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27 février 2024 2 27 /02 /février /2024 11:12

Sur le territoire de la commune il y a trois lacs, surnommés les Lacs de Laives, résultat des travaux de construction de l'autoroute A6 vers 19703. Ils sont aménagés pour la pêche, la baignade, le camping. Ils sont situés à proximité de la Grosne, rivière qui délimite par ailleurs le nord-ouest de la commune.

La commune est également traversée par le Grison, qui conflue ici avec la Grosne, ainsi que par d'autres ruisseaux : la Noue, le Bief de Rompreau et la Raie de la Goutte1.

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27 février 2024 2 27 /02 /février /2024 11:05

voir St Sorlin

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 18:06

La Racineuse, simple hameau, fut érigé en paroisse le , par lettres patentes du roi enregistrées au parlement de Dijon. La Racineuse disposa dès lors d'un curé, qui fut Claude François Catet14.

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 17:38

L’abbaye de La Ferté, ou abbaye de La Ferté-sur-Grosne, est une abbaye cistercienne, située à La Ferté-sur-Grosne, commune de Saint-Ambreuil, dans le département de Saône-et-Loire, en France.

Elle est la première des quatre abbayes filles de Cîteaux, avec Pontigny, Clairvaux et Morimond. Ces abbayes avaient un rôle de première importance dans l’organisation de l’Ordre de Cîteaux.

Le château de la Ferté-Sur-Grosne est un château français situé sur la commune de Saint-Ambreuil en Saône-et-Loire, à proximité de la Grosne est une ancienne abbaye cistercienne.

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 17:35

La Clayette est construite sur les bords d'un grand étang, ou petit lac, de trente hectares environ, alimenté par le ruisseau de la Genette, affluent du Sornin, qui lui-même se jette dans la Loire.

Le Sornin coule au sud de la commune et marque la frontière avec La Chapelle-sous-Dun et Varennes-sous-Dun.

L'étang de La Clayette s'étend d'ouest en est, avec une profondeur maximale de quatre mètres7.

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 17:35

ANTOINET (1), AUGIER (1), BERGER (1), BURDIN (2), CUREAU (6), CUROT (1), GALLAND (3), GIRARD (1), GUICHARD (2), MAGNIN (1), MATEY (1), MESNAGE (1), MICHAUD (1), PARISET (1), PARIZET (20), PERNIN (4), PERNOT (1), ROZAND (2),DUBOIS (1), GALLAND (2), GIRARD (1), PARIZET (2), PERNIN (2),

 

 

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 17:30
  • L’église, dédiée à saint Odilon, qui fut reconstruite entre 1818 et 1824. De 1983 à 1993, elle a été entièrement restaurée intérieurement par les habitants du village, organisés en association de sauvegarde (fondée le 16 mai 1983). Cette restauration a mis au jour quelques éléments cachés par un enduit antérieur, comme une meurtrière près de la deuxième fenêtre à gauche et une niche gothique en face à droite21.
  • À droite de l'église : une croix dont le fût est orné d'un écusson nu porte un christ expressif.
  • Dans la forêt, en direction de l'ancienne abbaye de La Ferté (première fille de Citeaux) : plusieurs bornes anciennes.
  • Un lieudit dans le village s’appelle le Petit Cluny.
  • Plusieurs lavoirs des xixe et xxe siècles, dont celui de la Citadelle (restauré).
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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 17:30

MENAGER (1),


 

 

 

 

 

Le château est en ruines, les arbres poussent dans les fossés et la cour est un pré. Le château médiéval était de plan pentagonal, avec quatre tours rondes et une tour carrée à l'entrée. Au début du XXe siècle, on distinguait encore une grande tour carrée au N. Les restes de cheminées monumentales date de l'époque du chancelier Rolin.

 

 

On ne peut imaginer la splendeur passée du château qu'au travers des réflexions de ceux qui l'ont approché avant sa démolition:

  • Mme de Sévigné, reçue en 1677 par son cousin Roger de Bussy-Rabutin, déclare: "sa situation est admirable; j'en ai le paysage dans la tête et je l'y conserverai soigneusement."
  • Le même cousin parle, quant à lui, des "propretés dont je l'embellis"
  • Claude Courtépée, historien de la Bourgogne, admire, vers 1775, le "beau salon orné de quantité de tableaux"

Le château (ISMH) est une propriété privée et ne se visite pas.

