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7 décembre 2008 7 07 /12 /décembre /2008 19:04
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30 novembre 2008 7 30 /11 /novembre /2008 09:52

ST NICOLAS DU PORT




La basilique de Saint-Nicolas-de-Port, aux allures de cathédrale et de style gothique flamboyant, a des dimensions impressionnantes : une nef de 30 m de haut, des colonnes élancées 21,50 m (les plus hautes de France)[3] et deux tours de 85 et 87 m respectivement. Ses volumes sont harmonieux et la basilique fait preuve d'une étonnante unité de style. Elle a été restaurée à partir de 1983 grâce au legs considérable de Mme Camille Croué-Friedman, une riche Américaine originaire de cette ville. Enfin, elle abrite une relique de Saint-Nicolas, sa phalange "dextre bénissante"



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30 novembre 2008 7 30 /11 /novembre /2008 09:36

METZ



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30 novembre 2008 7 30 /11 /novembre /2008 09:35

SENS



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30 novembre 2008 7 30 /11 /novembre /2008 09:34


SENLIS


Alliant gothique primitif et gothique lancéolé, la cathédrale de Senlis est le fruit d'une construction qui s'est étalée sur près de 450 ans. Commencée en 1191, c'est à dire peu après la basilique de Saint Denis et avant Notre Dame de Paris, la cathédrale connaîtra de multiples modifications telles que l'ajout d'un transept initialement non-retenu ou la reconstruction d'une partie de l'édifice après l'incendie de 1504.

La parenté du portail méridional avec celui de la cathédrale de Beauvais est singulière ; c'est en effet le fils de l'architecte du second, Pierre Chambiges, qui sera chargé de la réalisation du premier.

La nef se distingue en outre par sa taille particulièrement réduite ; avec seulement 70 mètres de long et 24 mètres de hauteur sous voûte, Notre Dame de Senlis est une des plus petites cathédrales de France.



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30 novembre 2008 7 30 /11 /novembre /2008 09:33

LAON



La cathédrale actuelle fut construite à l'emplacement d'un sanctuaire précédent édifié sous l'épiscopat de l'évêque Gerfrid, (774- †799). Ce premier monument, la cathédrale carolingienne, dédié en l'honneur du saint Sauveur et de sainte Marie, fut consacré le 6 septembre 800 en présence de Charlemagne.

Une nouvelle église est reconstruite sous l'égide d'Élinand, promu évêque de Laon le 14 juin 1052. Le 25 décembre 1071, ce nouvel édifice fut inauguré lors du deuxième couronnement[2] du futur roi Philippe Ier.

Cette cathédrale romane fut incendiée lors de l'insurrection communale survenue le jeudi 25 avril après Pâques de l'année 1112. Au cours de cette révolte, l'évêque Gaudry, détesté par la population de Laon, fut tué alors qu'il s'était caché dans un tonneau du cellier de son évêché attenant à la cathédrale. Mais la cathédrale ne fut pas détruite, la dédicace de l'église réparée ayant eu lieu en 1114 sous l'évêque Barthélemy de Jur.

Les étapes de l'édification de la cathédrale actuelle [modifier]

La construction de l'édifice actuel fut initiée par l'évêque Gautier (Gauthier) de Mortagne. Elle débuta en 1155 et continua jusqu'en 1235.

La construction débuta par le chœur et le grand transept afin de recevoir les nombreux pèlerins. En 1164 eut lieu la translation des reliques de saint Béat, ce qui implique que le chœur était sans doute terminé.

Entre 1170 et 1185 une deuxième campagne de construction mena à l'édification du transept avec ses deux portails (nord et sud) dont il ne reste actuellement que celui du nord.

