa la réalité et l'on commença à parler de sabbat, de Diable et du sort jeté sur la ferme.
 
Un ex caporal de la garde nationale annonça qu'il irait bivouaquer sur la place le 13 Décembre : trois « vieilles moustaches de Bey » se disent prêts à expulser le Diable :
« Nous rentrerons vainqueur ou nous ne rentrerons pas » concluait l'auteur de la lettre qui signait Mathurin, ex sapeur pompier . En plus, le diable de SAUGY faisait des émules et l'on le retrouvait à GIGNY et même à MONTCEAU Les MINES ou il oblige certains locataire à quitter leur appartement.
 
Depuis le 13 Décembre, le Diable vient faire des siennes dans l'habitation centrale où il vient renverser le marmite de gaude qui est sur le feu. Le 24 Janvier, il est revenu dans l'huteau, mais cette fois, il s'est contenté de faire du bruit sans rien renverser.
 
Le 21 Février 1879, un second article du courrier annonce que le Diable a quitté SAUGUY avec armes et bagages.
 
Mais que s'est-il donc passé dans la ferme des MAZUE ?
 
Mr PERNATON propriétaire de la ferme, se souvient d'avoir relu le bail, attaché au bâtiment : or ce bail stipulait que les fermiers étaient en devoir d'accueillir les familles de nomades  qui traversaient le pays. Et cette précision confirme l'hypothèse la plus souvent retenue pour expliquer les évènements ; à savoir que deux familles nomades s 'étaient présentées en même temps à la ferme et que les MAZUE auraient dû faire un choix et que la famille évincée et mécontente aurait décidée de se venger en effrayant les gens de la ferme.
 
Mr GONNET cite même des noms : il parle de la famille SAINTO ou SAITO, composée du grand-père, du père de la mère, de trois filles et de deux garçons, l'un prénommé « Jacquot » et l'autre surnommé « le Mousse ». Ce serait ce dernier qui aurait joué le rôle du diable en se cachant dans le foin, au dessus des écuries ; et c'était une bonne cachette, car avec la neige, il était indispensable de vider le foineau dehors pour faire des fouilles et il était encore impensable de monter avec une lampe  à huile pour essayer d'y voir quelque chose.
 
Cependant, à une date que personne ne précise, les gendarmes seraient montés dans le foineau avec des sabres et des piques pour sonder le foin.
Le lendemain, on aurait trouvé du sang près de la ferme. Le Diable de SAUGY aurait été piqué par le sabre d'un gendarme et se serait sauvé.
 
Telle est l'histoire du Diable de SAUGY que l'on raconte de bouche de Bressan que l'on dit aux petits enfants qui ne sont pas sage pour les effrayer.
 



Extrait de «  LA GAZETTE DE BAUDIERES »  n° 10 Décembre 1987
Article de Carole ANCEL, Cécilia DESROCHES, Didier et Marie Laure ZANETTE

Partager cet article
Repost0
13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 17:19

AUCOURT (1), POLETTE (2),

 

 

 

 

 

Généralités historiques

 

 

  • Anciennement appelé Chassigny-en-Brionnais.
  • Ancienne commanderie de l'ordre de Malte au hameau de Verfay.
  • Métiers à soie au 19ème.
Vestiges préhistoriques et antiques
  • Vestiges antiques au Pré des Fossés et à la Bordonne : squelettes, casques, fibules, médailles, objets d'or et d'argent.
Architecture civile
  • Tour du Paradis (ancienne porte de guet?).
  • Lavoir.
Architecture sacrée
  • Eglise 19ème : quelques chapiteaux de l'ancienne église.
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : humeurs et passions
  • : coups de coeur, coups de gueule, coups de blues
  • Contact

Recherche

Articles RÉCents