* XIIe siècle : la maison forte est tenue par une famille qui porte le nom de Marcilly * XVIe siècle : la motte de Marcilly passe, par mariage, à Florent de Martel, gentilhomme dauphinois, puis à Jean-Gaspard de Bionnay * vers 1650 : aux Bionnay, succède Étienne Dagonneau * 1764 : la fortune de la famille Dagonneau ayant été dilapidée, le domaine est vendu à Jean d'Aoustène, payeur de la cour des monnaies de Lyon * fin XVIIIe siècle : la fille et héritière du précédent épouse Claude Voiret, qui appartient à une vieille famille lyonnaise; par les femmes, le bien est transmis à la famille Sarton du Jonchay qui le possède encore de nos jours * 1825 : le donjon est abattu
CHATEAU DE TERZE
* 1340 : première mention d'une maison forte tenue par la famille Colomb * à partir du milieu du XVe siècle, à la famille précédente, succèdent: o Émilienne de Montmorillon, épouse d'Adrien de La Garde o Claude Bourgeois de Moleron o la famille Martel * fin du XVIIe siècle : la terre passe aux Dagonneau de Marcilly * entre 1765 et 1823, plusieurs familles se succèdent à nouveau, le domaine passant à: o Jean d'Aoustène, payeur de la cour des monnaies de Lyon o Jean-Baptiste Sampier d'Arena, négociant à Lyon o Claude Voiret de Chanay, ancien avocat général de Parlement de Dombes, et gendre de Jean d'Aoustène * XXe siècle : propriété de la famille Sablon du Corail
Les limites de la commune sont artificielles dans l'ensemble si l'on met à part les hautes collines de ses confins nord-ouest qui la bornent du côté de Saint-Julien-de-Jonzy et un kilomètre du talweg du ruisseau des Équetteries au sud face à Saint-Edmond. D'ailleurs, le tracé de ces limites est souvent rectiligne sur d'assez grandes distances notamment à l'est, dépourvu d'accidents naturels.
Le territoire entier de la commune s'étend sur la partie orientale du bombement brionnais qui penche vers le Sornin (tandis que son versant occidental écoule ses eaux directement vers la Loire). Il s'ensuit que sa pente générale est orientée vers le sud-est.
Ce n'est pas le relief qui donne au territoire municipal son unité puisque les cours d'eau le divisent en trois compartiments différemment accidentés. Celui que la rivière le Bezo délimite au nord-ouest de la commune - qui couvre un peu plus de 6 km2- est le seul à présenter un modelé quelque peu vigoureux. Aussi bien appartient-il au « Brionnais bossu » où les altitudes sont les plus élevées ; le point culminant de la commune - 508 m - y est situé, sur la limite avec Saint-Julien-de-Jonzy. On ne se trouve pourtant pas sur la partie la plus élevée du bombement qui appartient à Sainte-Foy où l'on frôle les 550 m. Sur le glacis que représente ce compartiment les altitudes décroissent conformément au schéma général du nord-ouest vers le sud-est et la dénivelée y est importante ; entre le point culminant et l'aval duBezosur la commune (330 m), la pente moyenne est supérieure à 4 %. Le bourg de Ligny, qui appartient à ce compartiment et domine le Bezo, est à 375 m d'altitude.
Bien différent est le second compartiment qui occupe la partie centrale du territoire de la commune et s'étend sur plus de 7 km² soit presque la moitié de sa superficie totale. Il est compris entre deux cours d'eau, le Bezo et le ruisseau des Équetteries et se présente pour l'essentiel sous la forme d'une surface subhorizontale où les altitudes se cantonnent entre 390 et 370 m. Seuls font exception le nord du compartiment où du côté du Bois des Mussands on dépasse les 400 m et le sud où dans le vallon du Ruisseau où l'on n'est plus qu'à 333 m.