Historique [modifier]

  • XIIIe siècle : mention de la seigneurie de Chazeu, qui appartient à la famille de Longvy, qui porte "de gueules à la bande d'or"
  • début XVe siècle : vente de la seigneurie par le mari et les frères de Jeanne de Longvy à Nicolas Rolin, chancelier du duc de Bourgogne.
  • 3ème quart du XVe siècle : le cardinal Jean Rolin, évêque d'Autun, fils du chancelier, hérite du domaine
  • 1483 : le fils naturel du cardinal, Sébastien Rolin, hérite à son tour du château
  • début XVIe siècle : Esmée Rolin et Antoine d'Orges sont dame et coseigneur de Chazeu
  • 1651 : après avoir été partagée entre deux familles, la seigneurie est à nouveau réunie par l'écrivain Roger de Bussy-Rabutin, qui, ayant hérité d'une moitié, en rachète l'autre à Chrétienne de Chissey; il avait épousé huit ans avant Gabrielle de Toulongeon, petite fille de sainte Jeanne de Chantal
  • 1659 : en disgrâce, Bussy-Rabutin doit s'exiler sur ses terres de Bourgogne, l'hiver, à Bussy-le-Grand et la bonne saison, à Chazeu
  • 1730 : le château est vendu par le petit-fils du précédent, Roger de Langheac, à Jean-Baptiste Rabiot de Meslé
  • 1765 : nouvelle vente, cette fois à Jean-Baptiste de Mac-Mahon
  • 1794 : vente par lots
  • 1803 : rachat par Maurice-François de Mac-Mahon
  • 1840 : le fils du précédent vend la propriété après avoir fait démolir le château pour en utiliser les matériaux

 

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 17:30

BAILLY (1), BARD (5), BAUDREON (1), BIDAUD (1), BILLEBAUD (1), BOBEREAU (1), BONNEAU (1), BOUILLOT (1), BOURGEOIS (1), BOUTILLON (1), BOYER (5), CHAROLLOIS (1), CHATEAU (1), CHAUSSARD (1), COGNARD (1), COMMEAU (46), CONTANT (1), CONTASSOT (14), COULON (4), COUREAU (6), CUZIN (18), DECHAUX (1), DESCOURT (2), DUBAND (2), DUCROUX (1), DUVERNE (1), DUVERNEAU (2), FORET (1), GAUTHIER (2), GERMAIN (2), GIEN (3), GRANGER (2), JONDEAU (1), JONDOT (1), LABONDE (2), LALONDE (1), LAMOUR (7), LANGILLIER (2), LARIEPE (3), LAUCLERC (1), LEPHILIBERT (1), LEQUIN (1), LOUDENOT (1), MARACHE (1), MARET (8), MICHON (3), NECTOUX (9), PELLETIER (8), PERRIN (1), PILLOT (4), PITOIS (1), RAVIER (1), RAVIOT (8), RETHY (9), RIZEY (2), ROUGEOT (2), VACHER (16), VERNEAU (6)



CHATEAU DE CHAMPIGNOLE

 

 

Le château, succédant à une demeure médiévale dont il a conservé les douves, date vraisemblablement du XVIIe siècle. Il se compose d'un corps de logis allongé complété à chaque extrémité d'un pavillon faisant saillie. Les communs forment deux ensembles : d'une part un long bâtiment bas terminé à chaque extrémité par une construction carrée et, d'autre part, un pavillon donnant sur la cour d'entrée.

 

Le château, propriété privée, ne se visite pas.

Historique [modifier]

  • Avant 1650 : propriété de N. d'Ecrot
  • 1650 : achat par Charles Lebrun, comte du Breuil en Bourbonnais, qui, par testament, crée avec son épouse Henriette de la Tournette un majorat en faveur de leur descendance.
  • XVIIe siècle : Alexandre Lebrun, époux de Suzanne de Balathier-Lantage, entre en possession de ces terres (son frère puîné Louis-Casimir y renonce en échange d'une pension).
  • 1792 : Antoine de Villiers-La Faye, gendre d'Alexandre, rejoint l'émigration.
  • An XI : Louis-Casimir Lebrun du Breuil fait annuler sa renonciation par la cour de Dijon et prend possession du château alors sous séquestre.
  • 1836 : fin de l'occupation du château par la famille Lebrun du Breuil.
  • 1862 : le château est acheté par Benoît-Charles de Maizière.


