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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 17:30

BAILLY (1), BARD (5), BAUDREON (1), BIDAUD (1), BILLEBAUD (1), BOBEREAU (1), BONNEAU (1), BOUILLOT (1), BOURGEOIS (1), BOUTILLON (1), BOYER (5), CHAROLLOIS (1), CHATEAU (1), CHAUSSARD (1), COGNARD (1), COMMEAU (46), CONTANT (1), CONTASSOT (14), COULON (4), COUREAU (6), CUZIN (18), DECHAUX (1), DESCOURT (2), DUBAND (2), DUCROUX (1), DUVERNE (1), DUVERNEAU (2), FORET (1), GAUTHIER (2), GERMAIN (2), GIEN (3), GRANGER (2), JONDEAU (1), JONDOT (1), LABONDE (2), LALONDE (1), LAMOUR (7), LANGILLIER (2), LARIEPE (3), LAUCLERC (1), LEPHILIBERT (1), LEQUIN (1), LOUDENOT (1), MARACHE (1), MARET (8), MICHON (3), NECTOUX (9), PELLETIER (8), PERRIN (1), PILLOT (4), PITOIS (1), RAVIER (1), RAVIOT (8), RETHY (9), RIZEY (2), ROUGEOT (2), VACHER (16), VERNEAU (6)



CHATEAU DE CHAMPIGNOLE

 

 

Le château, succédant à une demeure médiévale dont il a conservé les douves, date vraisemblablement du XVIIe siècle. Il se compose d'un corps de logis allongé complété à chaque extrémité d'un pavillon faisant saillie. Les communs forment deux ensembles : d'une part un long bâtiment bas terminé à chaque extrémité par une construction carrée et, d'autre part, un pavillon donnant sur la cour d'entrée.

 

Le château, propriété privée, ne se visite pas.

Historique [modifier]

  • Avant 1650 : propriété de N. d'Ecrot
  • 1650 : achat par Charles Lebrun, comte du Breuil en Bourbonnais, qui, par testament, crée avec son épouse Henriette de la Tournette un majorat en faveur de leur descendance.
  • XVIIe siècle : Alexandre Lebrun, époux de Suzanne de Balathier-Lantage, entre en possession de ces terres (son frère puîné Louis-Casimir y renonce en échange d'une pension).
  • 1792 : Antoine de Villiers-La Faye, gendre d'Alexandre, rejoint l'émigration.
  • An XI : Louis-Casimir Lebrun du Breuil fait annuler sa renonciation par la cour de Dijon et prend possession du château alors sous séquestre.
  • 1836 : fin de l'occupation du château par la famille Lebrun du Breuil.
  • 1862 : le château est acheté par Benoît-Charles de Maizière.


CHATEAU DE TRELAGUE

 

 

 

 

  • De l'ancien château fort, il reste le massif donjon de plan carré, flanqué de deux tours d'angle circulaires, dont l'une abrite un escalier à vis. Le tout est agrandi d'un corps de logis à deux ailes bâti certainement au XVIe siècle. L'une des ailes prolonge au nord le donjon et l'autre, en retour d'équerre, ferme la cour d'entrée. Sur leur angle extérieur, se dresse une tour de plan circulaire; dans leur angle interne, on découvre une tourelle polygonale dans oeuvre. Le donjon et les tours sont élevés de trois niveaux et couverts respectivement de hautes toitures de tuiles et d'essentes; quant au logis, il comprend deux niveaux, éclairés par des baies à meneau et croisillon.
  • À l'intérieur, subsistent des boiseries peintes à petits cadres, un plafond à la française d'époque Renaissance dans le grand salon au rez-de-chaussée, un plafond à la française et des cheminées restaurées dans les pièces du donjon.
  • Des travaux sont exécutés au début du XXe siècle: l'escalier d'honneur est rebâti, des lambris du XVIe siècle, provenant d'un hôtel particulier du midi de la France, sont posés dans le grand salon; à l'extérieur, des meneaux sont ajoutés aux baies et un deuxième étage est créé dans les combles. Les châteaux blésois de la Renaissance ont inspiré cette restauration.

 

 

Le parc du château, propriété privée, est ouvert au public. Certains éléments de la construction sont classés Monument Historique.

Historique [modifier]

Famille Doyen

  • vers 1399: Pierre Doyen, seigneur de Montcenis, de Chaumart et de La Tagnière, conseiller du duc de Bourgogne, ayant fait bâtir son donjon de Montcenis par Perrot le Limousin, Jean Syméon et Jehan de la Cahotte, maîtres d'oeuvre, fait sans doute aussi appel à eux pour la construction du château fort de Trélague
  • 1614 : un inventaire révèle que par acte de justice, le seigneur de Trélague, Bénigne Doyen, avait décidé de fermer sa cour pour ne pas avoir à payer le droit de guet et de garde

Famille Bancherau

  • cette famille succède aux Doyen

Famille Roche de La Rigodière

  • 1911 : Camille Roche de La Rigodière est propriétaire du domaine; il sera pilote d'avion en 1914 et fondera en 1923 la Société lyonnaise de soie artificielle
  • de 1920 à 1926 : le précédent confie l'exécution de restaurations à l'architecte Laffarge, de Blois et à Édouard André, paysagiste

Époque contemporaine

 

 

 

 

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 17:24

Située entre Autun et Chateau-Chinon, cette commune très représentative du Morvan nous charme avec une des plus belles roseraies de France.