Le troisième compartiment sensiblement moins étendu que les deux autres (2,7 km2) occupe la partie de la commune à l'est du ruisseau des Équetteries. Il est inclus dans l'interfluve qui sépare ce cours d'eau du Sornin et il en forme le versant occidental. Ce versant est d'ailleurs plus court et moins incliné que celui qui penche vers le Sornin sur la commune voisine de Saint-Maurice-lès-Châteauneuf.
Les altitudes y sont modestes, ce qui fait de lui la continuité du plateau central, entre 400 et 380 m.
Comme bon nombre de communes brionnaises, Ligny est médiocrement boisée. La modestie des altitudes, la modération du climat et les qualités pédologiques des sols ont conjugué leurs effets pour déterminer un défrichement précoce et généralisé des surfaces. Les 110 ha de forêt de son espace municipal lui confèrent un taux de boisement de 6,9 % qui s'apparente à celui de sa voisine Vareilles (6,23 %), un peu inférieur à celui de Vauban (8 %) mais bien supérieur à celui de Saint-Christophe-en-Brionnais (3,3 %), de Baudemont (1,81 %) ou de Saint-Laurent-en-Brionnais (1,39 %), des taux qui sont sans commune mesure avec ceux de la montagne beaujolaise somme toute peu éloignée (Ranchal 67 %) ou du Nord-Ouest brionnais fort proche Semur (45 %). Les espaces boisés se rencontrent essentiellement dans le nord montueux de la commune où le Bois des Moussands sur les deux rives du Bezo représente à lui seul 90 ha.
Sur le parvis de l'église priorale, à l'extérieur du mur nord de la mairie, six plaques de pierre ont été apposées en l'honneur des hommes célèbres qui sont nés ou ont vécu dans le village, parmi lesquels :
Alfred Cortot(1877-1962), l'un des grands pianistes français duxxe siècle, dont la renommée fut mondiale ;
Gabriel Voisin(1880-1973), pionnier de l'aviation et de l'automobile dont les productions ont été et demeurent célèbres ;
Désiré Mathivet(1887-1966), statuaire, fut élève deBourdelleet ami dePicasso. Tous trois reposent dans le cimetière du Villars ;
Edgar Varèse(1883-1965), cousin d'Alfred Cortot, a passé son enfance au Villars chez son grand-oncle. Il deviendra un compositeur exigeant et célèbre pour son talent de « libérateur des sons ».
Autrement :
Jean-Baptiste Debrun(1750-1831), général des armées de la République et de l'Empire, héros de Valmy à la tête des volontaires de Saône-et-Loire, qui vécut et mourut au Villars ;
Anatole France : c'est dans ce village qu'Anatole France situe un épisode de son romanLa Rôtisserie de la Reine Pédauque ;
Pierre Tiran(1928-2009) sculpteur, ami deMaxime Descombin, a vécu et travaillé dans la commune à laquelle il a fait don d'une sculpture monumentale installée en bordure de la RN 6.
Il y avait autrefois trois moulins sur le territoire actuel de la commune :
1° le moulin de Morillon (disparu)
2° le moulin de Crecou (en ruine, dans les broussailles)
3° le moulin de l'Aiguille : maintenant transformé en ferme auberge, le seul commerce de la commune
Quand la commune des Guerreaux a été créée en 1869, celle-ci prenait en fait la succession d'une ancienne paroisse disparue, celle de Morillon. On peut d'ailleurs se demander pourquoi ce n'est pas ce nom qui fut choisi pour la nouvelle commune. Il y eut sans doute une raison qui nous échappe ...
Morillon est très ancien. A l'aide de documents écrits et de l'archéologie, on peut essayer de reconstituer son passé.
Morillon. La charte n° 109 de Paray concerne une donation faite par Richard de Villars (il s'agit du lieu appelé maintenant Jarsaillon, commune de Chalmoux) datant des environs de 1020; le témoin cité est Hugues Morillon. Peut-être est-ce un de ses descendants, appelé aussi Hugues de Morillon, qui servit de témoin (avec Jocerand de Villars), vers 1065-1090, dans la charte n° 81 de Marcigny concernant Berthe de Luzy.