Très rapidement, on démarra une troisième campagne de construction, afin d'édifier la tour-lanterne d'inspiration normande de la croisée du transept, ainsi que les 4 dernières travées de la nef, afin de contrebuter cette tour-lanterne. Durant cette campagne, on construisit également les tours du transept (tour nord, dite Thomas Becket en souvenir de son passage à Laon en 1163, et tour sud, dite de l'horloge). Vers 1180 : pose des vitraux de la rose nord (dite des arts libéraux).

De 1185 à 1200 eut lieu la quatrième campagne de construction qui réalisa l'achèvement de la nef et de la façade occidentale. Aux environs de 1200, la rosace occidentale du jugement dernier est achevée.

Mais une cinquième et dernière campagne s'avéra nécessaire afin de reconstruire le chœur, lequel profond de seulement trois travées s'était rapidement révélé trop petit. Cette cinquième campagne eut lieu de 1205 à 1220 et vit la construction du chœur à chevet plat comprenant 10 travées, tel que nous le connaissons aujourd'hui.

Enfin vers 1235-1238 se déroula la dédicace de la cathédrale.

En 1250 on édifia une flèche sur la tour sud-ouest ainsi que sur la tour sud. Tout au long du XIVe siècle 27 chapelles furent construites entre les contreforts.

Au cours du XIVe siècle, la façade sud du transept fut complètement refaite. Avec les chapelles latérales, c'est la principale partie de l'édifice qui ne date pas de la première époque de sa construction. Les portails y sont par exemple surmontés de hauts gables, caractéristique typique de la fin du Moyen Âge. Entre 1555 et 1697 on clôtura progressivement les chapelles par des clôtures de pierre.

Heurs et malheurs de la cathédrale [modifier]

Le 18 septembre 1692, un tremblement de terre ébranla la flèche.

  • En 1705 eut lieu une grande tempête.
  • En 1772 on altéra le portail central en surélevant son linteau, afin de laisser passer plus facilement le dais des procession.
  • En 1793 la flèche de la tour sud-ouest fut démolie par les révolutionnaires, ainsi que le beffroi entre les deux tours de la façade occidentale et une partie des superbes sculptures des portails.

Si bien qu'au milieu du XIXe siècle, une grande restauration était devenue indispensable, la cathédrale menaçant ruine. La façade occidentale s'était tassée de 80 centimètres. Les travaux de restauration furent confiés à l'architecte Emile Boeswillwald en 1853.

En 1870, l'énorme explosion d'une poudrière fit voler en éclats tous les vitraux, outre quelques 500 morts. Les morceaux des verrières orientales ont été recueillis. Mais la rosace nord a perdu la moitié de ses vitraux dans la catastrophe. Aucun vitrail des chapelles n'a pu être récupéré, tout étant pulvérisé. Les travaux de restauration ne s'achevèrent qu'en 1914.

A l'inverse de la malheureuse cathédrale de Soissons voisine, Notre-Dame de Laon n'eut pas trop à souffrir de la Première Guerre mondiale. La deuxième Guerre mondiale ne l'affecta pas trop non plus, grâce à l'intervention de l'abbé Robert Lavarte, vicaire à Saint-Léger, dont l'intervention exceptionnelle auprès du Commandement allemand de la garnison de Laon permit l'évacuation des engins explosifs déposés autour de la cathédrale, dont le bombardement planifié par la RAF britannique aurait occasionné la destruction de l'édifice.

Description générale [modifier]

C'est une cathédrale de style gothique de transition ou gothique primitif. Elle eut une grande influence sur de nombreux édifices gothiques comme les cathédrales de Chartres, Reims, Magdebourg, Limbourg, Lausanne, Dijon, Paris.

La cathédrale Notre-Dame de Laon se dresse majestueusement sur l'« acropole » de Laon, la ville haute, surplombant la plaine de 100 mètres. On ne pouvait rêver meilleur site. Elle possède cinq tours, une tour-lanterne et quatre campaniles ou clochers dont Villard de Honnecourt a dit qu'elles étaient les « plus belles du monde ». Les plans d'origine prévoyaient sept tours, mais deux d'entre elles ne furent jamais achevées.