CHATEAU DE TRELAGUE

 

 

 

 

  • De l'ancien château fort, il reste le massif donjon de plan carré, flanqué de deux tours d'angle circulaires, dont l'une abrite un escalier à vis. Le tout est agrandi d'un corps de logis à deux ailes bâti certainement au XVIe siècle. L'une des ailes prolonge au nord le donjon et l'autre, en retour d'équerre, ferme la cour d'entrée. Sur leur angle extérieur, se dresse une tour de plan circulaire; dans leur angle interne, on découvre une tourelle polygonale dans oeuvre. Le donjon et les tours sont élevés de trois niveaux et couverts respectivement de hautes toitures de tuiles et d'essentes; quant au logis, il comprend deux niveaux, éclairés par des baies à meneau et croisillon.
  • À l'intérieur, subsistent des boiseries peintes à petits cadres, un plafond à la française d'époque Renaissance dans le grand salon au rez-de-chaussée, un plafond à la française et des cheminées restaurées dans les pièces du donjon.
  • Des travaux sont exécutés au début du XXe siècle: l'escalier d'honneur est rebâti, des lambris du XVIe siècle, provenant d'un hôtel particulier du midi de la France, sont posés dans le grand salon; à l'extérieur, des meneaux sont ajoutés aux baies et un deuxième étage est créé dans les combles. Les châteaux blésois de la Renaissance ont inspiré cette restauration.

 

 

Le parc du château, propriété privée, est ouvert au public. Certains éléments de la construction sont classés Monument Historique.

Historique [modifier]

Famille Doyen

  • vers 1399: Pierre Doyen, seigneur de Montcenis, de Chaumart et de La Tagnière, conseiller du duc de Bourgogne, ayant fait bâtir son donjon de Montcenis par Perrot le Limousin, Jean Syméon et Jehan de la Cahotte, maîtres d'oeuvre, fait sans doute aussi appel à eux pour la construction du château fort de Trélague
  • 1614 : un inventaire révèle que par acte de justice, le seigneur de Trélague, Bénigne Doyen, avait décidé de fermer sa cour pour ne pas avoir à payer le droit de guet et de garde

Famille Bancherau

  • cette famille succède aux Doyen

Famille Roche de La Rigodière

  • 1911 : Camille Roche de La Rigodière est propriétaire du domaine; il sera pilote d'avion en 1914 et fondera en 1923 la Société lyonnaise de soie artificielle
  • de 1920 à 1926 : le précédent confie l'exécution de restaurations à l'architecte Laffarge, de Blois et à Édouard André, paysagiste

Époque contemporaine

 

 

 

 

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 17:24

Située entre Autun et Chateau-Chinon, cette commune très représentative du Morvan nous charme avec une des plus belles roseraies de France.

Sur le territoire de la commune est partiellement implantée une forêt domaniale : la forêt de Glenne (contenance totale : 439,10 ha), qui mêle conifères et feuillus1.

La « celle » est un terme médiéval désignant la cellule d’un ermite. L'une des plus anciennes mentions de La Celle-en-Morvan évoque une « celle sancti mederici » : celle de saint Médéric, dit aussi saint Merry, né au viie siècle dans une noble famille éduenne, abbé de l'abbaye de Saint-Martin d'Autun qui se retira comme ermite, mais qu’on vint rechercher ; il partit pour Paris où il mourut dans une grande réputation de sainteté. Il donna son nom à une paroisse de Paris. Sa retraite en Morvan devait se trouver à proximité de l’église de la Celle, au flanc de la montagne, où se trouve une « fontaine Saint-Merry », recherchée autrefois pour accorder la fécondité aux femmes stériles.

En avril 1164, le pape Alexandre III, réfugié en France, confirme dans une bulle remise à l'abbaye de Saint-Martin d'Autun, la possession du patronage de la cure : Ecclesiam de Cella. 19. Cette abbaye possède sur ses terres de la Celle du droit de haute, moyenne et basse justice d'ancienneté20. En 1260, Jean de Châtillon-en-Bazois, fait aveu à l'abbaye de Saint-Martin d'Autun, pour ses fiefs de La Celle-en-Morvan et de Sommant, et à l'évêque pour la châtellenie de Glaine, ou Glenne21.

Il faut toutefois préciser que l'orthographe de cette commune avant 1960 était La Selle, nom de la rivière qui la traverse (elle-même désormais orthographiée Celle). Ceci explique la position aberrante de la commune dans la numérotation INSEE des communes du département où elle est classée entre Savigny-sur-Seille et Semur-en-Brionnais au lieu d'être inscrite entre Buxy et Céron.

Un filon de fluorine (pierre de couleur verte employée dans la construction) fut exploité pendant plus d'un siècle, des années 1860 aux années 1980 (mines exploitées par la commune)22.

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