Chilieu (1). La charte n° 32 de Marcigny, datant de 1094, concerne une donation faite au prieuré de Marcigny par Liétaud de Cheleux. Le même, quelques années auparavant, avec sa femme Ama, avait fait un autre don au même monastère.
Ces deux cartulaires font souvent référence à d'autres personnages de notre secteur : la famille d'Anglure à La Motte-Saint-Jean, la famille de Perrigny, celle de Bourbon-Lancy bien sûr, la plus puissante. Des lieux habités font aussi l'objet de donations : le castrum de La Motte, les villages de Montassin, Mont-Benoît, Champabeau, Saint-Denis, Saint-Agnan. D'autres chartes, plus anciennes, du monastère de St-Martin d'Autun, citent la terre et l'église de Neuvy en 877 et en 924.
Qui étaient ces familles citées ? les propriétaires de grands domaines fonciers (appelés villas) nommés par le pouvoir (le comte d'Autun ou de Chalon) à titre de récompenses, ou les descendants des propriétaires gallo-romains ou carolingiens. On n'en sait pas plus ... (2)
LES FORTERESSES DE L'AN MIL
Les chartes, encore elles, nous apprennent qu'il existait alors deux puissants lieux fortifiés, dénommés des castrums (3), établis sur des hauteurs : l'un à Bourbon-Lancy, l'autre à La Motte-St-Jean. S'il y en avait d'autres, ils ne sont pasOver-Blog.com / Administration [Éditer un Article]cités; en particulier, aucune mention d'un castrum à Morillon, qui existait vraisemblablement déjà.
L'archéologie peut aussi nous aider. Aux 10ème et 11ème siècles, les propriétaires terriens avait fait édifier des forteresses de terre et de bois. Comme seuls vestiges, il n'en reste quelquefois qu'une motte circulaire entourée d'un fossé. Ces fortifications ne sont pas sur des hauteurs, mais plutôt à mi-pente ou dans des fonds marécageux. C'est le cas de la motte de Vesvre (commune de Neuvy), de celles de Perrigny-sur-Loire et de Montperroux-le-Verd, de celles de Gueugnon, etc. Aucune n'est connue dans notre commune ... (4).
(1). ancien nom des Grands-Marions.
(2). Les noms de famille n'existent pas à cette époque, chacun étant désigné par son prénom, sa terre ou par référence à ses parents.
(3). mot latin signifiant lieu fortifié.
(4). Ne pas confondre avec les maisons-fortes des 14è et 15è siècles, aussi entourées d'un fossé.
Pierre Lahaye
LA COMMANDERIE DES TEMPLIERS
Aux confins des communes de La Motte-Saint-Jean et des Guerreaux (1), des noms de lieux-dits intriguent les passants : le Boulet et la Loire. Soulevons légèrement le voile de l'Histoire pour en savoir un peu plus.
DES NOMS DE LIEUX DÉFORMÉS
Il faut déjà commencer par rétablir l'orthographe véritable de ces lieux-dits qui a été déformée au 19ème siècle par les géomètres qui établissaient les plans cadastraux.
Le Boulet s'écrivait auparavant le Boulay. Selon les spécialistes, ce terme rappellerait un lieu primitivement planté de bouleaux.
La Loire est une déformation récente du mot ancien la Loère (prononcer: louère). A la fin du Moyen Age, ce terme s'écrivait Loër et signifiait louage : lieu loué à un paysan qui exploitait l'endroit. En terme plus moderne, c'est l'équivalent du mot « locaterie » qui fut très à la mode au siècle dernier.
