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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 12:59
DRACY LES COUCHES

BOISSON (1), JACQUELIN (1),


De nombreuses familles se sont succédé à Dracy.

  • 1298 : construction d'une forteresse
  • 1368 : existence d'une seigneurie
  • 1402 : mort de Robert de Dracy
  • 1424 : possession des seigneurs de Lugny
  • 1462 : la terre pase aux seigneurs de Monjeu
  • 1547 : Morin de Cromey reconstruit le château
  • 1593 : la place, défendue par le maréchal Gaspard de Saulx-Tavannes, est assiégée et prise par le seigneur de Marnay
  • 1680 : possession du marquis de Berbis
  • 1717 : la seigneurie passe au marquis de Grammont
  • 1728 : construction de la cave par Jacques Bouchet, chapelain de Dracy
  • 1794 : Ferdinand de Grammont, qui avait été emprisonné, est relâché à la suite d'une requête des habitants
  • 1830 : la propriété passe aux comtes de Villers La Faye
  • fin XIXe siècle : acquisition du marquis de Laubespin
  • 1910 : acquisition du comte Yvert de Saint-Aubin
  • 1965 : acquisition du baron Joseph de Charette
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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 12:53
  • Le château de Boutavant L'orthographe la plus conforme concernant ce lieu est Boutavent21, c'est ainsi que ce lieu est nommé pour la première fois dans le document le plus ancien le concernant, à savoir l'acte de vente par Jocerand III, sire de Brancion, à l'abbaye de Cluny, en mars 1237. C'est d'ailleurs sous cette orthographe qu'il apparaît dans les cartes de Cassini (géographes sur trois générations à partir de Louis XIV). Forteresse strictement militaire des sires de Brancion, première puissance de Bourgogne, après le duc, les sires de Brancion s'appropriaient, manu militari, autant qu'ils le pouvaient, les richesses qui passaient dans la vallée pour rejoindre la très proche abbaye de Cluny. Doyenné de Cluny jusqu'à la Révolution, Boutavent ne mérite pas l'appellation de château, mais sa structure imposante et surtout sa position exceptionnelle font le charme de cette demeure somme toute très austère.
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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 12:46

Le 20 février 1637, durant la guerre de Dix ans, le village est attaqué et conquis par le régiment comtois du colonel de Goux.

Jusqu'à la Révolution française, Condal et Saint-Sulpice, localités du département de Saône-et-Loire relevant depuis 1801 du diocèse d'Autun, dépendirent du diocèse de Saint-Claude (érigé en 1742).

La commune a été formée en 1809 par la fusion des bourgs de Condal et de Saint-Sulpice

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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 12:29

Dans des documents du Moyen Âge, Ciel est nommé Seys en 1273, Siez en 1360. Le nom a dû subir l'attraction de 'ciel'.

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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 12:18

Chevagny-sur-Guye (montagne de Bois-Menu) disposa durant toute la première moitié du xixe siècle de l'une des onze stations (ou postes télégraphiques aériens) du télégraphe Chappe implantées en Saône-et-Loire (le long de la ligne Paris-Toulon), installation mise en service en 1807 et qui cessa de fonctionner en 1853, remplacée par la télégraphie électrique16.

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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 12:15
  • Château de Chevagny-les-Chevrières.
  • Le village possède en son cœur une église, célèbre pour son clocher penché. Cette église est la seule d'architecture gothique de la région.[réf. nécessaire]
  • Un musée fromager est installé au sein d'une entreprise agricole, plusieurs fois médaillée pour ses fromages de chèvre : le petit musée des chailloux installé, rue Portes-Jacques, chez Michel Bourdon.
  • La maison Rubat, bâtiment faisant l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le  et d'un classement depuis le 24.
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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 12:12

Chauffailles est une ville de contact entre la montagne beaujolaise et le pays de basses collines de l'Est roannais (comme l'est le bourg de La Clayette un peu plus au nord entre cette même montagne et le Brionnais).

Les trois quarts de l'assez vaste territoire de la commune s'étendent cependant sur la partie haute de la région, montueuse et boisée, qui confine aux communes d'Anglure-sous-Dun, de Saint-Germain-la-Montagne et Belmont-de-la-Loire (ces deux dernières appartenant au département voisin de la Loire). Cet espace communal qui appartient aux marges du haut-Beaujolais se cantonne pourtant dans des altitudes relativement modestes, le point culminant n'atteignant que 653 mètres, et son taux de boisement, quoique non négligeable, est nettement inférieur à celui qu'on rencontre plus haut à l'est (695 ha en forêt, soit 30 % ; cf Belleroche : 63 %).

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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 12:09

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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 12:03

La commune de Chassigny-sous-Dun appartient à une région dont le paysage rural est le demi-bocage caractérisé par une forte dispersion de l'habitat ; les écarts y sont nombreux et le bourg ne rassemble généralement qu'une fraction assez limitée de la population. Le territoire municipal est ainsi parsemé de simples lieudits constitués d'un petit nombre de maisons mais aussi de hameaux groupant un nombre d'habitations plus considérable. Parmi les hameaux de Chassigny on peut mentionner au nord-ouest, outre Sornin, les Verchères et les Noirards ; dans la partie centrale, les Modeux, Vervier, le Bey, les Bruyères, Champ Villerêt, les Chefs ; au sud de la rivière de Mussy, les Perrets, les Pins de l'Ormay, les Chizelles ; dans la partie montueuse du nord-est, le Vieux Bourg. Les lieudits sont nombreux : la Montignière, la Gare, Prégéron, les Plains, les Pins, Mont Chef, Armond, les Brandonnes, les Combes, les Grands Genêts, les Ormes, les Perchats, les Pierres Folles, les Pierres Plates, les Justices, Terre de la Croix,

Le bourg occupe une situation centrale dans le territoire communal. Il groupe environ cent personnes soit un peu moins de 20 % de la population totale, proportion plus forte que dans bien des communes des environs3.

Les Vichaires, le Bief, les Pessailles, Molleron, Montcarron, Paquier de la Pierre Longue, Pré de l'Étang, Pré des Vernes, les Charnays, les Nisères, les Verchères, Bois de la Garenne, l'Absaire, l'Écheneau, la Grande Terre, la Place, la Roche Coupée, le Coup de la Pierre, le Haut du Creux, le Montrond, Montceneau, les Grandes Terres et quelques maisons de la Croix de la Rive (hameau constitué principalement sur la commune de Tancon). Quant aux quartiers du Bon Coin, de Pré Gérons et du Villard ils représentent des faubourgs du chef-lieu de la commune.

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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 11:54
  • Le château de Nobles, inscrit au titre des Monuments historiques depuis le 9 décembre 1946.
  • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption, édifice (inscrit MH en 1948) datant de la seconde moitié du XIIe siècle. La nef a été en partie reconstruite en 1893 (plans de l'architecte Blanc de Tournus, la base des murs romans a visiblement été conservée)26. Le cul-de-four de l'abside est orné d'une peinture murale exécutée sur le thème du couronnement de la Vierge (décor qui a été révélé à la suite d'une intervention effectuée en 2002)27.
  • La pierre levée du champ de la Fa, menhir christianisé.
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