Elle possède aussi trois grandes façades dotées de tours et de monumentaux portails d'entrée : à l'ouest comme de coutume, mais aussi au sud et au nord.

Les deux tours de la façade occidentale sont ornées de statues de bœufs grandeur nature. Elles font référence à une légende, selon laquelle le bœuf chargé de monter en haut de l'« acropole » de Laon les matériaux nécessaires à la construction de la cathédrale, épuisé de cette montée, aurait été remplacé par un bœuf miraculeusement apparu.

Plan de la cathédrale par Viollet-le-Duc.
La nef en direction du chœur
Tour lanterne du transept

Dimensions [modifier]
  • Longueur : 110,50 m
  • Largeur : 30,65 m
  • Hauteur sous voûte de la nef : 24 m
  • Hauteur de la tour-lanterne : 42 m
  • Longueur du transept : 56 m (ou 54 selon les sources)
  • Hauteur des tours de la façade occidentale: 56 m
  • Hauteur de la tour de la façade nord du transept : 56 m
  • Hauteur de la tour de la façade sud du transept : 60,5 m
  • Diamètre de la rosace du chevet du chœur : 9 m
  • Largeur du transept : 22 m

L'intérieur de la cathédrale [modifier]

Le choeur est légèrement désaxé par rapport à la nef.

La nef [modifier]

Celle-ci comporte 11 travées couvertes par des voûtes sexpartites (sauf dans la première travée) hautes de 26 mètres. L'élévation est à quatre niveaux : grandes arcades, tribunes, triforium et fenêtres hautes. Au premier niveau, les grandes arcades reposent sur des piles alternées, c'est-à-dire en alternance piles fortes-iles faibles. Les piles faibles sont rondes, avec des chapiteaux octogonaux qui reçoivent chacun trois ogives provenant de la voûte de la nef. Les piles fortes sont également rondes mais plus puissantes. Elles supportent cinq ogives sur des chapiteaux carrés.

On doit noter que les deux dernières piles fortes de la nef qui précèdent la croisée du transept sont composées d'une colonne ronde entourée de cinq colonnettes. Ces dernières servent à renforcer la colonne ronde centrale en question. Le tailloir qui reçoit un faisceau de cinq colonnettes est alors rectangulaire.

Au second niveau de la nef, les tribunes à claire-voie comportent des baies géminées à remplage plein. Au-dessus, le triforium qui forme le troisième niveau est aveugle donc à mur de fond plein. Il est formé de petites baies à trois arcades. Enfin, tout en haut, le quatrième niveau est composé de fenêtres hautes à baies simples.

La nef est bordée de deux collatéraux, l'un au nord, l'autre au sud du vaisseau central. Ils sont eux aussi voûtés d'ogives, mais ici la voûte est quadripartite. Un total de 27 chapelles latérales construites entre les contreforts, s'ouvrent sur les collatéraux de la nef et du chœur.

Au revers de la façade, la grande rosace rayonnante de la nef est partiellement cachée par le buffet d'orgue.

Le transept [modifier]

Lors de la construction de la cathédrale, Laon était avec ses 15 000 habitants l'une des plus grandes villes du royaume de France. Le transept construit de 1170 à 1185 frappe par l'ampleur de son architecture : profond de 54 mètres, large de 22 mètres, entouré de larges bas-côtés, il apparaît comme une deuxième église à l'intérieur de l'édifice.

Au départ, lors de la construction de la cathédrale, le chœur peu profond ne comportait que trois travées. Il fut vite considéré comme bien trop petit, et on décida de l'allonger en le portant à 10 travées. En conséquence, le transept coupe la cathédrale presque en son centre.

