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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 18:40
  • Le nom Essertenne vient probablement du terme essert utilisé autrefois pour désigner les zones qui avaient été volontairement défrichées par le feu. Elle a porté le nom d'Essertaine.
  • Ancien bailliage de Montcenis, diocèse d'Autun, archiprêtré et baronnie de Couches.
  • Les premières maisons ont été construites avec la roche extraite de la montagne dans l’ancienne carrière (Les Trians, point coté 369).
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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 18:36

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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 18:31

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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 18:31
GENELARD

BAUDOT (6), BRELIER (1), CHAPUIS (3), COGNARD (1), CROTET (1), DEVEAU (1), DEVILLARD (2), DUCAROUGE (2), DUVIGNEAU (1), FEBVRE (1), GABRIEL (1), LAGOUTTE (1), PROTET (1),


Génelard proviendrait du mot Genou, en image à la Bourbince qui fait un coude (ou un genou). De même que Genouilly, autre village de Saône-et-Loire.


  • Château de Croix
  • Le Centre d'interprétation de la ligne de démarcation a ouvert ses portes à Génelard en juin 2006. Ce lieu unique en France permet de découvrir l'histoire de la ligne de démarcation, qui coupa la France de la Suisse à l'Espagne, après la signature de l'armistice du 22 juin 1940, en traversant treize départements, dont la Saône-et-Loire. Le bâtiment à l'architecture symbolique qui accueille l'exposition pemanente a été construit place du Bassin, en bordure du Canal du Centre, qui servit durant l'été 1940 à délimiter le tracé de la ligne de démarcation, et à proximité même de l'emplacement de l'ancien poste de contrôle allemand situé sur le pont. Même si par la suite la ligne fut déplacée (elle était parallèle au canal mais distante de cinq kilomètres environ), le poste de contrôle demeura au même emplacement.
  • 1435 : un premier château, situé au Nord du village, au lieu-dit Laugères, appartient à Jean-Aymard de Busseul, originaire de Moulin-l'Arconce
  • 1613 : Françoise de Laubespin, veuve de Charles-Antoine de Busseul, épouse Jean IV d'Amanzé, gouverneur du château de Bourbon-Lancy
  • début XVIIIe siècle : les d'Amanzé vendent la propriété à Jean-David de Ganay
  • 1730 : le fils du précédent, Étienne de Ganay, cède le château à Paul-Étienne Mayneaud de la Tour qui va raser la vieille forteresse et bâtir un nouveau château à un autre emplacement
  • 1744 : achèvement de la construction
  • 1811 : Adèle Mayneaud de Pancemont apporte la propriété en dot à Camille, comte de Tournon, chambellan de l'Empereur
  • à partir de 1822 : agrandissements du château
  • 1835 : à la mort du comte, sa fille, Amélie de Tournon, épouse Charles-Philippe de Croix dont les descendants ont conservé la propriété jusqu'à nos jours
  • 1841 : achèvement des travaux commencés en 1822; à la même époque, plantation d'un parc à l'anglaise
  • vers 1875 : les décors extérieurs et intérieurs sont refaits; des communs sont construits pour abriter un élevage de chevaux, un pigeonnier et un moulin
  • début XXe siècle : restaurations
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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 18:22

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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 18:19

En 1775, un loup enragé mord une douzaine de personnes dans différents hameaux de la paroisse. Quelques-unes sont défigurées et toutes périront de la rage en dépit des soins prodigués par un médecin, le docteur Blais, qui avait réuni les malades dans une maison de Cluny transformée en hôpital1.

Sous la Révolution française, la commune, alors nommée Donzy-le-Royal, porta provisoirement le nom de Donzy-le-National puis reprit son nom antérieur2. C'est en 1890 que la commune adopta le nom révolutionnaire qu'elle porte aujourd'hui2. Un nom que la commune porte encore de nos jours, à l'instar de quatre autres communes du département de Saône-et-Loire qui, comme Donzy-le-National, ont conservé leur nom révolutionnaire3.