Continuons cette remise en ordre en expliquant le toponyme voisin des Bernard, dont il sera question plus loin. Il provient d'un nom de famille, les Bernard, qui étaient métayers en ce lieu au milieu du 18ème siècle. Le lieu-dit portait autrefois le nom de la Rivière, et avant encore, la Rivière sous le Boulay. En français ancien, le mot rivière signifiait : terrain proche d'un cours d'eau. Provenant du latin Riparia, riparius : qui se tient sur le bord des rivières; riverain qui habite les bords d'un cours d'eau. De fait, le hameau des Bernard, même s'il se situe sur un coteau, est à proximité de deux cours d'eau, modestes certes, mais qui servaient de limites aux temps de la féodalité. Quant à l'expression Sous le Boulay, elle n'a aucun rapport avec l'altitude des lieux, mais rappelle la dépendance hiérarchique de ce lieu-dit à la commanderie du Boulay dont nous allons maintenant parler.
UNE COMMANDERIE DE TEMPLIERS
L'on sait que l'Ordre du Temple fut créé en 1118 à Jérusalem et qu'il fut aboli en 1311 par un concile réuni à Vienne sous la pression du roi de France, Philippe IV le Bel, qui avait préalablement fait empri-sonner tous les membres de l'ordre résidant dans le royaume de France à l'aube du vendredi 13 octobre 1307. C'est le 2 mai 1312 que le pape donna tous les biens de l'Ordre du Temple à celui des Hospita-liers de Jérusalem. La commanderie du Boulay en faisait partie.
Car il y avait bien une commanderie templière au Boulay. Elle est citée dans le pouillé (2) du Cartulaire Rouge d'Autun, daté de la fin du 13ème ou du début du 14ème siècle :
« Prioratus Templi de Boleto, sous le vocable de S. Blaise »
C'est grâce aussi au procès des Templiers que l'on connaît quelques renseignements sur le Boulay. On y lit que « frère Pierre de Mont-Chauvet avait fait profession [de voux de religion] dans la chapelle de la maison de Boulay, au diocèse d'Autun, in capella domus de Bolleyo, Eduenses diocesis. On y trouve également frater Clemens de Boulay, Eduensis diocesis »[Frère Clément du Boulay, diocèse d'Autun].
A partir de 1312, le Boulay devint une dépendance de la puissante commanderie du Beugney (commune de Chassenard). En 1666, c'était le chevalier de Merieu qui en était bénéficiaire, mais il n'y habitait pas. Il semble qu'ensuite, plus aucun commandeur n'y résida.
UN FIEF BIEN SITUÉ
Pour connaître la situation précise et l'étendue du fief du Boulay, il faut aller consulter les Archives dé-partementales de l'Allier et celles de Saône-et-Loire. A Yzeure, dans la série H, on peut consulter un atlas de toutes les possessions dépendant des Beugnets au XVIIIème siècle. Deux plans détaillés concer-nent le Boulay et La Rivière (3). A Mâcon, un dossier complète celui de l'Allier (4). Les propriétés du Boulay étaient très importantes. En ce qui nous concerne, le fief comprenait le château et sa chapelle, les villages de la Rivière et des Grands-Marions et le moulin de l'Aiguille.
Le territoire du fief est limité à l'est par les grands bois de la Motte (qui s'appelaient autrefois les bois de Morillon), à l'ouest et au sud-ouest par le ruisseau du Blandenan et le grand chemin de Bourbon à La Motte, au nord par l'ancien chemin de St-Agnan à Rigny, au sud par le chemin du Boulet à Issangy.
A quelque distance à l'est, c'était le grand chemin de La Motte à Neuvy, portion du grand itinéraire de La Motte à Luzy et aux pays de l'Yonne. A l'ouest, c'était l'autre grand chemin de La Motte à Bourbon-Lancy. Situation très intéressante pour la surveillance de ces deux grands axes routiers médiévaux. Car n'oublions pas que les commanderies templières répondaient à plusieurs besoins : la sécurité rou-tière, l'accueil des pèlerins et des voyageurs, tenir des hospices ouverts pour porter secours sur les grands chemins aux croisés, aux pèlerins et aux marchands. Le Boulay était donc bien placé à quelques foulées de galop au nord de l'intersection de ces deux chemins.