À la croisée du transept s'élève la tour-lanterne. La croisée s'élève de ce fait à plus de 30 mètres (48 mètres à l'extérieur). A la base de l'intérieur de la tour se trouve un triforium aveugle, c'est-à-dire dont le mur de fond est plein et ne comporte pas de fenêtres. De structure carrée, comme la croisée sous-jacente, ce triforium est composé de huit grandes arcades, deux par face. Au-dessus du triforium on peut voir huit fenêtres, deux par face également, destinées à éclairer l'intérieur de la cathédrale, ce qui justifie l'appellation de tour-lanterne.

L'élévation du transept est semblable à celle de la nef. Chacun des deux croisillons est formé de quatre travées bordées de collatéraux. Ils se terminent tous deux par des absidioles à deux étages.



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30 novembre 2008 7 30 /11 /novembre /2008 09:32
NOYON
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30 novembre 2008 7 30 /11 /novembre /2008 09:31
SOISSONS
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1 octobre 2008 3 01 /10 /octobre /2008 08:46
La cathédrale Notre-Dame est une cathédrale catholique romaine construite à Strasbourg, représentative de l'architecture gothique. Avec ses 142 mètres, après avoir été l'édifice le plus haut du monde de 1647 à 1874[1], elle est actuellement la deuxième plus haute cathédrale de France après celle de Rouen (151 m)[2]. Elle est reconnaissable par son unique clocher surmonté d'une flèche.

« Prodige du gigantesque et du délicat » selon Victor Hugo, la splendeur de la cathédrale est visible de très loin dans la plaine alsacienne et peut être aperçue d'aussi loin que les Vosges ou que de la Forêt-Noire. Elle se situe dans un quartier entouré par la rivière, l’Ill, sur la place de la cathédrale, au milieu d'anciens bâtiments. Son parvis est cependant assez étroit par rapport aux habituels parvis des grandes cathédrales de France.


 

Le site de la cathédrale est utilisé par plusieurs édifices religieux successifs, à partir de l'occupation romaine. Un sanctuaire romain occupe alors l'emplacement jusqu'à une date inconnue. On sait qu'une cathédrale est élevée par l'évêque de Strasbourg saint Arbogast, à la fin du VIIe siècle, sur la base d'un temple dédié à la Sainte Vierge, mais aucun vestige n'a été conservé jusqu'à aujourd'hui.

La première cathédrale est remplacée durant le VIIIe siècle par un édifice plus important, terminé sous le règne de Charlemagne. Le testament de l'évêque Rémi[3], daté de 778, atteste de sa volonté d'être inhumé dans la crypte. C'est certainement dans l'édifice que sont prononcés les serments de Strasbourg. Les fouilles menées récemment révèlent que cette cathédrale carolingienne possédait trois nefs et trois absides. Un poème décrit cette cathédrale, ornée d'or et de pierreries par l'évêque Ratald[4]. La cathédrale est la proie des flammes à de multiples reprises, en 873, 1002 et 1007.

En 1015, l'évêque de Strasbourg Werner de Habsbourg, et l'empereur Henri II posent ensemble la première pierre d'une nouvelle cathédrale sur les ruines de l'édifice carolingien. Werner construit une cathédrale de style ottonien, mais celle-ci brûle en 1176, car les nefs sont à l'époque couvertes d'une charpente en bois.

Construction de la cathédrale actuelle (1176-1439) [modifier]

Après le sinistre, Henri de Hasenbourg, nouvel évêque de Strasbourg de 1180 à 1190, décide la construction d'une quatrième cathédrale, devant être plus belle que celle de Bâle, qui vient d'être achevée. Le chantier de la nouvelle cathédrale commence sur les fondations de la construction précédente et ne s'achève que plusieurs siècles plus tard, en 1439. La construction débute par le chœur et le transept Nord, dans un style roman. Mais en 1225, une équipe venant de Chartres révolutionne la construction, par l'apport du style gothique. Afin de trouver de l'argent pour terminer la nef, le diocèse recourt aux indulgences en 1253. Témoignage de la double influence française et allemande, l'utilisation pour les vitraux des couleurs rouge et bleu (typique d'une équipe française) et la présence marquée de vert (style allemand).