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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 18:10
  • La montagne des Trois Croix ou Mont de Sène dont un des trois calvaires se trouve sur la commune de Santenay (Côte-d'Or).
  • Deux tumuli-dolmen(s) du Mont de Sène et de Borgy, classés depuis le 2 mars 1912, sont situés au lieu-dit le Bas-de-la-Chaume-Moyelle.
  • La croix de Dezize-lès-Maranges.
  • L'église Saint-Martin, du xiie siècle, qui a pour particularité d'avoir conservé une cloche figurant parmi les plus anciennes du diocèse d'Autun, fondue en 157819. S'y trouve également une statue en pierre de sainte Radegonde20.
  • La « croix à la poule », située dans le bas du village, élevée en esprit de pénitence par le duc d'Aumont, seigneur de Nolay, après avoir tué en duel le duc de Chamilly avec lequel il s'était disputé pour une poule (y figure l'inscription suivante datant de 1702 : Celui qui a fait faire cette croix se recommande à vos prières)20.
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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 18:10

BASSIN (1), CAMUSET (1), RABUT (1), TAILLEFER (6),

 

 

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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 13:03

La commune de Cuiseaux est partagée entre la Bresse louhannaise et le massif du Jura. C'est une des rares communes de Bourgogne dont une partie du territoire est située dans le massif du Jura. Le point culminant de la commune est à une altitude de 645 m (près du sommet de 647 m situé sur la commune de Chevreaux).

 

La première mention de Cuiseaux (Cuisel)16 date de 1107 (Ponce de Cuisel, présent à une donation faite à Cluny par Guillaume, comte de Mâcon).

La ville obtient sa charte des libertés et franchises en 1265, octroyées par son seigneur, Jean Ier de Cuiseaux († v. 1274 ; suivi de sa veuve Marguerite de Montluel, remariée à Simon de Montfaucon-Montbéliard, sire de Montrond).

Le fief de Cuiseaux appartient à la famille de Cuiseaux jusque dans la 1re moitié du xive siècle (1316 ?) : Jean II de Cuiseaux († 1320) succède à son père Jean Ier, et a pour fils Jean III de Cuiseaux, sans postérité. La suzeraineté (seigneurie éminente) appartenait aux d'Antigny de Ste-Croix, mais Henri d'Antigny la vendit vers 1274/1284 à Robert II de Bourgogne.

Les Cuiseaux étant éteints, les ducs de Bourgogne récupèrent aussi la seigneurie directe, qu'on trouve ensuite aux mains de la Maison de Chalon-Arlay (peut-être parce qu'une demi-sœur du duc Robert II, Marguerite de Bourgogne, dame de Vitteaux, épouse vers 1272/1280 Jean Ier de Chalon, seigneur d'Arlay, d'où Hugues de Chalon d'Arlay. père de Jean II, grand-père de Louis et arrière-grand-père de Jean III, prince d'Orange). Vers 1531, l'héritier du dernier prince héréditaire d'Orange René de Nassau-Chalon († 1544) est son cousin Guillaume de Nassau le Taciturne (1533-1584) : les Orange-Nassau assumeront la seigneurie de Cuiseaux jusqu'en 1633/1634, date à laquelle elle échoit par acquisition aux Bourbon-Condé, car Emilie, fille du Taciturne, mariée à Frédéric-Casimir de Deux-Ponts, la vend alors à Henri II de Condé. Les Condé (dont Mlle de Charolais en 1730) la gardent jusqu'en 1765, pour la vendre au mathématicien Alexis Fontaine des Bertins (1704-1771). Cuisseaux passe ensuite au prêtre Constant Nayme, suivi de son neveu Etienne-Jean Nayme des Oriolles (1744-1816) : Mutatis mutandis, le dernier sire de Cuiseaux devient ensuite le premier maire révolutionnaire.