LE CHATEAU DU BOULAY
Le plan des archives départementales de l'Allier, dressé en 1758, est très parlant. Un enclos circulaire, limité par un mur ou un fossé, possède en son centre un bâtiment qui est la chapelle de l'ancienne commanderie (passée sous le vocable de St-Jean-Baptiste). C'est elle qui est signalée en 1666 dans l'enquête bourguignonne de l'intendant Bouchu : « Il y a encore une chapelle nommée du Boulay, dépendante de la commanderie de Beugnay, ordre de St-Jean de Hierusalem. Elle est en très mauvais estat. Il ne s'y faict point de service qu'une messe par semaine que le Curé de St-Aignan célèbre, ou son vicaire. Elle vault 500 livres de revenu. Le chevalier de Merieu en est possesseur ». Sur le plan cadastral des Guerreaux de 1840, cette construction n'est plus mentionnée.
Le dossier des Archives départementales de Saône-et-Loire nomme les habitants de ces lieux ( 8 décem-bre 1758) : Aignant Michel laboureur 58 ans
Laurent Lécorné laboureur 45 ans
Jean Baptiste Delahaye laboureur 41 ans
Philippe Laroze laboureur 30 ans
Charles Gonneaud laboureur 58 ans
Pierre Robin vigneron 55 ans
Antoine Marion fils de Joseph Marion laboureur 35 ans
Pierre Lahaye.2006
(1). Canton de Digoin. Nous espérons que nos voisins saintagnenais ne nous en voudront pas de vouloir accaparer un morceau de leur passé car, si les lieux sont maintenant sur la commune des Guerreaux, ils appartenaient autrefois à la paroisse de Saint-Agnan.
(2). Le pouillé était un inventaire de toutes les possesssions d'un évêché, par exemple celui d'Autun en ce qui nous concerne.
(3). H 1050 microfilm 2 Mi 27 (R122)
(4). H 192 suppl. Il faut savoir qu'une autre partie des archives du Boulay se trouve aux Archives du Rhône.
Auxive siècle, Le Fay possédait un château dont seules les douves et quelques maisons sont encore présentes. Il était composé de 11 tours et y abritait les seigneurs Bouton du Fay. Ceux-ci furent également seigneurs deLouhans. Le blason comportait une fasce de couleur or et un fond blanc muni de rayures verticales noires.
Sources : mairie de la commune du Fay (71). Ouvrage :Louhans, des origines à nos joursde Marcel Pacaut aux éditions Horvath.
Le premier seigneur dont on possède le nom semble être Hugues du Breuil en 108723. Dès lexiie siècle, la famille du Breuil avait une maison attestée d’une part par une charte de 126424et d’autre part par des vestiges. La seigneurie change de mains auxive siècle. Elle appartient alors aux De la Garde qui la reçoivent en fief du sieur d'Estrabonne, seigneur deNolay. Auxvie siècle, elle est rachetée par les Calard issus d’une noblesse de robe, à qui succèdent par alliance les Baudinot, de Thélis25.
Des fouilles montrent qu’auxve siècle, la famille de la Garde avait elle aussi une maison seigneuriale. Auxviie siècle, elle a été rasée par les Baudinot originaires deParay-le-Monialpour bâtir le château actuel. Celui-ci est d'ailleurs inachevé, et n'était qu'une gentilhommière utilisée, entre autres, pour la chasse.
À la même époque, des éléments hétéroclites (linteaux avec accolade, pieds droits moulurés, colombages, fenêtre à coussièges, colonnes, etc.) provenant de la destruction de l’ancienne bâtisse duxve siècle, seront réutilisés pour construire, près de l’entrée, le "chenil". Quant à la maison dite "le Pavillon", elle n’existait pas encore. On n’en trouve pas la moindre trace avant le milieu duxviiie siècle.
Plusieurs documents viennent attester de donations faites par les seigneurs du Breuil à l'abbaye de La Ferté-sur-GrosneNote 5et des relations qui ont existé entre eux26.