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1 octobre 2008 3 01 /10 /octobre /2008 08:43

Dès le Bas-Empire, un cimetière gallo-romain est attesté sur le site de Saint-Denis. Au IVe siècle, un mausolée fut élevé à l'emplacement du maître-autel actuel. Puis au Ve siècle, sainte Geneviève acheta les terres alentours et fit construire une église qui fut agrandie à deux reprises sous les Mérovingiens, notamment sous Dagobert Ier.

Vers l'an 630, on y plaça les corps de saint Denis (premier évêque de Paris) et ses deux compagnons, le prêtre Rustique et le diacre Eleuthère. Un nouveau sanctuaire fut entrepris vers 750 par Pépin le Bref. Sous les Carolingiens, une église de plan basilical à trois nefs et à transept saillant fut construite. Elle fut rénovée au cours des âges, jusqu'au XIVe siècle. Dans la première moitié du XIIe siècle, entre 1135 environ et 1144, l'abbé Suger, conseiller du roi Louis VI le Gros et de Louis VII le Jeune, agrandit l'abbatiale en remaniant le narthex d'une façade dotée pour la première fois d'une rose et de trois portails de grandes dimensions. Il modifie aussi le chœur en lui ajoutant des chapelles rayonnantes. L'abbaye est consacrée le 11 juin 1144, inaugurant le francigenum opus, appelé plus tard l'art gothique. Par la suite, l'édifice devint encore plus important. Il abrita les regalia (instruments du sacre), devint nécropole royale et plus seulement dynastique.

Depuis Hugues Capet, elle est considérée comme la principale nécropole de la monarchie française.

Le premier des rois Capétiens, Hugues Capet, fut abbé laïc de Saint-Denis, et il s'appuya souvent sur la puissance de l’abbaye pour conforter son pouvoir.

Le 22 août 1291, une bulle du pape Nicolas IV, datée d'Orvieto, confirmant elle-même une bulle de Célestin III, accorda aux religieux de Saint-Denis le privilège de n'être soumis à aucune sanction canonique, émanée de qui que ce fût, hormis de leurs abbés, sans une licence spéciale du souverain pontife.

C'est à l'abbaye de Saint-Denis que les rois de France se rendaient pour y prendre l'oriflamme avant de partir en guerre ou en croisade.

En 1576, pendant les guerres de religion, les protestants et les catholiques s'y livrèrent une furieuse bataille, et en 1593, Henri IV y abjura le protestantisme.

Saint-Denis et le patrimoine [modifier]

Dagobert fut le premier roi à se faire inhumer en ce lieu, à l'instar de saint Denis, premier évêque de Paris martyrisé au IIIe siècle.
Du fait de son statut de nécropole des rois de France, la basilique joua un rôle important dans l'histoire du patrimoine en France, scellant l'alliance entre la monarchie française et l'Église.

La tombe de Saint Louis, ouvrage d'orfèvrerie, avait été détruite par l'envahisseur anglais lors de la guerre de Cent Ans.

En 1793, les sépultures des rois furent violées, les squelettes profanés, et les corps embaumés des Bourbons jetés dans une fosse commune. Les trésors immenses accumulés dans la basilique par les souverains au cours des siècles furent fondus ou dispersés. Quant aux gisants, chefs-d’œuvre de l'art funéraire remontant au bas moyen-âge pour les plus anciens, ils furent en grande partie détériorés.

En 1816, à la Restauration, Louis XVIII ordonna la reconstitution de la nécropole royale. Les restes des monarques furent placés dans un ossuaire installé dans la crypte.

Par la suite, les travaux de restauration furent complétés, pour aboutir à l'état que nous connaissons aujourd'hui, par Eugène Viollet-le-Duc qui avait par ailleurs entrepris la restitution de la cathédrale de Notre-Dame, elle aussi profanée.

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