Lors du rattachement du duché de Bourgogne à la France par le roi Louis XI, à la suite de la mort de Charles le Téméraire, la ville de Cuiseaux resta fidèle à Marie de Bourgogne, la fille du duc. En représailles, le sire de Craon, lieutenant de Louis XI, réduisit la ville en cendres le 25 juin 1477.

À cette époque, Cuiseaux est connu pour disposer d'un lieu singulier : un sanctuaire à répit, la chapelle Notre-Dame-du-Noyer (aujourd'hui convertie en maison particulière)17.

En 1595, la cité fortifiée ouvrit ses portes aux troupes d'Henri IV qui ravageaient alors le comté de Bourgogne.

En 1552 l'humaniste comtois Gilbert Cousin en fait cette description: "A la suite est Cuiseaux au pied d'une montagne. Bien qu'enlaidi par une grande quantité de ruines, ce village porte les marques d'une haute antiquité. Il y a là un collège de chanoines (fondé en 1408). Tout le pays produit du vin."18

La ville est prise par l'armée comtoise le 22 janvier 1637. Elle subit encore d'autres attaques et pillages par le Comtois Lacuson, durant la guerre de Dix Ans.

La maison de Cuiseaux (ou Cuseau, Cuisel) tirait son nom de ce village de la Bresse. Elle possédait la baronnie de Clairvaux.

Jusqu'à la Révolution française, Cuiseaux, localité du département de Saône-et-Loire relevant depuis 1801 du diocèse d'Autun, dépendit du diocèse de Saint-Claude (érigé en 1742).

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25 février 2024 7 25 /02 /février /2024 12:59

sont : Collonge, Sagy-le-Haut et Sagy-le-Bas, situés tous les trois dans la vallée viticole qui traverse le village à l'est, et Fragnes et Ouxy, situés quant à eux à l'ouest, de l'autre côté du Bois de la Montagne. Ces deux derniers sont remarquables par leur situation. Tournés vers la vallée de Cormatin, ils marquent la frontière entre la région viticole du Haut-Mâconnais et celle d'élevage du Clunisois. Les points de vue vers les vallées de la Grosne et de la Guye y sont magnifiques lorsque le temps est favorable. La rivière qui traverse le hameau de Sagy-le-Bas, l'Ail, s'oriente très vite à l'est pour s'écouler doucement dans la vallée de Sainte-Geneviève, qui conduit au hameau de Collongette (commune de Lugny). L'eau de cette rivière alimentait jadis un moulin aujourd'hui disparu, autrefois écart isolé de Cruzille : le moulin Meurier, ancien moulin seigneurial tirant son nom du patronyme d'un tenancier.

Village viticole appartenant à l'aire de production du Mâcon-Lugny3, Cruzille dispose de vignes majoritairement plantées de pieds de chardonnay dont la vendange est presque exclusivement vinifiée à la cave coopérative de Lugny. La commune dispose toutefois de plusieurs vignerons indépendants : Domaine des Vignes du Maynes et Domaine Guillot-Broux (ce dernier ayant été l'un des pionniers en France en matière de vin issu de l'agriculture biologique, avec Pierre Guillot qui se lança dans l'aventure en 1954)4. En l'an 2000, Cruzille disposait de 140 hectares de vignes, qui se répartissaient de la sorte : 110 hectares de « Mâcon Village », 19 hectares de « Bourgogne Pinot noir » et 11 hectares de « Mâcon rouge »5.

Sur le territoire de la commune est partiellement implantée une forêt domaniale : la forêt des Grisons (contenance totale : 557,23 ha), mêlant feuillus et conifères6.

Particularité notable : à l'intérieur du territoire de la commune est enclavée une parcelle de bois d'une contenance de 4,50 hectares (dénommée Le Bois du Mont) appartenant à la commune de Bissy-la-Mâconnaise (mais non limitrophe de cette commune), situation résultant d'une contestation de propriété ayant opposé les habitants des hameaux de Sagy (Cruzille) à ceux de Charcuble (Bissy) à partir de 1762 (situation qui donna lieu à quantité de procès, qui durèrent pendant un siècle).

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