Sur le territoire de la commune est partiellement implantée une forêt domaniale : la forêt de Glenne (contenance totale : 439,10 ha), qui mêle conifères et feuillus1.

La « celle » est un terme médiéval désignant la cellule d’un ermite. L'une des plus anciennes mentions de La Celle-en-Morvan évoque une « celle sancti mederici » : celle de saint Médéric, dit aussi saint Merry, né au viie siècle dans une noble famille éduenne, abbé de l'abbaye de Saint-Martin d'Autun qui se retira comme ermite, mais qu’on vint rechercher ; il partit pour Paris où il mourut dans une grande réputation de sainteté. Il donna son nom à une paroisse de Paris. Sa retraite en Morvan devait se trouver à proximité de l’église de la Celle, au flanc de la montagne, où se trouve une « fontaine Saint-Merry », recherchée autrefois pour accorder la fécondité aux femmes stériles.

En avril 1164, le pape Alexandre III, réfugié en France, confirme dans une bulle remise à l'abbaye de Saint-Martin d'Autun, la possession du patronage de la cure : Ecclesiam de Cella. 19. Cette abbaye possède sur ses terres de la Celle du droit de haute, moyenne et basse justice d'ancienneté20. En 1260, Jean de Châtillon-en-Bazois, fait aveu à l'abbaye de Saint-Martin d'Autun, pour ses fiefs de La Celle-en-Morvan et de Sommant, et à l'évêque pour la châtellenie de Glaine, ou Glenne21.

Il faut toutefois préciser que l'orthographe de cette commune avant 1960 était La Selle, nom de la rivière qui la traverse (elle-même désormais orthographiée Celle). Ceci explique la position aberrante de la commune dans la numérotation INSEE des communes du département où elle est classée entre Savigny-sur-Seille et Semur-en-Brionnais au lieu d'être inscrite entre Buxy et Céron.

Un filon de fluorine (pierre de couleur verte employée dans la construction) fut exploité pendant plus d'un siècle, des années 1860 aux années 1980 (mines exploitées par la commune)22.

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 17:13

Les habitants se nomment les Hospitois. La tradition prétend qu'à l'origine, il y avait dans ce village un hôpital pour les lépreux, desservi par des religieuses qui portaient le nom de sœurs bonnes. Il était situé au lieu-dit appelé encore aujourd'hui les Sorbonnes et qu'on nommait à la fin du xviiie siècle : Esserbonnes ou Es-serbonnes. Au moment où Courtepée (un abbé sous-professeur du collège de Dijon) visitait la paroisse en 1776, il ne restait déjà plus aucune trace de cet hôpital. Ce n'était plus qu'un souvenir conservé par le nom du lieu, mais qui pourrait remonter à plusieurs siècles, c'est-à-dire à l'époque où la paroisse a commencé d'exister, et d'où elle a pu tirer son nom.

Quant aux mots Le Mercier, ajoutés à L'Hôpital, d'aucuns prétendent qu'ils viendraient du mot latin merces, edis qui veut dire : gage, récompense, pour indiquer que cet hôpital aurait cela de particulier que les malades y étaient admis à titre de récompense et gratuitement. On trouve parfois dans de vieux actes, au lieu de L'Hôpital-le-Mercier, L'Hôpital de Murcy ou de Murcye.

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 17:13

GRAPIN (1), RENAUD (3),

 

 

 

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 17:06

Différentes chartes de l'abbaye de Cluny mentionnent le village sous diverses appellations : Gemulense, Gemulasense, Jemulacense17. Jambles se situant entre deux collines jumelles : Le « Mont Avril » et le « Santon », certains auteurs y voient une référence à l'appellation Jemulacensis. M. Houze donne un autre sens pour Gemula qui veut dire la triste ; enfin des archéologues pensent à des altérations successives passant de Gemula à Geml'ae, puis à Gemblae pour finir en Jambles18.

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 17:03
  • L'église romane Saint-Valentin de Jalogny17, jadis intégrée à un doyenné de l'abbaye de Cluny dont l'existence est attestée en l'an 110018.
  • Au hameau de Vaux : l'église Saint-Jean-l'Évangéliste, ancienne église romane (communément dénommée « la chapelle de Vaux ») dont le chœur est du xie siècle et la nef, ainsi que l'abside, du xiie siècle19. S'y trouve un vitrail réalisé d'après un dessin de l'artiste Michel Bouillot20.
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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 14:48

C'est avec Artaix et Saint-Martin-du-Lac2 une des trois communes du département de Saône-et-Loire dont le territoire est à cheval sur la Loire. Si le bourg est situé sur la rive droite (à l'est du fleuve), le hameau d'Outre Loire, le bien nommé, est situé sur la rive gauche (à l'ouest du fleuve).

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 14:45

Des outils et des armes préhistoriques y ont été découverts sur les collines près de sources d'eau.

16 et 17 août 1440 : consécration de l'église paroissiale d'Igornay, dédiée à saint Symphorien, avec celle des autels ainsi que la bénédiction du cimetière par Antoine Buisson, évêque de Bethléem, et Jean Rolin, cardinal et évêque d’Autun. Cette cérémonie avait été menée à la requête de Guillaume de Sercey, seigneur d'Igornay, qualifié de « bailli d'épée de Chalon » et maître des foires de Chalon (il avait épousé Marie de Montjeu, dame d'Antully, et fut inhumé à la cathédrale d’Autun, dans la chapelle Saint-Antoine, dite de Champallement).

En 1789, en préparation des États généraux, les habitants d'Igornay élisent deux députés de commune : le sieur Lazare-Marie Darcy et Michel Gagniare15, tous deux marchands à Igornay. Cette élection prend lieu suivant le procès verbal du 15 mars rédigé par devant Hugue Gagniare, procureur d'office. Les deux députés élus siégeront lors de l'assemblée préliminaire du 17 du même mois, accompagnés des députés des bourgs, paroisses et communautés de campagne alentour. Cette assemblée aboutira à l'élection de 38 députés pour représenter le tiers-état du bailliage principal d'Autun.

L'élection des représentants d'Igornay est accompagnée de la rédaction d'un cahier de doléances en exécution des ordres de sa Majesté du 24 janvier 1789, pour la convocation des États généraux. Ce dernier aborde les thématiques suivantes : la nécessité de l’assemblée périodique des États généraux ; une équité dans les représentants des trois ordres pour la formation des États généraux ; la formation des états provinciaux ; la réformation des codes Civil et Criminel ; l'abolition des Lettres de Committimus ; l'abolition des main-mortes, cens, redevance et autres servitudes ; la souveraineté des juges des seigneurs jusqu’à la somme de 50 livres ; la décharge de la solidité pour le paiement des redevances seigneuriales ; les taux usuraires.

La première exploitation du schiste bitumineux d'Autun commence en 1824 sur la commune1,16 après la découverte de cette ressource en 1813. Le village connait une forte expansion à la fin du xixe siècle et au début du xxe siècle, liée à cette exploitation industrielle, avec la concession de plusieurs concessions minières17.

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 14:41

IGE

« Igyé est une chastellenie royale. Et néanmoins au village dudit Igyé est une maison noble, laquelle a acquis à ses possesseurs le titre de seigneurs d'Igyé. Ceste maison est l'une de celles que j'ay dit estre de la fource de Lugny du Masconnois […]. En ladicte chastellenie d'Igyé, comme aussi en celle de Prissey, sont plusieurs autres maisons nobles, desquelles ignorant les seigneurs, j'ay esté contrainct me taire. » écrit Pierre de Saint-Julien de Balleure en 1581 au sujet de la chastellenie d'Igyé.

Plaque commémorative de la révolte de juillet 1789 à Igé.

C'est à Igé que, le , débuta la jacquerie plus connue sous le nom de « Grande Peur du Mâconnais », au cours de laquelle s'illustrèrent ceux que l'on a dénommés les brigands. Igé eut pour seigneurs au xviiie siècle de puissants nobles appartenant à la maison de La Bletonnière, famille qui avait pour armes : « D'or, à une ancre de sable. ». Malheureusement, poussés à bout par l'un de ces seigneurs, François Charles Albert de La Bletonnière, qui, suivant l'exemple d'Abel de La Bletonnière, son père, leur refusait l'usage de l'unique fontaine convenable du village, les habitants d'Igé, menés par le brandevinier Claude Pain (pendu à Mâcon le 14 septembre 1789), l'ex-syndic Jean Blanchard et l'ancien garde Antoine Protat, et aidés par les villageois d'Azé, saccagèrent le château de leur seigneur. Sur le territoire de l'actuelle commune fut aussi attaqué le même jour, au hameau de Domange, un domaine appartenant aux moines bénédictins de Cluny14,15.

À compter du , Igé fut desservi par le train, à la suite de l'inauguration ce jour-là de la ligne de chemin de fer à voie étroite Mâcon-Fleurville via Lugny (ligne qui fonctionna, pour le trafic quotidien des voyageurs, jusqu'en 193116)17.

Début 1927 : fondation de la coopérative vinicole d'Igé, avec Marius Vatron pour président.

23 décembre 1943 : dans la nuit, un groupe de jeunes maquisards du camp FTP de Brandon en mouvement vers le Jura est attaqué par des soldats allemands au hameau du Martoret, peu après avoir traversé le bourg. L'opération causera la mort de cinq maquisards, dont les noms sont gravés sur une stèle du souvenir.

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 14:29

Grevilly est une commune viticole du Haut-Mâconnais.

Village viticole, Grevilly dispose de vignes dont la vendange est majoritairement vinifiée à la cave coopérative de Lugny. La commune dispose toutefois d'un vigneron indépendant : le Domaine viticole Alexis de Benoist2.

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